POPEREN Jean, Maurice

Par Julien Cahon

Né le 9 janvier 1925 à Angers (Maine-et-Loire), mort le 23 août 1997 à Paris ; professeur d’histoire ; résistant ; militant communiste, responsable des JC de la Seine (1943-1944), secrétaire national des Étudiants communistes (1945-1947), permanent du Kominform, exclu du PCF en 1956 ; fondateur de Tribune du communisme ; militant socialiste, fondateur et dirigeant national du PSU (exclu en 1967), fondateur et dirigeant national de l’UGCS, membre du bureau politique de la FGDS, membre du secrétariat national du PS (1975-1987) ; député du Rhône (1973-1988), conseiller régional de Rhône-Alpes (1973-1992), maire de Meyzieu (1977-1997) ; ministre chargé des relations avec le Parlement (1988-1992).

Jean Poperen
Jean Poperen
Assemblée nationale

Angevin, Jean Poperen est né dans une famille modeste et de sensibilité de gauche dans une région traditionnellement à droite. Sa mère, Marie Graffeuil, qui mourut quand il n’avait que douze ans, était ouvrière dentellière. Son père, Maurice Poperen, instituteur et historien des luttes ouvrières en Anjou, appartenait à la tendance anarcho-syndicaliste qui, au lendemain de la Première Guerre mondiale, soutint le mouvement de l’École émancipée. Son père se remaria en 1941 avec une institutrice, Alice Lamirault. Son frère Claude Poperen fut membre du bureau politique du PCF puis reconstructeur.

Élève au lycée d’Angers, puis en classe préparatoire à Rennes (hypokhâgne) et Louis-le-Grand à Paris (khâgne), Jean Poperen s’inscrivit ensuite à la Sorbonne. À dix-huit ans, il entra au Parti communiste, dans la clandestinité, en 1942 ou 1943 selon les sources. Responsable des Jeunesses communistes de la Seine sous l’occupation, il devint secrétaire national des Étudiants communistes à la Libération. Reçu major à l’agrégation d’histoire en 1947 (devant Jean Delumeau et Pierre Chaunu), Jean Poperen débuta sa carrière professionnelle au lycée d’Amiens, où il fut secrétaire de la section communiste de l’établissement. À la même époque, il s’attaqua à une thèse sur la situation économique et sociale de la paysannerie d’Indre-et-Loire à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, sous la direction d’Ernest Labrousse. Jusqu’en 1952 et son départ à l’école des cadres du Kominform à Bucarest, il milita et exerça des responsabilités de base à la fédération communiste de la Somme, comme membre du comité de la section d’Amiens, du bureau fédéral, où il fut nommé lors de la XIIIe conférence départementale du 26 mars 1950, orateur du Mouvement de la paix et pour un cycle de conférences organisée par la fédération communiste de la Somme sur « le Parti communiste, les intellectuels et les problèmes de notre temps ».

À son retour en France, en 1953, Jean Poperen reprit son métier d’enseignant, au lycée Janson-de-Sailly (Paris), puis à l’université de Paris I, comme maître-assistant (puis maître de conférences, 1986), alors orienté vers la Révolution française et le robepierrisme. En 1956, la révélation des crimes de Staline et l’insurrection de Budapest, brisée par l’intervention des chars soviétiques, le poussèrent à prendre ses distances vis-à-vis du Parti communiste. De plus en plus critique, il était soupçonné de « fractionnisme » par la direction du PCF, qui chargea Philippe Robrieux, alors étoile montante de l’UEC, de le surveiller. En avril 1958, deux mois après le retour au pouvoir du général de Gaulle, qu’il concevait comme une « défaite » du mouvement ouvrier dans laquelle le PCF avait une lourde responsabilité, Jean Poperen publia, avec quarante-huit intellectuels communistes, dont François Furet, le premier numéro du journal Tribune du communisme, autour duquel se forma un groupe éponyme. Il quitta le PCF et manifesta dès lors un anti-soviétisme résolu et constant. En 1960, avec Édouard Depreux et Gilles Martinet, Jean Poperen fonda le Parti socialiste unifié (PSU), né de la fusion entre Tribune du communisme, l’Union de la gauche socialiste et le Parti socialiste autonome, nouveau parti il fut un des dirigeants nationaux jusqu’en 1963, animant une tendance qui fusionna avec la tendance SR (Socialiste révolutionnaire). Au PSU, il occupa l’espace entre les « gauchistes » et les « modernistes » de Michel Rocard*, qu’il accusait alors de « social-technocratie ».

