LOUIS Louis [Nord]

Par Yves Le Maner, Michel Pigenet

Né le 22 août 1883 à Hasnon (Nord), mort le 24 mai 1963 à Dunkerque (Nord) ; employé de commerce, représentant, puis épicier ; militant syndicaliste, socialiste et coopérateur du Nord ; trésorier de la Fédération socialiste du Nord ; président du syndicat de la Batellerie du Nord ; membre de la commission administrative de la CGT.

Militant d’une grande modestie, Louis Louis joua un rôle très important dans l’implantation du mouvement syndical et socialiste dans le Nord avant la Première Guerre mondiale.

Fils d’un maçon, militant socialiste, le jeune Louis s’établit seul à Lille à l’âge de onze ans et commença à travailler comme employé de commerce. Très jeune, il adhéra au POF et devint rapidement l’un des principaux collaborateurs de Ghesquière à la rédaction du Travailleur. Malgré son jeune âge, il fut délégué aux congrès du POF à Épernay (1899) et à Issoudun (1902).

En effet, en 1906, alors qu’il était sergent dans l’infanterie, il fut cassé de son grade pour avoir refusé de charger les grévistes de Denain qui avaient lancé un mot d’ordre de solidarité après la catastrophe de Courrières. Rendu à la vie civile, il devint l’assistant de Henri Durre*, député socialiste de Valenciennes. Louis fonda dans cette ville un syndicat des employés de commerce dont il assuma le secrétariat, ce qui lui permit d’accéder au comité de la Fédération nationale des employés (CGT). En 1909, il prit une part active à la fondation de l’Union des syndicats ouvriers de l’arrondissement de Valenciennes dont il assuma le secrétariat pendant quelques mois, à la suite d’une absence de Louis Trocmé*.

En 1910, Louis quitta Valenciennes pour s’installer à Dunkerque où il fit immédiatement preuve d’une activité aussi débordante que diversifiée. Secrétaire de la section dunkerquoise du Parti SFIO, il fut élu conseiller municipal en 1911 (il devait conserver ce mandat jusqu’en 1925 comme élu de la Basse-Ville) et mena cette même année une campagne contre la vie chère dans toute l’agglomération de Dunkerque. Il ne négligeait pas pour autant le syndicalisme. Délégué du syndicat des employés de Dunkerque à tous les congrès régionaux ou nationaux de la Fédération des Employés, il fut élu en 1912 secrétaire administratif de l’Union syndicale de la Batellerie de Dunkerque.

Doté d’une plume agile et acerbe, il collaborait alors à plusieurs journaux syndicalistes et socialistes.

Mobilisé en 1914, il combattit deux ans au front avant d’être détaché, en 1916, au ministère des Travaux publics où il siégea à la commission consultative de la navigation intérieure jusqu’à la fin des hostilités. Revenu à Dunkerque à la fin de l’année 1918, il continua à mener de front ses multiples responsabilités à un niveau encore plus élevé. Il fut membre de la commission des résolutions au congrès socialiste SFIO d’octobre 1918 (Paris).

Président du syndicat général de la Batellerie du Nord (siège à Douai), il parvint à maintenir son syndicat dans l’affiliation à la CGT lors de la scission fin 1921. Entré au conseil de la Fédération des Ports, Docks et Fleuves en 1923 il fut la même année coopté à la commission administrative confédérale de la CGT. Il fut également le promoteur de la coopérative "La Petite Batellerie" qui, possédant un chantier de construction de péniches à Courcelles-lès-Lens (Pas-de-Calais), prit ensuite la dénomination de "La Voie d’Eau."

"Majoritaire" pendant la Première Guerre mondiale, Louis faisait partie en 1919 du noyau dirigeant de la Fédération socialiste du Nord, aux côtés de Lebas et de Saint-Venant. Membre de la commission administrative fédérale, trésorier en 1920, il fut l’un des délégués du Nord au congrès de Tours (motion Blum) avec sa femme Clémence Louis.

