NÉDELEC Charles, Émile, Lucien

Par René Lemarquis, Antoine Olivesi

Né le 19 janvier 1907 à Paris, mort le 22 mai 1944 à Paris (XVIIIe arr.) ; menuisier ; dirigeant de la Jeunesse communiste, secrétaire de la 8e Union régionale CGTU (1932-1935) puis secrétaire général de l’UD-CGT des Bouches-du-Rhône (1936-1939) ; membre du comité central du Parti communiste (1929), puis suppléant (1936).

Dans l’Humanité du 26 juin 1937

Son père, employé à la Société du gaz de Paris était le seizième et dernier enfant d’un inspecteur de l’enseignement à Morlaix dont la famille comprenait des ingénieurs, des officiers, des instituteurs, c’était un « catholique, patriote, syndiqué réformiste chrétien, un élément petit bourgeois ». Sa mère, ouvrière couturière à domicile, était plutôt une révoltée contre l’exploitation. Il quitta l’école à douze ans et demi après l’obtention du certificat d’études primaires et devint apprenti menuisier en 1919. Il épousa en avril 1930 Juliette Dumay, employée à l’Humanité et à la CGTU, fille d’Auguste Dumay et Agnès Dumay, militants communistes connus à Marseille. Après le décès de son épouse en mai 1933, il eut pour compagne Raymonde Barbé qu’il épousa en 1936.

Syndiqué à la CGTU. en décembre 1924, Charles Nédelec adhéra en novembre 1925 à la Jeunesse communiste dont il devint secrétaire du 1er rayon de la région parisienne et membre du comité régional de la 4e entente en 1926-27. En 1927-28, il fit son service militaire dans le Sud tunisien, devint sergent et organisa une manifestation de soldats sénégalais. À son retour il entra, en janvier 1929, au bureau et au secrétariat de la Fédération des jeunesses communistes où il fut permanent rémunéré, responsable des questions d’organisation, de finances et des organisations de masse. Coopté du comité central des JC il fut délégué au congrès national de Saint-Denis du PC (mars-avril 1929) et devint membre du comité central du parti au titre de représentant des jeunesses. Cette même année, comme membre de la commission centrale des jeunes syndiqués unitaires il fit partie de la direction de la grève des lunetiers de Morez en décembre. Il occupa ces fonctions jusqu’en juin 1930, date à laquelle il fut radié du CC des JC, puis en juillet du CC du parti et renvoyé à la base. Envoyé pour travailler en usine à Nantes, sans aucune aide, il dut rentrer à Paris à ses frais n’ayant trouvé aucun travail.