Aux élections législatives de novembre 1962, Jean Poperen, fut le candidat du PSU dans la 11e circonscription de la Seine. Il dut y affronter un baron du gaullisme, le Ministre de l’Intérieur Roger Frey, élu au second tour face au journaliste communiste André Wurmser. Jean Poperen avait recueilli 2 445 voix (6,9%) au premier tour. Le 19 septembre 1965, il se présenta à l’élection législative partielle organisée dans la 11e circonscription de la Seine suite au décès de Raphaël Touret, qui siégeait au Palais Bourbon en tant que suppléant de Roger Frey, ce dernier ayant renoncé à son mandat parlementaire pour la Place Beauvau. Le candidat de l’UNR fut élu député dès le premier tour et Jean Poperen totalisa 2 109 suffrages (8,5 %).

En désaccord avec l’orientation autonomiste adoptée au congrès national du PSU de 1967, qui vit l’accession de Michel Rocard à la tête du parti, Jean Poperen constitua l’Union des groupes et des clubs socialistes (UGCS) et plaida en faveur de l’union de la gauche dans le journal Combat. Exclu du PSU en décembre 1967, il rallia ensuite la Fédération de la gauche démocrate et socialiste (FGDS), qui regroupait, depuis l’élection présidentielle de 1965, la SFIO, le Parti radical et les clubs, dont la CIR de François Mitterrand. Il ne fit pas pour autant allégeance à ce dernier. En 1968, Jean Poperen, président de l’UGCS, entra au bureau politique de la FGDS. En mai 1969, il ne participa pas au congrès d’Alfortville, mais rejoignit le Nouveau Parti socialiste en juillet 1969 à celui d’Issy-les-Moulineaux, où il animait la tendance « Rassembler à gauche ». Après la dissolution de l’UGCS, Jean Poperen et ses amis créèrent l’ERIS (Études, recherches et informations socialistes), qui se consacra au travail théorique. En 1971, il prit part à la constitution du Parti socialiste au congrès d’Épinay, où il se prononça, dans le vote final, pour la motion Savary-Mollet – la sienne (M : « Pour un Parti socialiste orienté à gauche ») n’ayant obtenu que 12% des suffrages – et donc contre la motion de synthèse Mitterrand-Defferre-Mauroy-Chevènement, qui constitua la majorité du parti. Cette « faute originelle » l’empêcha à jamais d’entrer dans le premier cercle mitterrandien. Les relations entre les deux hommes sont souvent résumées par ce fameux dialogue : « Poperen, vous êtes vraiment loyal, mais vous n’êtes vraiment pas facile. - Vous non plus. » Jean Poperen intégra cependant le comité directeur du PS dès 1971 et constitua un courant de fidèles prônant la lutte des classes, la rupture avec le capitalisme et une laïcité intransigeante.

