DUFOUR Camille, Adolphe

Par Justinien Raymond, Jean-Charles Guillaume

Né le 22 mai 1885 à Poilly-sur-Tholon (Yonne), mort le 26 décembre 1963 à Quimper (Finistère) ; professeur de lettres ; militant socialiste puis communiste de l’Yonne puis militant SFIO.

Camille Dufour
Camille Dufour

Fils d’instituteur, licencié ès lettres, professeur de lettres au collège de Joigny (Yonne), Camille Dufour militait, jeune encore, dans la Fédération socialiste SFIO du département à la veille de la guerre de 1914. Il se maria à Paris, Ier arr., le 23 juillet 1907 avec l’institutrice Suzanne Richard.

Durant l’année 1918, il donna chaque semaine des cours d’histoire du socialisme et du marxisme à des membres de la section des « Jeunesses syndicalistes » d’Auxerre dans le cadre du programme de formation organisé par Adrien Langumier.

La paix revenue, il fut un des reconstructeurs d’une Fédération troublée par l’action antiparlementaire d’Hervé et par la défection du député Jobert en 1919. Au congrès fédéral de Laroche-Migennes du 23 mars 1919, Dufour exprima sa conviction : « C’est la bourgeoisie de tous les pays qui porte la responsabilité et l’éternelle honte de la guerre. » Il qualifia la motion de François Duporc de « reniement même du socialisme », ne proposa qu’un seul texte, celui de la majorité, entra au comité fédéral et devint délégué à la propagande et bientôt directeur politique du Travailleur socialiste de Sens. Dans le texte qu’il fit voter à main levée, il exprimait sa confiance dans la révolution russe et condamnait l’intervention criminelle par laquelle les bourgeoisies des pays alliés voulaient l’écraser. Le soir même, dans le meeting qui suivit le congrès, il développa avec Maurice Millerat le programme socialiste et syndicaliste et s’attacha à montrer l’unité d’action qui devait exister dans les deux organisations. Le 1er mai, à Laroche, après la manifestation au cours de laquelle 1 000 à 1 200 personnes portant l’églantine à la boutonnière entonnèrent L’Internationale, il fit l’historique du Premier Mai devant 600 personnes dont Lucien Midol, le vénéré camarade de Dijon et l’Internationale ouvrière.

Le 1er juin, il reprocha à François Duporc d’avoir saboté le Travailleur socialiste de l’Yonne « pendant les quinze jours qu’ont duré ce que les bourgeois ont appelé la censure bolchévique ». Il fut désigné directeur politique du journal de la fédération et candidat de la SFIO aux élections législatives de novembre avec Félix Boullé et Marcel Pinon. Il sut se montrer conciliant en affirmant qu’il ne croyait pas que « la flamme révolutionnaire de Jobert [fût] éteinte à jamais », en rendant « hommage à son activité parlementaire inlassable et souvent féconde » et en le priant de faire « acte de discipline ». Il continua en revanche à s’opposer violemment à Luc Froment à propos de la répression du mouvement spartakiste : « Vous avez dû être heureux, vous qui insultez les meilleurs militants du socialisme international, quand, quelque temps après l’ignoble article au cours duquel vous demandiez douze balles dans la peau pour Karl Liebknecht et Rosa Luxembourg, vous avez vu ces deux militants tomber sous les coups de vos amis politiques d’au-delà du Rhin ! » Au comité fédéral de juillet, au terme d’une discussion courtoise, il accepta que Maxence Roldes et Aristide Jobert fussent désignés candidats du parti aux élections législatives de novembre.

