DORON Jean, Pierre

Par Jean Lorcin

Né le 28 mars 1899 à Givors (Rhône) ; mort le 23 février 1932 ; instituteur ; militant communiste, secrétaire du rayon de Saint-Étienne, puis secrétaire régional (1932).

Le Cri du peuple, 25 octobre 1937, Toussaint 1937, Hommage à Doron, au cercle des cheminots.

Jean Doron, fils de Claude Doron et de Benoîte Antoinette, née Beaufils, élève de l’École normale d’instituteurs de Montbrison, promotion 1915-1918, devint instituteur au lendemain de la guerre. Sa collaboration au Peuple de la Loire, le journal de Ferdinand Faure*, reprit à son retour de l’armée, le 10 juin 1923, sous les initiales « J. D. » Cet organe de presse exprimait alors la tendance « socialiste communiste ». Jean Doron, dans une série d’articles de fond, du 10 juin au 7 octobre 1923, s’en prit avec vigueur à la stratégie de rupture des communistes orthodoxes, lui préférant l’action des « communistes unitaires » en direction des masses rurales et des « classes moyennes » (10 juin 1923).

L’affaire de la Ruhr n’en poussa pas moins Doron, alors instituteur au Soleil (commune de Saint-Étienne), dans les rangs du PC et il s’engagea immédiatement dans la campagne que menait ce dernier contre le traité de Versailles.

En 1924, Doron participait à l’assaut mené par les communistes contre Lorduron* au sein de l’Union départementale CGTU de la Loire. À la fin de la même année, dans le cadre de la réorganisation du Parti, il fut responsable de la commission des cellules de la Loire : dans une circulaire adressée aux secrétaires de cellules, il répercutait le mot d’ordre de la « bolchevisation » :

« Il faut que les cellules deviennent le plus tôt possible des centres d’activité. Elles doivent accomplir toutes les tâches du parti. Vous êtes l’animateur de votre cellule. Vous aurez à cœur de la faire marcher. Vous aurez à cœur de travailler à organiser un parti vraiment bolchevik [...]. Au travail, le temps presse, il nous faut un parti bolchevik » (Arch. Dép. Loire, M 541, pièce 312).

Dès le 6 décembre, Doron, secrétaire général du rayon, pouvait rédiger un premier bulletin de victoire : seize cellules fonctionnaient déjà. C’était, disait-il, « le commencement du fonctionnement de la réorganisation du Parti ». Le 11 janvier 1925, le congrès régional le délégua au Ve congrès national tenu à Clichy du 17 au 21 janvier 1925. Il y intervint à deux reprises.

Dès 1925, Doron était candidat du PC aux élections municipales de Saint-Étienne. Tout en s’opposant à la tactique d’alliance électorale avec les radicaux préconisée par Malot* pour faire pièce aux socialistes-communistes, le nouveau secrétaire général du rayon de Saint-Étienne recommandait la plus grande « souplesse » dans l’accueil des transfuges de ce dernier parti (Arch. Dép. Loire, M 540, pièce 721). Dans le même esprit, Doron mettait en garde les membres du comité de rayon chargés de contrôler l’activité des cellules contre le « caporalisme » (Arch. Dép. Loire, M 540, pièce 723). Était-ce la traduction à la base d’un tournant qui se dessinait au sommet, avec l’élimination des dirigeants « centristes » Treint et Suzanne Girault* ?

Doron fut également candidat du PC aux élections cantonales du Chambon-Feugerolles. Il se vantait d’avoir le soutien unanime de la municipalité communiste du Chambon, mais l’un de ses membres, Pétrus Faure*, devait rappeler, en 1929, que Jean Doron avait fait écarter la candidature de l’ancien maire du Chambon, Brunon* contre l’avis de tous les membres du Parti dans le canton. La violence des propos « défaitistes » de Doron, à l’occasion de la guerre du Rif, lui valut d’être traduit devant le tribunal correctionnel de Saint-Étienne, et lui attira les attaques du sénateur Chéron, qui déniait à un instituteur tenant de tels propos « le droit de faire la classe aux enfants de la République ». Sa position était bien faite, également, pour lui aliéner les sympathies des radicaux et des modérés, dont les voix allèrent en partie à son adversaire socialiste communiste Terrasson. Au premier tour, Doron n’obtint que 1 257 suffrages sur 5 113 exprimés, contre 1 818 à Terrasson et 1 925 au candidat de droite Fuvel. Doron se retira avant le scrutin de ballottage.