Aux élections législatives de mars 1973, Jean Poperen fut parachuté dans une nouvelle circonscription de l’est du Rhône (Meyzieu, Bron, Vaux-en-Velin). Il fut élu au second tour avec 57,6 % des suffrages exprimés face à Étienne Coex, candidat de la majorité présidentielle (URP). Au congrès socialiste de Grenoble, qui se tint trois mois après le scrutin législatif, Jean Poperen rallia le courant majoritaire et fut nommé délégué auprès du premier secrétaire du PS comme responsable de la politique industrielle et de l’aménagement du territoire, sujet sur lequel il intervint par ailleurs à de nombreuses reprises au Palais Bourbon. Orateur brillant maniant la formule acerbe avec gourmandise et idéologue parfois qualifié d’austère et d’intolérant, il batailla pour l’ancrage à gauche de son parti et contre l’entrée au PS des minoritaires du PSU, qu’il qualifia de « Rocard d’Estaing » et « sirènes néo-MRP ». Il dut cependant attendre 1975 pour entrer au secrétariat national du parti et se vit alors charger de l’organisation et de la propagande. La même année, il fut élu au comité central de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA). En 1977, Jean Poperen fut élu maire de Meyzieu, une commune ouvrière de la banlieue lyonnaise. L’année suivante, il fut réélu député de la 13e circonscription du Rhône, avec un score de 60,1 %, face à Jean-Marc Barthez (RPR). A l’issue du congrès socialiste de Metz (1979), Jean Poperen reçut la responsabilité des élections et de la coordination au secrétariat national.

En 1981, après l’élection de François Mitterrand à la présidence de la République, Jean Poperen fut réélu député, confortant son ancrage dans sa circonscription du Rhône. Au second tour, il devança largement Jean-Marc Barthez (RPR) avec 66,2 % des suffrages exprimés. Candidat à la présidence du groupe parlementaire socialiste, Jean Poperen s’inclina face à Pierre Joxe, mais, au congrès socialiste de Valence d’octobre 1981, où il introduisit la notion de « compromis social », le député-maire de Meyzieu devint secrétaire national à la coordination chargé des élections, soit le numéro 2 du PS aux côtes de Lionel Jospin. En 1982, à l’Assemb1ée nationale, il joua un rôle très actif dans l’élaboration de la « loi PLM » (Paris-Lyon-Marseille) qui entérina le statut particulier des trois communes, en tant que rapporteur de cette loi électorale sur les élections municipales de Paris, Lyon et Marseille, et du texte sur l’organisation administrative de Paris, Lyon, Marseille et des établissements publics de coopération intercommunale. Réélu maire de Meyzieu en 1983, ce doctrinaire fut naturellement en première ligne dans la querelle scolaire de 1984, ravivée par le projet de loi relatif aux rapports entre l’enseignement public et l’enseignement privé, porté par le ministre de l’Éducation nationale, Alain Savary. Aux côtés de ses collègues parlementaires, André Laignel et Pierre Joxe, il a défendu bec et ongles le « grand SPULEN » (service public unifié de l’Éducation nationale), promis par François Mitterrand durant la campagne présidentielle, et vécut comme une trahison le recul du gouvernement et du Président de la République en juillet 1984, au moment où Alain Savary fut remplacé par Jean-Pierre Chevènement dans le nouveau gouvernement Fabius.

Dans le même temps, rue de Solférino, les rapports entre Jean Poperen et Lionel Jospin s’étaient rapidement dégradés. Le député du Rhône estimait qu’une évolution du PS était à accomplir dans le contexte de l’épreuve du pouvoir : il fallait, selon lui, choisir « entre l’étatisme et le marché, la voie du compromis économique et social. » En 1986, il soutint cependant Lionel Jospin contre Laurent Fabius, qui souhaitait mener la campagne législative. Dans le Rhône, terre d’élection de Charles Hernu, ministre de la Défense démissionnaire suite à l’affaire du Rainbow warrior (1985), Jean Poperen réclama la tête de liste socialiste, mais ce fut finalement le maire de Villeurbanne qui conduisit la « liste pour une majorité de progrès avec le Président de la République », sur laquelle le maire de Meyzieu figurait en deuxième position. Sur les 14 sièges de députés dévolus au département du Rhône lors de ce scrutin à la proportionnelle, le PS en obtint cinq : Jean Poperen fut donc réélu, avec Charles Hernu, ainsi que Marie-Josèphe Sublet, Gérard Collomb et Jean-Jack Queyranne.