Les autobiographies successives de Charles Nédelec (en 1932, 1935 et 1937) permettent de préciser les aspects du conflit qui l’opposa en 1929-30 aux dirigeants de la JC liés à ce qu’on a appelé (abusivement) « le groupe Barbé-Célor » (voir Henri Barbé et Pierre Célor). Parti de désaccords mineurs tels la politique dans la FST (entrisme ou non dans des clubs sportifs bourgeois) ou le travail « anti » (à confier plutôt à la JC qu’au parti) Charles Nédelec fut amené à s’opposer de plus en plus à certaines méthodes brutales du bureau fédéral comme les exclusions et sanctions mécaniques, l’exagération des résultats de manifestations ou actions sans préparation suffisante (tels le congrès de la Jeunesse ouvrière d’avril 1929 ou l’agitation dans les gares). Il se heurta à Louis Coutheillas, secrétaire permanent chargé des soldats , et surtout à François Billoux sur des problèmes d’effectifs surestimés, de la JC pour le premier, de la JOC pour le second, lors d’une discussion au Présidium de l’ICJ à Moscou en juin 1930. Il fut même accusé de ... former un groupe dans le bureau fédéral avec Lelandais (technicien du « travail anti ») et André Caresmel (chargé de la rubrique « Armée » dans l’Humanité). L’attaque des « Billoux et Cie » selon son expression, fut violente. Nédelec fut qualifié d’aventurier, freineur, saboteur, opportuniste, liquidateur et même ... fromagiste. Ces accusations furent rendues publiques dans une résolution et en AG et il fut exclu (ainsi que Caresmel selon la police) du comité central des JC et du CC du parti. Ce n’est qu’en 1935 puis 1937 qu’il mettra en cause Barbé-Célor alors que les noms de Coutheillas et Billoux, cités dans le texte de 1932 comme accusateurs, disparaissaient. « Je protestais, disait-t-il en 1937, contre les méthodes sans soupçonner l’existence de ce groupe et sans voir tout le mal qu’il faisait au parti » et il indiquait les noms des camarades au courant des désaccords avec « le groupe » : Maurice Thorez, Billoux (!), Henri Lozeray, Raymond Guyot et Marcel Gitton. Bien qu’il n’y ait jamais eu d’interruption dans son action de militant du parti (il assista en effet au congrès de la Bellevilloise en 1932) il affirma qu’après cette « affaire » « 90 % de mon activité furent pour le syndicat général du Bâtiment » dont il fut membre du bureau de septembre 1930 à février 1932. Il organisa et dirigea en juin-juillet 1931 un mouvement revendicatif des menuisiers dans un chantier de l’avenue Henri-Martin (la grève « Bellevaux » citée dans l’Humanité) mais après un premier succès une nouvelle grève de treize jours se solda par un échec. Dans ce mouvement il créa un comité de solidarité intercorporatif en réalisant un front unique de toutes les tendances : unitaires, confédérés et CGTSR. Dans le XIIIe arr. il participa à de nombreuses manifestations lors de l’élection d’André Marty.

Après la dénonciation du « groupe », la CGTU lui proposa d’aller comme instructeur dans la 8e union régionale (région marseillaise) « avec comme perspective d’en devenir le secrétaire » (autobiographie de 1935), ce qu’il devint au congrès de juin 1932. Délégué, représentant la 8e UR au 7e congrès national de la CGTU. de septembre 1933, il entrera au 8e congrès de septembre 1935 à sa commission exécutive. Il participa pendant cette période à une vingtaine de grèves importantes (chaussures Bensa, métaux...). Il continuait également à militer au parti communiste puisqu’il était membre du secrétariat, du bureau et du comité régional de la région marseillaise où il retrouvera en 1934, comme responsable... François Billoux ! Il assista à la conférence nationale d’Ivry en 1934 et au congrès de Villeurbanne de 1936 qui le nomma membre suppléant du comité central, ce qui fut confirmé en 1937 au congrès d’Arles. La conférence d’Ivry le désigna pour faire partie de la délégation française au 7e congrès de l’IC au cours duquel il fit une intervention sur l’état d’organisation en France.

César Matton, qui mit au courant Nédelec des problèmes syndicaux et politiques de la région, l’a présenté comme un militant très intelligent, volontaire, grand organisateur, connaissant bien les hommes, toujours favorable à une libre critique. D’autres témoignages (ceux de Pierre Gabrielli, d’Henri Peyrot et de Pierre Emmanuelli) ont mis en valeur sa finesse, son énergie et son courage, y compris son courage physique aussi bien dans la lutte contre les sabianistes que dans la Résistance.

En décembre 1932, Charles Nédelec impulsa une grève des chauffeurs de taxi marseillais et organisa quelques jours plus tard un meeting qui regroupa 3 000 ouvriers et fonctionnaires. En 1933, il dirigea une grève des soudeurs puis de tous les ouvriers de la réparation navale du port de Marseille. Selon Pierre Doize, « ce fut l’un des premiers grands mouvements que dirigea la CGTU à Marseille depuis la scission syndicale ».