Au congrès de rayon de janvier 1926, le secrétaire de rayon eut à faire face à une violente opposition par suite de la chute des effectifs. Il fut relevé de ses fonctions par le congrès de rayon de juillet 1926 : il fut remplacé par Roudil, mais continua, à titre transitoire, à s’occuper de la propagande. En fait, il semble avoir conservé l’essentiel de ses fonctions. En dépit des attaques de certains membres du Parti qui le qualifièrent même de « traître » parce qu’il avait appelé ses camarades au calme lors de la manifestation du 7 février 1927 contre les Camelots du roi, Doron fut réélu secrétaire du rayon de Saint-Étienne le 20 février 1927. Il déploya alors une intense activité qui contrastait, déplorait-il, avec l’inertie des autres membres du Parti. Elle eut sa traduction dans un redressement spectaculaire du PC dans le département : en juillet 1927, le nombre des adhérents avait doublé par rapport à celui de l’année précédente ; il était passé de 400 à 800. Cependant, on vit s’affirmer chez Doron une tendance à l’autoritarisme qu’explique la persistance de la crise du Parti : les effectifs baissaient de nouveau.

Doron fut candidat aux élections législatives d’avril 1928 dans la deuxième circonscription de Saint-Étienne. À cette occasion, il dut repousser tour à tour, à la conférence de rayon du 12 février 1928 réunie pour arrêter la tactique électorale du Parti, les thèses opposées des intransigeants comme Pétrus Faure*, Arnaud* et Ramier*, hostiles à toute offre d’alliance aux socialistes, et des libéraux comme Le Griel, partisans du désistement en faveur des candidats socialistes qui accepteraient de former le Bloc ouvrier paysan « pour barrer la route à la réaction ». Doron répondit aux premiers que cette demande d’alliance était une simple question de tactique, étant donné que les conditions imposées par le PC étaient inacceptables pour les socialistes, et aux seconds que, devant le refus opposé par les socialistes aux propositions du « front unique » du Parti communiste, il n’y avait pas lieu de les renouveler. Devant la vivacité des deux oppositions, le secrétaire fédéral dut néanmoins s’en remettre à l’avis du comité de rayon (Arch. Dép. Loire, 3 M 70, pièce 41, rapport du commissaire central et 54-55 rapport du commissaire spécial, Saint-Étienne, 13 février 1928) qui allait se réunir le 14 mars suivant en présence de deux délégués de la IIIe Internationale, Pinkus Finder, alias Georges Olivier, et Werner Jaggi, venus examiner les causes de la baisse des effectifs du Parti depuis 1927. Ces derniers soutinrent contre des intransigeants comme Arnaud, représentant au sein du Parti et de la CGTU la tendance syndicaliste révolutionnaire, la thèse de Benoît Frachon*, partisan de l’unité à la base avec les socialistes. Au cours de la campagne électorale qui suivit, les violences des partisans de Doron, en particulier des membres des Jeunesses communistes, indisposèrent contre lui une partie de l’opinion ouvrière qui comprenait mal la tactique « classe contre classe » du Parti communiste. On accusait en effet ce dernier de favoriser systématiquement les candidats de droite en refusant tout désistement au second tour. Pour sa défense, Doron rétorquait que les votes de son principal adversaire de gauche, le candidat radical-socialiste Antoine Durafour, ministre du Travail dans le gouvernement d’Union nationale, avaient souvent coïncidé avec ceux de la réaction. Au soir du premier tour, J. Doron affichait cependant un optimisme qui n’était pas seulement de façade, le PC ayant recueilli dans la Loire 21 000 voix, contre 4 500 en 1924. Doron, pour sa part, avait obtenu, dans la deuxième circonscription de Saint-Étienne, 2 621 voix sur 17 471 suffrages exprimés, distançant, et de loin, le candidat socialiste Lucien Avias* qui n’avait obtenu que 499 suffrages, contre 6 240 à Pierre Doron, candidat de l’URD, et 8 034 à Durafour, qui l’emporta au deuxième tour.