Auteur de nombreux articles dans la presse socialiste locale, régionale et nationale, il dirigea également la revue Les Hommes du Nord.


Déjà candidat aux élections de 1919, Louis figura sur la liste socialiste dans le département du Nord pour les législatives de 1924 mais sans succès. Louis avait été élu conseiller municipal de Dunkerque en 1912 puis invalidé. Réélu en 1919, il s’affirma comme le porte-parole de la minorité socialiste au conseil et fut à l’origine de la création de l’Office municipal de constructions à bon marché. En 1925, sollicité par les militants de sa commune natale, Hasnon, il dirigea la liste socialiste SFIO qui reprit l’hôtel de ville aux communistes. Il conserva la première magistrature municipale jusqu’en 1935. Louis continua de siéger à la commission administrative de la Fédération socialiste du Nord pendant de nombreuses années et la représenta à plusieurs congrès nationaux de la SFIO.

Les déboires connus dans la gestion de la coopérative « La batellerie sinistrée » l’amenèrent devant le tribunal de Valenciennes qui l’acquitta. D’autres ennuis judiciaires moins rapidement tranchés perturbèrent la vie du militant, déjà sur déclin dans la seconde moitié des années 1930.

Louis Louis exploitait le Fernand-Pelloutier dont il était propriétaire.

Favorable au courant néo-socialiste, Louis quitta le Parti socialiste SFIO en 1933 et devint secrétaire de la Fédération du Nord du Parti socialiste de France. Il fut membre du Conseil national économique de 1936 à 1940 (15e section professionnelle, devenue 17e — transports), membre du comité consultatif de la navigation intérieure au ministère des Travaux publics en tant que président du conseil d’administration de "La Petite Batellerie". Le 12 novembre 1940, il fut nommé au comité d’organisation des transports par navigation intérieure comme représentant des groupements artisanaux.

Délégué au congrès de fusion des fédérations des Ports et Docks tenu au Havre, en décembre 1935, il y présenta une résolution qui, d’une tonalité radicale assez peu en rapport avec son évolution politique, préconisait, entre autres, la « grève générale illimitée jusqu’à complète défaite des chiens de garde du capitalisme » si les « réactionnaires de tout poil » tentaient un nouveau 6 février. En perte de vitesse, il tenta, au congrès fédéral de 1938, de se faire le porte-parole des mécontents de sa profession insatisfaits de la manière dont Porreyre s’était acquitté, au nom de la Fédération, du mandat que lui avaient confié les délégués de la batellerie. Il demanda en conséquence que l’on désigne un responsable chargé exclusivement des questions de la marine fluviale. À l’évidence, lui-même aurait volontiers accepté cette charge qui ne lui fut pas proposée
_Devenu avide de titres et de fonctions, le vieux militant crut voir dans les bouleversements entraînés par la guerre l’occasion inespérée d’un retour sur le devant de la scène sociale. Le 3 mars 1940, l’ancien membre suppléant de la commission administrative de la CGT, intégra celle de l’Union des syndicats confédérés de la région parisienne à la faveur de l’épuration des syndicalistes communistes. Après la défaite, il encouragea les syndicats de la navigation fluviale à se détacher de la Fédération des Ports et Docks qui les accueillait jusque-là, pour se constituer en Fédération particulière. Partisan d’une active politique de présence dans les organismes de la Charte, il intrigua en vue de décrocher une responsabilité officielle. De fait, il ne cessa de multiplier ses offres de service, ce qui, loin de lui assurer un regain de représentativité, acheva de le discréditer. Les échecs essuyés entretinrent une amertume propice, le contexte aidant, aux pires attitudes. En juillet 1941, il appela les adhérents du syndicat général de la batellerie à « pourchasser » et à « signaler » les communistes. Invitation qu’il appliqua du mieux qu’il le pouvait dans ses relations avec les autorités, prises à témoin de la tiédeur suspecte de responsables administratifs et syndicaux. Dans L’Atelier du 8 février 1941, Louis Louis se plaça sous le double patronage de Jaurès et du « grand soldat de Verdun » pour se prononcer en faveur d’une « véritable Charte du travail ». Prolongé d’un violent, mais habituel réquisitoire contre le PCF, « oeuvre de haine et de destruction de la France », l’article s’en prenait aussi aux fonctionnaires qui « n’hésitent pas à recevoir les dirigeants de cette activité criminelle ». Peu enclin, hier, à séparer syndicalisme et politique, Louis s’efforça de tirer parti de l’une et de l’autre. Le 30 mai 1942, il assura haut et fort le gouvernement Laval de la « collaboration loyale de la batellerie », puis protesta auprès de Lagardelle contre son maintien en dehors des organismes de la Charte. Plutôt que de renoncer, il fit jouer d’autres relations, à l’origine de la démarche des autorités allemandes qui, en février 1943, demandèrent qu’il participe enfin - à près de 60 ans – aux travaux de la commission corporative de la navigation intérieure. En vain. Deux mois plus tard, il expliqua, dans une lettre à Laval, combien son exclusion de ladite commission provoquait un « grand malaise dans les milieux syndicaux » et favorisait la « propagande bolchevique ». Ses intrigues comme ses déclarations publiques ou son ralliement au Comité d’information ouvrière et sociale auraient pu suffire à le faire sanctionner, à la Libération, par la Commission de reconstruction nationale des organisations professionnelles de travailleurs. Celle-ci retint son appartenance au RNP et à la direction du Comité ouvrier de secours immédiat pour prononcer l’exclusion à vie de Louis Louis du mouvement syndical.