En même temps qu’il animait les luttes ouvrières, il représenta de 1933 à 1935 la CGTU à la commission du coût de la vie qui siégeait à la préfecture. En septembre 1933, Nédelec fut délégué au VIIe congrès national de la CGTU à Paris et se fit l’écho des difficultés rencontrées à Marseille avec l’aggravation de la crise économique et le contrôle de plusieurs syndicats portuaires par des communistes dissidents, tels Noël Ciavaldini et Victor Nazzi qui étaient majoritaires chez les dockers et avaient conservé le sigle et le siège de la CGTU. Le 24 janvier 1934, au cours d’une manifestation sur la Canebière, des altercations avec la police se produisirent : Nédelec fut blessé et soixante personnes furent arrêtées. Le 29, il prit la parole au cours d’un grand meeting de protestation qui rassemblait 10 000 personnes à la Bourse du Travail.

Le 15 février 1934, Nédelec écrivit à l’Humanité pour expliquer les incidents qui eurent lieu à Marseille dans la soirée du 12 (affaire Liotardo*). De février à juin 1934, il s’en tint à la ligne officielle d’hostilité à la CGT, dénonçant « ses formules trompe-l’œil », se prononçant "pour le front unique et l’unité syndicale de classe". Les manifestations du 1er Mai furent davantage placées sous le signe de la méfiance entre confédérés et unitaires que sous celui de l’entente. Pourtant, Nédelec aurait présenté à la CGT, dès le mois d’avril, sept propositions pour aboutir à l’unité. En fait, lui et F. Billoux harmonisaient leur action à la fois pour cordonner les efforts du PC et de la CGTU et pour négocier avec la SFIO et la CGT à la fin du printemps. C’est ainsi qu’il assista le 13 mai à un meeting antifasciste à Marseille. Mais ce ne fut que le 14 juillet qu’il exposa dans Rouge-Midi la nouvelle ligne en atténuant les critiques à l’égard des confédérés et en mettant l’accent sur les progrès de l’unité : « Malgré les difficultés que cette attitude peut provoquer, un rapprochement s’opère quand même entre syndicats confédérés et unitaires et entre militants des deux tendances. Ce rapprochement, nous le saluons, nous nous plaignons même qu’il n’aille pas assez vite. »

Jusqu’à la fin de l’année 1934, ce fut la même alternance d’offres conciliantes et de reproches sur un ton assez modéré adressés aux confédérés : le 31 juillet, Nédelec participa à un grand meeting unitaire à Marseille, le 18 août, il déplora la réserve du Midi syndicaliste (organe de la CGT) sur le problème de l’unité syndicale et, le 10 novembre, accepta le maintien de l’UD abandonnant le cadre régional des unitaires. Tout en se prononçant pour l’élargissement du Front populaire antifasciste jusqu’aux radicaux sur le plan politique, Nédelec multiplia les initiatives dans le domaine syndical : « Qu’attend-on pour répondre à nos propositions ? » écrivait-il le 24 novembre.

À vrai dire, les négociations furent longues et complexes et continuèrent tout au long de l’année 1935. Le 6 avril, Nédelec et Louis Chauffard publièrent un communiqué commun pour préparer la journée du 1er Mai et les 22 et 23 juin, Nédelec fut invité au congrès de l’UD-CGT à La Ciotat. Délégué au VIIe congrès de l’Internationale communiste à Moscou, il y prononça le 31 juillet 1935 un discours « Vers une organisation bolchevique centralisée mais souple » qu’introduisait une sévère critique de la période 1929-1930.