Le 6 août, il justifia ainsi son virage : « Nous travaillons à éveiller chez l’ouvrier le sentiment prolétarien et à créer en lui une conscience de classe. […] Nous ne considérons pas la révolution comme un but ; c’est un moyen qui peut d’ailleurs revêtir bien des formes et n’exclut pas par avance le respect de la légalité. […] Nous n’avons pas changé. Marxistes nous étions, marxistes nous sommes demeurés, et par là, s’explique le sens de notre révolutionnarisme constructif. […] Nous disons à la classe ouvrière qu’il ne lui servirait à rien de s’emparer du pouvoir si elle n’était à même de faire face, dès le lendemain, aux exigences de la production économique. Nous disons que cette production économique, loin d’être diminuée, devra être augmentée et qu’en conséquence il faudra pendant cette période transitoire les ouvriers fassent beaucoup d’ouvrage et de l’ouvrage bien fait […]. Nous n’avons jamais proclamé et nous ne proclamerons jamais le Droit à la Paresse, et quand nous disons qu’il est temps de faire au Travail la place à laquelle il a droit, c’est du travail productif, honnête et consciencieux que nous voulons parler. Ce n’est pas avec les gâcheurs ou des paresseux, c’est avec de bons ouvriers que nous voulons bâtir la société nouvelle. »

Le 20 août, il confirma sa volonté de réconciliation et de synthèse : « Une seule chose est nécessaire : c’est que nous venions tous dans un esprit d’unité et de camaraderie. Pas de querelles personnelles […] N’oublions pas que des anciens, que des pionniers de la Fédération, qui s’étaient écartés de nous à la suite de nos divisions intestines, vont se trouver présents de nouveau : ne les éloignons pas à jamais. N’oublions pas non plus que de jeunes groupes, composés d’éléments nouveaux, vont nous envoyer des délégués qui participeront pour la première fois à un congrès socialiste ; ayons à cœur de leur laisser une impression réconfortante. »

Au congrès extraordinaire du 24 août, il tiqua lorsque Jobert déposa une motion condamnant la dictature du prolétariat et le bolchévisme, admit « souhaiter que la transformation sociale s’accomplît par voie d’évolution pacifique », déclara « qu’il serait imprudent de renoncer par avance à l’arme révolutionnaire » à l’emploi de laquelle la classe ouvrière pourrait être acculée « en cas de résistance illégale de la bourgeoisie », et se rangea à l’argument de Maxence Roldes pour qui la révolution est immédiatement impossible « par manque d’organisation du prolétariat et par défaut de compétences techniques ouvrières » et qu’en conséquence il fallait s’appliquer « à la tâche d’éducation et de recrutement en vue de la conquête électorale du pouvoir politique ». Grâce à ce compromis, le congrès fut celui de l’unité et de la concorde fraternelle : « Un ou deux menus incidents le matin. […] Le vent n’est pas au combat, on sent trop l’autre bataille, la véritable, qui exige que nous ramassions toutes nos forces pour les opposer à la coalition adverse. […] Les trois motions qui sanctionnèrent ce triple débat ont été votées à l’unanimité. […] Les militants qui étaient venus des quatre coins du département sont repartis avec une impression joyeuse et vivifiante. La satisfaction était générale. » La candidature Jobert est ratifiée par 53 voix contre 10 et celle de Maxence Roldes à l’unanimité. Dufour fut désigné avec Boullé et Mary Guerder comme délégué au congrès national de septembre avec mandat de voter pour le maintien de la motion Bracke refusant l’alliance avec les partis bourgeois aux élections législatives de novembre.

Le 13 septembre, il préféra s’abstenir de tout commentaire superflu après l’article de François Martin, ancien candidat socialiste aux élections de 1914, qui se déclarait heureux de n’être pas candidat aux élections car il n’aurait pas pu prêcher l’amour du Prussien, fourbe et menteur, ni l’admiration du bolchévisme.

Le 17 septembre, il considéra que les kienthaliens paraissaient « les seuls à soutenir le drapeau révolutionnaire échappé des mains incertaines des chefs de l’ancienne majorité » et invita la fédération à pendre position vis-à-vis d’eux.

Aux élections législatives de novembre, il figura au 3e rang de la liste des cinq candidats socialistes : sur 90 626 inscrits, il recueillit 7 672 voix sur une moyenne de liste de 7 869, la droite enlevant tous les sièges. A Auxerre, sa liste recueillit en moyenne 12,2% des voix contre 36,4% à celle de Jobert et 47,6% à celle de Milliaux.

