Membre du Comité central des vingt arrondissements.
Avec ses amis du Comité central des vingt arrondissements auquel il appartenait, il présenta, le 15 septembre 1870, les mesures d’urgence que le gouvernement de la Défense nationale aurait dû, selon les signataires, se hâter de « transformer en décrets pour le salut de la patrie et de la République ». Ces mesures intéressaient la sécurité publique, les subsistances et les logements, la défense de Paris et des départements. Voir Ch.-L. Chassin.
A-t-il un rapport avec Cousin, ouvrier blanquiste à Paris, et Cousin, qui participa à la Commune ?