Son nom réapparut dans la vie publique dunkerquoise en décembre 1959 lorsqu’il lança un journal, le Grand Dunkerque, qui n’eut qu’un numéro. Louis y évoquait le souvenir des militants du passé...

Il mourut à Dunkerque (Nord), le 24 mai 1963.
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L’affrontement au sein du syndicat de la petite batellerie : Choteau versus Louis. Note de Stephane Fournier

Le débat autour des tours de rôle à Rouen et en France, durant la guerre et ensuite, se cristallise autour de l’affrontement entre deux hommes. Deux hommes qui personnifient deux aspects antagonistes de la petite batellerie de ce moment là. Louis Louis et Amé Choteau.
Ces deux hommes sont dirigeants du même syndicat, le S.G.P.B, le Syndicat Général de la Petite Batellerie.
Amé Choteau est le président administratif du S.G.P.B tandis que Louis Louis est le secrétaire général. Palmyr Leclercq en est le président.
Chacun anime un journal syndical. L’étoile du batelier pour M. Choteau et La voix du batelier pour M. Louis.
Une revue de presse des différents publications syndicales permet de montrer les affrontements qui furent parfois violent.

Dès 1914, avant même le débute de la guerre les deux hommes sont à couteaux tirés.
Ainsi, L’étoile du batelier du 12 juin 1914 annonce la couleur.
« le but de Louis-Louis dévoilé. Défendre en tant que syndicaliste les intérêts de la collectivité des petits patrons bateliers et aussi les intérêts de la société capitaliste qu’il représentait également. C’est aussi complexe, on en conviendra.
« Le Mouchard Louis-Louis dévoilé. »
Le même journal dans son édition suivant de fin juin 1914 annonce triomphalement la réforme de l’affrètement. Ainsi, on se rends compte que l’idée d’un tour de rôle des frets n’a pas surgit comme par un coup de baguette magique durant l’année 1915 quand il fut crée à Rouen. Ce projet était en gestation depuis un petit moment.
« Sur les démarches du groupement général de la batellerie, 105 députés adoptent son projet de réforme de l’affrètement. La proposition de loi est déposée. Elle comprend la réforme de l’affréteur et le tour de rôle. »
Le journal de Louis Louis continuera sa publication durant la guerre, à partir de 1917.
Il précise à la reprise de la parution que le but de ce journal est d’ « apporter le concours loyal et désintéressé aux pouvoirs publics afin d’améliorer le rendement du transport fluvial durant la guerre, de constituer et défendre les dossiers d’indemnisations des bateaux perdus et de combattre les intermédiaires qui sont des Requins de la batellerie. » (LVB - N° 52 – 19 mai 1917)