La déception qu’éprouva Camille Dufour à la lecture de ces résultats ne fut pas tempérée par ceux des élections municipales de décembre : à Auxerre, tous les candidats ouvriers de la liste Surugue, qui avaient conduit le mouvement ouvrier de juin, furent battus au second tour par la liste soutenue par Le Bourguignon : trop d’ouvriers au Conseil municipal auraient nui à l’organisation de la ville.

Le 1er février 1920, il prit la parole devant 700 cheminots réunis dans la grande salle de la mairie de Migennes qui s’engagèrent à « répondre unanimement à tout ordre de cessation de travail qui leur [serait] donné par la Fédération pour l’obtention de leurs revendications » et réclamèrent « énergiquement la fin de l’intervention en Russie et l’amnistie pleine et entière pour les soldats, les marins de la Mer Noire et les Syndicaliste frappés par la classe bourgeoise. »

Au congrès fédéral de Tonnerre du 8 février 1920, il défendit la motion Longuet - dite des « Reconstructeurs » - qui refusait d’adhérer à la Troisième Internationale communiste et voulait « reconstruire » la Deuxième Internationale. Il obtint 32 mandats contre 8 pour la motion prônant l’adhésion à la 3e Internationale. Il fut délégué titulaire au congrès national de Strasbourg avec Jean Lux.

Le 17 mars, il anima une réunion éducative organisée par le groupe socialiste d’Auxerre pour commémorer l’anniversaire de la Commune. Le lendemain, dans la grande salle du passage Soufflot, il fit revivre, « avec sa superbe éloquence », en présence de Zéphyrin Camélinat, l’ancien directeur de la Monnaie de Paris en 1871.

Le 21 mars, lors d’un meeting organisé par la CGT rassemblant quelque 800 personnes dans la grande salle de la Bourse du Travail d’Auxerre, il écouta le camarade Picard, secrétaire de l’Union, expliquer que la CGT devait, « en présence de tentatives de la réaction gouvernementale contre les libertés syndicales », « montrer aux dirigeants que la classe ouvrière [était] prête à faire front », puis le camarade Antonin, des Cheminots, dégager ensuite « la morale de la grève victorieusement soutenue par sa corporation ». Enfin, il fit « une revue […] des graves événements », analysa « les causes du désordre économique » et montra « que, seule, une transformation radicale dans l’organisation de la production [serait] capable d’y mettre un terme. »

Le 25 avril, il fut désigné par le congrès de l’Union départementale des syndicats, à Joigny, délégué de Laroche-Migennes.

Le 1er mai, il défendit la nationalisation des services publics proposée par la CGT : « Jamais le prolétariat ne s’est trouvé en face d’une situation économique aussi grave, aussi angoissante, aussi pleine d’incertitude du lendemain que celle qui nous a été créée par une bourgeoisie défaillante. ». Il appela à une démonstration « grandiose » et pacifique, « marquée par un chômage sans précédent, paralysant pour quelques heures toute l’activité nationale, et montrant ainsi aux esprits les plus fermés la formidable puissance du Travail ».

Le 5 mai, il fit sien, comme les autres membres du comité de la fédération socialiste de l’Yonne, le programme du Bureau confédéral de la CGT demandant la constitution d’un consortium international pour répartir les matières premières, celle d’une flotte internationale placée sous le contrôle de la Société des Nations, la répartition internationale des charges de guerre, l’entente économique entre tous les peuples sur la base de la coopération, la cessation des expéditions coloniales…

Le 22 mai, devant les quelque 2 500 cheminots réunis dans un meeting à Migennes organisé en réponse à la provocation du 18 mai des « représentants du mercantilisme », il traita le programme de nationalisation du Parti socialiste.