Jean Doron se présenta aussi au conseil général dans le canton Sud-Ouest de Saint-Étienne, après avoir fait écarter la candidature du vieux militant Urbain Malot*. Il ne recueillit au premier tour que 789 voix sur 5 326 suffrages exprimés, contre 281 au socialiste SFIO. Arsac, 1 886 au candidat de l’URD, Pauze, et 2 368 au radical-socialiste Teissier. Son maintien au deuxième tour lui valut la perte d’environ un quart de ses électeurs : il n’avait plus que 599 voix sur 5 211 suffrages exprimés, contre 2 026 à Pauze et 2 581 à Teissier ; le candidat socialiste s’était retiré.

La même année 1928, Doron remplaça Frachon, appelé à de plus hautes responsabilités, au secrétariat de la région de Lyon du PC. Délégué au VIe congrès national du PCF (Saint-Denis, 31 mars-7 avril 1929), Doron y prit la parole. Selon une source policière il aurait été élu au Comité central mais il ne figure pas sur les listes établies par l’Institut Maurice Thorez (t 16, p. 470).

Après l’échec de la grève des mineurs de la Loire, lancée par le syndicat unitaire sur le thème revendicatif des « cent sous », Doron, secrétaire de l’Union régionale unitaire, stigmatisa, dans son éditorial du Cri du Peuple, le 2 février 1929, l’attitude tant des mineurs eux-mêmes que de certains membres du Parti. « La grève des mineurs de la Loire est riche d’enseignement, écrivait-il [...] Il faut dire courageusement que nos camarades mineurs ont eu une incompréhension presque totale des luttes ouvrières à notre époque [...] Ils ont préparé et dirigé la grève comme on le faisait avant-guerre [...] Si les comités de puits avaient été créés avant le conflit, ils auraient été des centres de résistance faisant participer tous les mineurs à la lutte et ils auraient été imbattables [...] Enfin, il faut dénoncer devant toute la classe ouvrière les faiblesses, la passivité qu’ont montrés certains membres du PC [...] Ces éléments-là qui ont agi objectivement comme des réformistes ont été à la remorque des masses [...] C’est pourquoi dans une assemblée d’information tenue à Saint-Étienne, notre Parti a décidé de les chasser de ses rangs. Il a exclu quatre militants qui n’avaient pas fait leur devoir de classe. » À travers les simples militants, dont l’exclusion sema le désarroi dans les rangs du Parti communiste — « Et quand il ne restera plus personne à exclure ? » interrogea un jour un auditeur de Doron —, c’étaient les deux chefs de file de la tendance « anarcho-syndicaliste », Arnaud et Pétrus Faure*, qui étaient visés : l’un devait rejoindre la CGT confédérée, l’autre allait former le PUP avant de rallier la SFIO en 1938.

Cette vague d’exclusions était la traduction sur le plan local du durcissement du Parti. C’est ainsi que les élections de 1929 n’étaient, pour la direction du PC, qu’une occasion d’appeler les ouvriers à « l’action directe », à descendre dans la rue, à se grouper en « comités d’usines » face aux « préparatifs de guerre de la bourgeoisie » : ce thème de « la guerre qui vient » parut suffisamment mobilisateur pour lancer la classe ouvrière à la « conquête de la rue », à l’occasion de la « Journée rouge contre la guerre » organisée par la IIIe Internationale le 1er août 1929 (Le Cri du Peuple, 25 mai 1929). J. Doron, alors en congé, fut au premier rang de cette action, à l’issue de laquelle il fut arrêté, brutalement frappé, et condamné à vingt jours de prison « pour insultes aux agents ». Il fut en outre révoqué de son poste d’instituteur (Le Cri du Peuple, 12 octobre 1929). Cette sanction prise contre l’avis du Comité départemental de l’enseignement provoqua une importante campagne de protestation de la Fédération unitaire de l’Enseignement comme du Syndicat national.