Son concurrent, comme beaucoup de journaux durant la guerre ne sera de nouveau publié qu’après le conflit. Le rationnement du papier était de rigueur. Cela montre que la voix du batelier de Louis Louis avait des appuis politique lui permettant de continuer à publier car sa ligne éditoriale allait dans le sens des grandes compagnies de transport et des industriels. A contrario, le directeur-gérant de l’étoile du batelier était resté bloqué dans la région de Douai du fait de la rapide avancée des troupes Allemandes en 1914. Le premier étant présent, il pu occuper l’espace laissé vacant par son adversaire et se présenter comme étant le seul interlocuteur valable du syndicat auprès des grandes compagnies de navigation et du gouvernement.
Après la guerre nous retrouvons nous L’étoile du batelier en 1919 toujours aussi combattante.

« Choteau défend le tour de rôle alors que les journaux « la voix du batelier » et « le journal de la navigation » demandent la suppression du tour de rôle au nom du principe de la liberté. » (E.B 18/04/1919)
Choteau est révoqué de la présidence du conseil d’administration par Louis-Louis et Palmyr Leclercq (EB 04/07/1919)
Dans le le même temps Louis doit concéder que sa compagnie sera au tour de rôle à Dunkerque, Calais et Bethune.

Choteau écrit que « L’action de Louis c’est d’embrigader la batellerie dans une organisation commerciale qui aurait annihilé l’indépendance et la liberté de la batellerie artisanale. » et que Louis veut s’intituler l’unique représentant de la petite batellerie et qu’il le fait sans consulter les bateliers adhérents. Dans le même temps, Choteau raconte que la grande compagnie de la Basse-Seine, L’Union Normande a investie dans la coopérative « La Petite Batellerie » sous l’hospice de Louis afin de contrôler les pénichiens qui utilisent la Basse-Seine depuis qu’ils en ont pris l’habitude depuis la guerre. (EB 18/07/1919)

Dans cette lutte entre les deux leaders tous les coups sont tentés. Ainsi, une polémique visant à entacher l’honneur d’Amé Choteau est hourdie. On lui reproche d’être resté de l’autre côté des lignes, à Douai, durant la guerre et peut être même d’avoir collaboré avec l’envahisseur. Détail cocasse quand on connaît la suite de la carrière de Louis Louis.
Choteau s’en défend et s’en explique dans son journal : « Une lâcheté », où il parle que l’on le traite de déserteur, de son refus de mobilisation en août 14 et qu’il a été dénoncé par des anonymes « groupe de bateliers français, anciens poilus de la Grande Guerre 1914-1919 ». Il admet le regret d’être resté à Douai en disant qu’il a manqué à la batellerie française tout en précisant qu’il avait été atteint par la limite d’âge pour être mobilisé en 1914. (EB15/08/19)
Il faut noter à contrario que Louis Louis a été mobilisé en 1914. Il combattit deux ans au front avant d’être détaché, en 1916, au ministère des Travaux publics où il siégea à la commission consultative de la navigation intérieure jusqu’à la fin des hostilités. (Maîtron)

Puis « Enfin ! ». C’est la fin de la « collaboration » Choteau/ Louis (EB 05/09/19)
La voix batelière annonce plus simplement cinq mois plus tôt que Louis Louis quitte le secrétariat du syndicat (05/04/19)

