Né à Limoges (Haute-Vienne) ; employé ; militant du Parti communiste.
Arrêté en 1939, Bonin fut condamné à un an de prison et cinq ans d’interdiction de séjour pour distribution d’un tract du Parti communiste. En septembre 1940, sa peine effectuée, il fut interné au camp de Sablon (?) (Dordogne) puis à Saint-Paul d’Eyjeaux (Haute-Vienne). Par la suite, il fut transféré à Djelfa en Algérie, puis à Colomb-Béchar où le trouva la Libération.
SOURCE : A. Moine, Déportation et Résistance en Afrique du Nord, op. cit. p. 165.