En octobre 1935, il prépara un meeting unitaire et anima en décembre la grève des dockers marseillais. Le congrès de fusion se tint à Marseille les 4 et 5 janvier 1936 dans la salle Ferrer, à la bourse du travail, où 300 délégués représentèrent 136 syndicats. Nédelec fut élu membre de la CA et secrétaire adjoint de la nouvelle UD. Dès le 13 janvier, il participa à une réunion intersyndicale qui décida le principe d’une grève si les salaires étaient à nouveau diminués. À la même époque, Nédelec redevint membre du comité central du PC comme suppléant à l’issue du congrès de Villeurbanne. Le 18 mai, il dirigea une grève offensive chez Thiery et Sigrand et conduisit la délégation ouvrière qui réclamait une augmentation de salaire ainsi que la suppression du travail aux pièces. Arrêté un moment puis relâché, il obtint satisfaction le 22 mai.

Lorsqu’éclatèrent les grèves de juin 1936, Charles Nédelec se montra très actif dans la lutte et les négociations. Il fut réélu secrétaire adjoint en juillet à l’issue du congrès de l’UD qui se tint à Aix bien que certains lui reprochassent d’être membre du comité central du Parti communiste. Louis Chauffard demeura secrétaire général mais démissionna fin octobre pour raisons de santé (il était en fait débordé par l’ampleur de la tâche) et Nédelec prit alors sa place. Il fut secrétaire général jusqu’à la guerre.

Nédelec s’occupa également de l’aide à l’Espagne en qualité de responsable du Comité de défense de la République espagnole. Il fut, selon Pierre Doize, « l’organisateur de la solidarité au peuple espagnol » et participa à la formation des Brigades internationales avec son frère Lucien Nédelec.

Au cours de 1937, l’influence des ex-unitaires s’accrut rapidement dans les syndicats au sein de l’UD si bien qu’au début de l’année 1938, la plupart des anciens chefs confédérés constituèrent une minorité protestant contre la mainmise communiste et le non respect de la démocratie syndicale. Le différend éclata au congrès de l’UD, les 24 et 25 juin 1938. Le rapport moral fut adopté par 173 syndicats contre 73 et 11 qui s’abstinrent. Nédelec fut réélu à la commission administrative en 9e position seulement, l’ex-autonome Joseph Féraud arrivant en tête. Les communistes virent dans ce vote une manœuvre des anciens confédérés. Quoi qu’il en soit, Nédelec fut réélu secrétaire général et eut à intervenir, au cours de l’été, dans des conflits sociaux difficiles comme la grève des techniciens de la Métallurgie et la grève des dockers.

Délégué au congrès national de la CGT à Nantes, Nédelec fut avec Pierre Semard l’un des orateurs les plus remarqués parmi ceux qui condamnèrent les accords de Munich. Après la grève du 30 novembre 1938, Nédelec écrivit dans Rouge-Midi  : "La bourgeoisie se contredit elle-même : elle fait proclamer par sa presse que le mouvement n’a pas été suivi. En même temps, elle licencie des dizaines de milliers de travailleurs à Marseille et dans le département." Si, en privé, Nédelec reconnut que la grève générale avait été un échec, sur le plan national il put faire valoir qu’à Marseille et dans les secteurs les plus industriels du département, la classe ouvrière avait fait preuve d’une grande combativité. Mais il fallut ensuite lutter contre le lock-out, la répression, une certaine désaffection syndicale et des divisions internes comme la rupture entre l’UD et le syndicat des inscrits maritimes de Ferri-Pisani.

Charles Nédelec conduisait de nouvelles actions syndicales pour protester contre les licenciements de nombreux travailleurs marseillais frappés par les décrets-lois de Paul Reynaud au cours du mois d’août 1939 lorsqu’il fut surpris par le Pacte germano-soviétique et par la guerre. Il fut immédiatement mobilisé comme sous-officier réserviste du 19e régiment de tirailleurs sénégalais et s’embarqua le 4 octobre 1939 à destination de la Côte-d’Ivoire. Revenu en France au début de 1940, il fut envoyé par mesure disciplinaire au front et fut fait prisonnier le 19 juin 1940 à Montmédy. Interné au stalag II A de Neubrandebourg, il refusa de travailler pour les Allemands et réussit à se faire rapatrier comme sanitaire.