Après l’échec des grèves de mai 1920, il fut sur la défensive car il dut faire face à la crise syndicale et politique. Le 27 juin, lors de la réunion du comité fédéral, il protesta contre la répression gouvernementale et confirma son engagement pour la motion des reconstructeurs. Le 9 juin, il fit appel à la solidarité des militants de la fédération : « Camarades ! Vous n’ignorez pas dans quelle conditions difficiles, avec toutes les forces de la réaction gouvernementale déchaînées contre eux, nos camarades cheminots viennent de mener une longue lutte d’un mois, toute de calme et de dignité. . […] Leur grève brisée par l’arrestation des militants et les coups de force du pouvoir vient de se terminer par un échec. Les victimes sont nombreuses : rien que dans ce département nous comptons une centaine de révoqués. Essayez de réaliser par la pensée ce que cela représente de misère, de situations brisées, d’enfants plongés dans le dénuement ! […] Il faut que la solidarité ouvrière se montre agissante ! […] Ce qu’il faut, c‘est [leur] trouver du travail. » Le 25 juillet, il se rendit à Lézinnes avec Louis Picard, secrétaire de l’Union, pour reformé un syndicat qui s’était disloqué après les incidents survenus à l’occasion du 1er mai.

Le 7 août, il tira ensuite les leçons de l’échec de la tourmente de mai. Il ne niait pas le rôle des défaillances individuelles, des combinaisons de couloir, des « manœuvres d’un arrivisme effréné que la morale syndicale ne saurait trop sévèrement condamner ». Mais, en s’inspirant d’une étude de Jean Jaurès parue en 1901 et intitulée « Grève générale et Révolution », il retenait trois causes principales : l’opinion ouvrière n’était pas suffisamment préparée à partir en lutte pour une revendication telle que la Nationalisation ; l’atmosphère d’hostilité violente qui, dès le début, entoura les grévistes, l’aide réelle apportée par le public aux grandes compagnies et les coups de force du pouvoir jetèrent le trouble et le doute dans l’esprit des ouvriers ; la grève générale présentée comme le prodrome et la mise en train d’une action de violence révolutionnaire a provoqué d’emblée un mouvement de terreur et de réaction auquel la fraction militante n’a pas suffi à résister.

Le 9 octobre, il changea de cap. Il reconnut qu’il n’était pas possible de retourner à la Deuxième Internationale : « Sa faillite est complète et ses déviations s’accentuent de jour en jour […]. D’ailleurs, au Congrès de Tonnerre, aucune voix ne s’était prononcée pour elle. Dans le référendum organisé par notre camarade Lux, aucun groupe n’a préconisé ce retour. La cause est donc entendue. » Toutefois, il considérait certaines conditions à l’adhésion toujours comme « inacceptables » et proposait « d’ouvrir de nouvelles négociations avec Moscou ».

Le 19 décembre, le congrès fédéral de Tonnerre vota l’adhésion à la 3e Internationale par 65 mandats contre 3, nomma Camille Dufour secrétaire fédéral en remplacement de Jean Lux et le désigna comme délégué titulaire avec Jean Denjean au Congrès de Tours de décembre où se consomma la scission. Avec l’ensemble de la Fédération socialiste de l’Yonne, Dufour passa au Parti communiste et il s’en expliqua à la séance du 26 décembre. « Comme cette Fédération avait donné à Strasbourg la grosse majorité aux reconstructeurs, je tiens à vous dire pour quelles raisons elle a abandonné la reconstruction pour passer à la IIIe Internationale. Il nous est apparu d’abord que pendant une année les reconstructeurs n’avaient absolument rien reconstruit, et que, comme on était allé à la reconstruction pour aboutir par une voie détournée à Moscou et que cette voie détournée était restée encombrée pendant certains moments, le meilleur moyen d’y aller tout de suite, c’était de prendre immédiatement le chemin direct. Ensuite, c’était la conséquence d’une campagne électorale menée directement sur le terrain de la IIIe Internationale et sur le plan d’action de la Révolution russe. Nous nous sommes présentés devant les électeurs comme des candidats bolchevistes... »