Profitant de l’éviction de son adversaire, Choteau peut annoncer la reconstitution du groupement syndical d’avant guerre, le G.G.B groupement général de la batellerie (EB 19/09/19)
Mais la lutte ne s’arrête pas là. Choteau continue.
« J’accuse Louis Louis de la suppression des bureaux de tour obligatoire. »
Il reproche à Louis de signer la suppression des services de l’exploitation commerciale instituée pendant la guerre en attendant leur remplacement par ceux de la nouvelle organisation, qui au mieux sera prête dans 3 ans au minimum voire dans 10 ans.
Il parle de sa « collaboration à ce « coup du père François » avec sa complicité sinon sur son instigation. (EB 14/11/19)

(Cette expression remonte au XIXe siècle. A l’origine, il s’agissait de deux personnes qui agressaient quelqu’un dans la rue dans le but de lui vider les poches. Le premier agresseur détournait l’attention de la victime pendant que son complice l’étranglait.)

Le leader de la petite batellerie se veut rassurant en précisant en 1920 que « le régime Bolchévik n’est pas encore institué » et qu’il ne faut pas tromper de combat en ce qui concerne les grandes entreprises capitalistiques. (EB 05/03/20)

On pourrait croire qu’il s’agit d’une lutte d’ego entre ces deux hommes.

Bien après la guerre, Louis Louis continue a être attaqué.
En 1921, dans le deuxième numéro du journal « Le batelier », organe officiel du syndicat général de la petite batellerie, maître Hiet, avocat, critique de Louis Louis qui et l’ancien président du syndicat de la petite batellerie . Il lui reproche de s’être adjugé le mérite d’avoir constituer 2500 dossiers de demande d’indemnisation de bateliers sinistrés. Il en remet une couche, « je laisse de côté ce qu’à dû vous rapporter vos bateaux et la Voix du Batelier dont les S.G.P.H faisait les plus gros frais et dont vous encaissiez toutes les recettes. » Il rajoute enfin, qu’une plainte pour escroquerie de 177 000 francs est déposée contre lui dans l’histoire de la « coopérative ouvrière de remorquage ».

Cet affrontement continuera des années encore. Durant la seconde guerre mondiale, dès l’automne 1940, sur fond d’effondrement des disciplines et valeurs républicaines, « Philippe, Delval et Gau fondent une Fédération Nationale de la Navigation Fluviale. Celle-ci aurait reçu l’adhésion du petit syndicat général de la batellerie artisanale qu’anime Louis Louis, un ex-confédéré dont la frénésie épistolaire ne parvient pas à occulter la faiblesse rédhibitoire de sa vingtaine d’adhérents. » (Le syndicalisme dans les transports sous Vichy)
C’est une organisation fidèle au corporatisme du régime de Vichy.
Louis-Louis décédera en 1963 à Dunkerque à 80 ans.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article118993, notice LOUIS Louis [Nord] par Yves Le Maner, Michel Pigenet, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 16 avril 2020.

Par Yves Le Maner, Michel Pigenet

SOURCES : Arch. Nat. F7/13609, 13750. — Arch. Dép. Nord, M 37/75, M 37/76B (avec caricature de 1924), M 58/3 et M 595/38B. — L’Appel, 2 décembre 1933. — L’Atelier, 1941. — L’œuvre, 1941. — Le Congrès de Tours, édition critique, op. cit.. — SOURCES : Archives nationales : F22 1968. Archives de la Préfecture de police de Paris : Ba 1904 ; dossier 63591. Syndicats du 30 juillet 1940. ). L’Atelier des 8 février 1941, 30 mai et 20 juin 1942. Congrès de fusion des syndicats Autonomes, Confédérés et Unitaires, Le Havre, 13-15 décembre 1935, Imp. de l’Union, Le Havre. Congrès de la Fédération nationale des Ports et Docks, les 27-29 janvier 1938 (Nantes).

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