En revanche, le parlementaire du Rhône obtint la tête de liste socialiste aux premières élections régionales de 1986. Le dirigeant du PS fut élu mais son parti était battu par la droite, qui porta Charles Béraudier (UDF) à la présidence du conseil régional de Rhône-Alpes, où Jean Poperen siégeait de droit depuis 1973 en tant que député de la région. Au PS, le divorce entre Jean Poperen et le premier secrétaire du PS fut consommé au congrès de Lille d’avril 1987 : il fut évincé du poste de numéro 2 du PS mais entra au conseil politique du parti avec les anciens ministres du PS. Avec d’autres responsables socialistes, dont Jean-Marc Ayrault, Jean Poperen reforma alors son courant, qui prit corps autour du thème du nouveau contrat social, afin de trouver le meilleur compromis possible pour les intérêts du salariat.

En mai 1988, après la réélection de François Mitterrand, Jean Poperen fut appelé au gouvernement par Michel Rocard. Ministre chargé des relations avec le Parlement, il fut candidat aux élections législatives de juin 1988, qui suivaient la dissolution de l’Assemb1ée nationale. la 13e circonscription du Rhône fut le théâtre d’une triangulaire entre Michel Mauclaire (RPR-UDF), Bruno Gollnisch (FN) et Jean Poperen, victorieux avec 50,8 % des voix. Il renonça cependant à son siège de député et fut remplacé par sa suppléante Martine David dans l’hémicycle. Il conserva en revanche son mandat de maire suite aux élections municipales de 1989. Comme Ministre chargé des relations avec le Parlement, il se retrouva dans une situation paradoxale car le PS avait une majorité relative et Jean Poperen combattait une ouverture dans laquelle il ne voyait que des débauchages individuels. « On a tellement ouverts que nos électeurs sont sortis » avoua le ministre, qui reçut, pour cette phrase, le premier prix de l’humour politique 1989. Dans les faits, Jean Poperen laissa à Guy Carcassonne, conseiller du Premier ministre pour le Parlement, le soin de trouver des majorités de circonstance sur les textes. Son passage au gouvernement réussit cependant à le départir quelque peu de son image austère de gardien du dogme : l’homme d’appareil était devenu un personnage public.

En 1990, il convoita le poste de premier secrétaire du PS au congrès de Rennes mais sa motion ne recueillit que 7 %. Le ministre soutint à cette époque l’entrée de la France dans la guerre du Golfe et expliqua la politique du gouvernement à l’Assemblée et au Sénat, une position qui illustre l’évolution de Jean Poperen sur les relations transatlantiques. Il conserva son portefeuille dans le gouvernement d’Édith Cresson jusqu’en avril 1992. Cette même année, il se montra favorable au Traité de Maastricht. La construction européenne, la politique arabe de la France et le conflit israélo-palestinien constituaient alors, à la gauche du PS, les grands clivages entre le courant poperéniste et le CERES de Jean-Pierre Chevénement. En 1992, Jean Poperen créa également Le Nouveau Monde 92, association militant pour le renouvellement du débat à gauche, et les Comités pour l’initiative citoyenne. Avec des publications comme Synthèse flash, lettre d’information que dirigeait Colette Audry, et le journal Vu à gauche, il a entretenu la flamme de son courant qui obtint 11 % des voix au congrès du Bourget en octobre 1993, mais Jean-Marc Ayrault, maire de Nantes, présenté comme son dauphin, prit ses distances vis-à-vis de son mentor, qui s’interrogeait sur La chute finale des socialistes – titre de son ouvrage paru chez Plon en 1993. Critique à l’égard des années de pouvoir, il estimait que les socialistes avaient rompu avec le socialisme : « la politique menée depuis 1983 n’était pas une politique socialiste mais une gestion à vernis social de l’économie libérale. » Aussi, Jean Poperen expliquait l’échec du PS aux législatives par la déception qu’il avait créée dans le monde du travail et s’inquiétait du risque de présidentialisation du parti.

