Employé de banque à Agen (Lot-et-Garonne), André Eymard militait à la SFIO. En octobre 1936, il partit combattre en Espagne dans les rangs du Parti ouvrier d’unification marxiste (POUM). Envoyé sur le front d’Aragon, il restait en correspondance avec les socialistes d’Agen.
SOURCE : Le Réveil socialiste, 30 janvier 1937.