La journée du 1er août entraîna également la rupture définitive de Pétrus Faure*, maire du Chambon-Feugerolles*, avec le PC. Il avait refusé de se plier à la « discipline de fer » du Parti en ouvrant, malgré l’interdiction du préfet de la Loire, une salle de la mairie aux congressistes du Bloc ouvrier et paysan (La Tribune, 26 octobre 1929). Pour Doron, cet incident ne faisait qu’étaler au grand jour un différend plus profond, comme le prouva la conférence du rayon de Saint-Étienne au cours de laquelle, avant d’être exclu, Pétrus Faure* énuméra ses éléments de désaccord avec le Parti : il niait « l’imminence de la guerre » qui avait motivé la grève du 1er août, la « radicalisation » des masses. Pour Doron, Pétrus Faure* se montrait ainsi sous son vrai jour d’« opportuniste invétéré » (La Tribune, 24 octobre 1929). Doron fut réélu au bureau du comité de région par la conférence régionale du PC de Lyon au cours de laquelle les cas d’Arnaud et de Pétrus Faure* avaient été examinés, le 9 février 1930.

Candidat du Parti aux élections municipales de Saint-Étienne en 1930, Doron obtint au premier tour 2 886 voix sur 28 794 suffrages exprimés ; les candidats communistes se maintinrent au scrutin de ballottage où l’emporta la liste du député radical-socialiste de Saint-Étienne, Antoine Durafour, qui fut élu maire à la place de Louis Soulié.

Doron, qui avait cessé d’écrire dans le Cri du Peuple, fut encore candidat du PC au conseil général en 1931, dans le canton Sud-Est de Saint-Étienne. Il recueillit au premier tour 738 suffrages, contre 1 025 au socialiste SFIO F. Faure, 3 674 au radical-socialiste Durafour, et 3 107 au candidat de l’URD, Pierre Doron. S’étant maintenu au second tour, à la différence du candidat socialiste, J. Doron n’obtenait plus que 488 suffrages contre 3 225 à Pierre Doron et 4 574 à Durafour, élu avec une confortable avance grâce au désistement de F. Faure.

Jean Doron devait mourir prématurément en 1932, peu après s’être présenté aux élections législatives dans la deuxième circonscription de Saint-Étienne, qui englobait les deux cantons sud de la ville, « épuisé », dit Benoît Frachon* dans son éloge funèbre, par son action, « sans une minute de repos », à la tête de la région lyonnaise du PC (Le Cri du Peuple, 5 mars 1932). Son action fut poursuivie tant au comité de rayon qu’au Cri du Peuple, par Marie Doron* née Fleur qu’il avait épousée le 6 septembre 1930, à Saint-Étienne. À Lyon, c’est Waldeck Rochet* qui prit sa succession au secrétariat de la Région.

L’ascension rapide du jeune instituteur dans les échelons locaux et régionaux du Parti et de la CGTU coïncida avec la période où prévalut au sein du PC une tendance « sectaire » accusée : Doron ne répondait-il pas superbement, à un interlocuteur inquiet de la vague d’épurations de 1929 : « Il y a des abdications partout, mais nous resterons toujours une phalange qui tiendra le flambeau » (La Tribune, 26 octobre 1929) ? Toujours est-il que sa personne fut, jusqu’à la guerre, l’objet d’une vénération particulière dans un Parti que Doron avait contribué à organiser sur le plan local dans « la période difficile » et dont il avait formé la plupart des dirigeants régionaux en place en 1936. Aussi, chaque année, à la Toussaint, un défilé était-il organisé à la mémoire de Jean Doron (La Tribune, 28 octobre 1937).