Tout en poursuivant des études (il fut reçu à la licence en droit en juillet 1923), Dufour prit la tête de la Fédération communiste de l’Yonne. Mais certaines attitudes attestent que sa conversion au bolchevisme, n’était pas totale. C’est afin de rester « avec l’Internationale, quoi qu’il en coûte » (Le Travailleur, 23 décembre 1922) que, conformément à la décision de l’Internationale communiste, il démissionna de la Ligue des droits de l’Homme et du Citoyen, de la Libre Pensée et de la Franc-maçonnerie. Au congrès fédéral communiste du 11 décembre 1921, Dufour combattit la proposition du comité directeur sur la tactique électorale, favorable au maintien des candidats communistes au deuxième tour de scrutin ; il préconisa, à l’inverse, leur désistement mais il fut seul de son avis, quatre mandats se prononçant pour le maintien, 65 pour le retrait pur et simple. Il fut néanmoins délégué au congrès national de Marseille. Au début de l’année 1922, Dufour demanda à être déchargé du secrétariat fédéral pour raison de santé, mais il reprit son poste en avril 1923.

Au mois d’octobre suivant, à la suite de dissensions, la commission exécutive de la Fédération de l’Yonne rejeta la demande de démission de son secrétaire et prononça son exclusion, « considérant que, sans avoir jamais saisi la direction du Parti d’aucun grief, le citoyen Camille Dufour avait émis publiquement dans la presse régionale, non seulement des opinions nettement anticommunistes, mais tout à fait fantaisistes et de nature à discréditer le Parti et l’Internationale ». En juillet 1924, avec Marcoux, Jean Rougeaud et Houdaille, Dufour recréa une Fédération adhérente au Parti socialiste SFIO. Il quitta cette dernière en janvier 1928, en annonçant son intention de se présenter aux élections législatives de mai, ce qu’il fit dans la 1re circ. d’Auxerre-Avallon. Sous l’étiquette d’« unioniste » préconisant la réunion des deux partis ouvriers, il se classa en tête de tous les candidats avec 7 418 voix, devant J.-M. Renaitour, socialiste SFIO (5 932), Dominique, radical-socialiste (1 820), Landreau, communiste (879), Gros, radical (842) et 259 suffrages à divers candidats. Au 2e tour de scrutin, Dufour fut battu par J.-M. Renaitour qui bénéficia du désistement de Dominique, avec 8 743 voix contre 8 973, Landreau n’en conservant que 76.

C’était la fin des espoirs politiques de Dufour.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article111150, notice DUFOUR Camille, Adolphe par Justinien Raymond, Jean-Charles Guillaume, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 15 avril 2020.

Par Justinien Raymond, Jean-Charles Guillaume

Camille Dufour
Camille Dufour

SOURCES : Arch. Nat. F7/12992, F7/13023 (rapports des 22 mars et 5 avril 1920 et 5 février 1921), F7/13745. — Le Travailleur socialiste de l’Yonne, notamment les numéros des 26 mars 1919, 3 mai 1919, 4 juin 1919, 13 juin 1919, 23 juillet 1919, 6 août 1919, 20 août 1919, 27 août 1919, 13 septembre 1919, 17 septembre 1919, 4 février 1920, 11 février 1920, 13 mars 1920, 24 mars 1920, 25 avril 1920, 28 avril 1920, 1er mai 1920, 5 mai 1920, 23 mai 1920, 9 juin 1920, 30 juin 1920, 28 juillet 1920, 7 août 1920, 2 octobre 1920, 9 octobre 1920, 22 décembre 1920, 8 janvier 1921. — L’Yonne des 4 et 13 juin 1919 — Le Travailleur, années 1921 (à partir du 22 juin) à 1923 et 1928. — Témoignage d’Adrien Langumier du 12 mars 1987 — Le Congrès de Tours, édition critique, op. cit., Édit. Sociales, 1980. — Hubert-Rouger, Les Fédérations socialistes, op. cit., t. III, pp. 120-121. Photographie, p. 121. — La Vie socialiste, 14 mai 1932. — G. Lachapelle, Élections législatives du 16 novembre 1919.

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