S’il ne se représenta pas aux élections législatives de 1993, Jean Poperen fut candidat à sa propre succession à la mairie de Meyzieu en 1995 et fut réélu pour un quatrième mandat consécutif. Proche d’Henri Emmanuelli, lorsque ce dernier était premier secrétaire du PS (1994-1995), l’ancien parlementaire du Rhône a soutenu la candidature de Lionel Jospin à la présidentielle de mai 1995 et à la tête du PS en octobre 1995.

Jean Poperen resta maire de Meyzieux jusqu’à sa mort, survenue en 1997 suite à un accident cérébral. La sensibilité poperéniste a survécu à travers Alain Vidalies au sein de la tendance « Nouveau monde », qui rassembla les ex-poperénistes et le courant de la Gauche socialiste de Jean-Luc Mélenchon, puis au sein du courant « Rassembler à gauche » après le référendum européen de 2005, ainsi que chez les animateurs du mensuel Parti pris, dirigé par Emmanuel Maurel. En 2012, ce dernier, animateur du courant « Maintenant la gauche », a brigué le poste de Premier secrétaire du PS face à Harlem Désir tandis qu’Alain Vidalies fut aussi ministre des relations avec le Parlement de mai 2012 à mars 2014 dans les gouvernements de Jean-Marc Ayrault et a été nommé secrétaire d’Etat chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche en août 2014 dans le deuxième gouvernement formé par Manuel Valls. Jean Poperen est aussi l’auteur de nombreux livres historiques et politiques, notamment une Anthologie de textes choisis de Robespierre, dont il était un fin connaisseur. En 1999, les archives de Jean Poperen ont été confiées par sa veuve, Nathalie Poperen, au Centre d’histoire du travail de Nantes, qui conservait aussi les archives de son père, Maurice Poperen. Son frère, Claude Poperen, milita à la CGT, où il fut notamment secrétaire général du syndicat de Renault-Billancourt de 1958 à 1967, et au PCF de 1946 à 1987, y gravissant les échelons jusqu’au bureau politique.

Homme de contrastes et de paradoxes, Jean Poperen fut une figure intellectuelle marquante du socialisme français. Il a ajouté une dimension maçonnique à son engagement en rejoignant le Grand Orient de France (GODF). Intransigeant sur les valeurs, il a milité pendant plus de cinquante ans au sein de toutes les familles de la gauche, qu’il alimenta théoriquement et stratégiquement, mais où il a souvent flirté avec les marges. Cependant, d’après Emmanuel Maurel, qui est aussi son biographe, « on ne saurait résumer Poperen à éternel minoritaire. »

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article163429, notice POPEREN Jean, Maurice par Julien Cahon, version mise en ligne le 31 août 2014, dernière modification le 18 septembre 2017.

Par Julien Cahon

Jean Poperen
Jean Poperen
Assemblée nationale

ŒUVRE : Anthologie de textes choisis de Robespierre, Éditions sociales, 3 volumes, 1957. — Une stratégie pour la Gauche, Fayard, 1969. — Des trois glorieuses au printemps des peuples 1830-1848, Burin-Martinsart, 1972. — La Gauche française, tome 1 : Le nouvel âge (1958-1965), Fayard, 1972. — La gauche française, tome 2 : L’Unité de la gauche, Fayard, 1975. — Nous sommes tous archaïques, Robmot, 1978. — Le nouveau contrat socialiste : Socialistes et liberté, Ramsay, 1985. — Socialistes. La chute finale ?, Plon, 1993.

SOURCES : Arch. CHT, fonds Poperen. — Arch. Comité national du PCF. — Arch. OURS. — Arch. FJJ. — Arch. Assemblée nationale, dossier Poperen. — Arch. Dép. Somme, 21W425, 1471W16. — Presse nationale et locale. — Emmanuel Maurel, Jean Poperen, une vie à gauche, Éditions Bruno Leprince, 2005. — Marie-Thérèse Mutin, Jean Poperen tel qu’en lui-même, Mutines Éditions, 2006.

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