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article110532, notice DORON Jean, Pierre par Jean Lorcin, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 9 août 2021.

Par Jean Lorcin

Le Cri du peuple, 25 octobre 1937, Toussaint 1937, Hommage à Doron, au cercle des cheminots.

ŒUVRE : Article et éditoriaux dans le Peuple de la Loire, sous la signature « J. D. », notamment « Méthodes » (10 juin 1923), « Lutte de classes » (1er juillet 1923), « À l’assaut ! » (8 juillet 1923), « Unité ! » (29 juillet 1923), « Divisions ! » (9 septembre 1923), « Le pouvoir » (7 octobre 1923) ; et dans le Cri du Peuple, 23 mars 1927, 19 juin 1927 (« Les Radicaux à plat ventre »), 11 février 1928 (« Socialistes d’Union Nationale ! »), 18 février 1928 (« Classe contre classe ! »), 3 mars 1928 (« Démocratie et communisme »), 10 mars 1928 (« Collaboration et lutte des classes »), 24 mars 1928 (« Expliquons-nous une fois pour toutes ! »), 31 mars 1928 (« Les chefs socialistes et nous »), 21 avril 1928 (« Le Parti communiste seul contre tous ! »), 28 avril 1928, 5 mai 1928 (« Les travailleurs de la Loire derrière notre Parti »), 12 mai 1928 (« Le devoir ! »), 20 octobre 1928 (« Qui fait le jeu de la réaction ? »), 2 février 1929 (« Les enseignements de la grève des mineurs »), 25 mai 1929 (« Contre la guerre qui vient »), 9 novembre 1929. — « Notre tactique aux élections cantonales », dans Le Travail, 12 septembre 1931.

SOURCES : Arch. Nat. F7/13105, F7/13 106, F7/13110, F7/13113, F7/13116, F7/13121, F7/13749. — Arch. Dép. Loire, 3 M 70, 3 M 73, 4 M 120, 4 M 123, 4 M 125, 4 M 127, M 539-541 (dossiers politiques 1920-1925). — État civil de Givors. — Renseignements communiqués par C. Buard et U. Thévenon. — Articles précités. — Le Mémorial de la Loire, 17 décembre 1924 (« L’activité communiste dans la Loire »), 17 juillet, 21 novembre 1925 (« La propagande communiste dans la Loire »). — Le Cri du Peuple, 14 avril 1928, 12 et 26 octobre 1929, 24 octobre 1931, 5 mars 1932. — La Tribune Républicaine, 3 juillet 1925 (« La campagne marocaine est évoquée devant le Sénat »), 19 juillet 1925, 24 juillet 1925 (« L’attitude du PC (SFIC) »), 18 mars 1927, 6 avril 1928, 8 avril 1929 (« Lettre du citoyen Doron »), 10 avril 1928 (« Le citoyen Doron et Jean Jaurès* »), 12, 17 avril 1928, 19 avril 1928 (« Ni dupes, ni complices »), 25 octobre 1929 (« L’exclusion de M. Pétrus Faure* »), 26 octobre 1929 (« Les ouvriers du Chambon approuvent leur maire »), 4-5 juillet, 14 juillet, 22 juillet, 28 juillet 1930, 28 octobre 1937. — La Voix du Peuple, 25 février 1933 (article anniversaire sur la mort de P. Doron). — Pétrus Faure*, Histoire du Mouvement ouvrier dans la Loire. — Henry Destour, Les Syndicalistes révolutionnaires et le Mouvement syndical dans le département de la Loire entre les deux guerres mondiales, Mémoire de Maîtrise, Saint-Étienne. — Roger Martin, Les instituteurs de l’entre deux guerres, PU de Lyon, 1982, pp. 123-124.

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