Évitant de revenir dans le Midi, il reprit contact avec la direction qui le chargea de diriger dans la clandestinité la région limousine. Puis, au cours de l’année 1942, il fut rappelé à Paris. Il participa à la préparation des accords du Perreux en 1943, eut mission d’assurer la liaison entre le bureau de la CGT et quatorze fédérations clandestines en cours de reconstitution, représenta la CGT auprès du CLP et du comité central des milices patriotiques. Il servit aussi de médiateur dans le processus de réunification de certaines fédérations entre ex-unitaires et ex-confédérés et fit partie de la délégation avec Henri Raynaud et André Tollet qui fut mandatée par Benoît Frachon pour négocier avec Louis Saillant, Albert Gazier, Robert Bothereau et Charles Laurent.

Malade, surmené, au bord de l’épuisement, Charles Nédelec fut pris d’un malaise le 22 mai 1944 dans une rue de Paris. Il mourut cinq heures plus tard, victime d’une hémorragie cérébrale. Il fut inhumé au cimetière du Canet à Marseille. Le 31 octobre 1944, le conseil municipal décida de donner son nom à l’ancien boulevard de la Paix.

Charles Nédelec était considéré pendant la guerre comme un militant ayant la confiance de Thorez qui porte (depuis l’URSS où il était au courant de son activité jusqu’au 15 mars 1943) ce jugement : « Très bon militant, intelligent, capable, dévoué. Apte au travail de masse. »

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article123800, notice NÉDELEC Charles, Émile, Lucien par René Lemarquis, Antoine Olivesi, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 24 janvier 2022.

Par René Lemarquis, Antoine Olivesi

Dans l’Humanité du 26 juin 1937

SOURCES : Arch. Dép. Bouches-du-Rhône, M6/10809, 10839, 10846, 10874, 11246 et 11973, XIVM 24/62. — Arch. Mum. Marseille. — Rouge-Midi. — RGASPI, Moscou, Archives Komintern, 495 27 1451 : autobiographies du 13 mars 1932, 20 juillet 1935 et 25 octobre 1937. — Le Petit Provençal.Le Midi syndicaliste.La Marseillaise, 27 et 29 mai 1964 (notamment l’article de Pierre Doize). — Jacques Duclos, Mémoires, Paris, Fayard, 1968-1973, t. III pp. 128, 129 et 160. — Henri Noguères, Histoire de la Résistance en France de 1940 à 1945, R. Laffont, 1969, 733 p., t. 2, p. 204 et t. 3, p. 167. — J. Bally, Le Mouvement ouvrier à Marseille, de 1936 à 1939, D.S. d’histoire du droit, Aix 1971. — M. Tournier, Les Grèves dans les Bouches-du-Rhône en 1938 et en 1939, mémoire de maîtrise, Aix, 1974. — Marie-Antoinette Stagliano, Le Midi syndicaliste de 1923 à 1939, mémoire de maîtrise, Aix, 1974. — Ch. Tillon, On chantait rouge, Paris, Robert Laffont, 1977. — Noëlle Lagier, Rouge-Midi, 1935-1936, mémoire de maîtrise, Aix, 1982. — C. Brunel, Mémoire du Front populaire en Provence, Mémoire de Maîtrise, Aix, 1986. — Adrien Mouton, Notes d’un vétéran sur les soixante ans du Parti communiste français, Arles 1981, p. 94 et 137. — St. Courtois, La Politique du PCF. et ses aspects syndicaux 1939-1944, Thèse, 3e cycle, Nanterre, 1978. — Bernard Pudal, Prendre parti. Pour une sociologie historique du PCF, 1989, Presses de la FNSP. — Témoignages de César Matton, Pierre Gabrielli, Henri Peyrot, Pierre Emmanuelli.

ICONOGRAPHIE : 1936 dans les Bouches-du-Rhône, 50 photos pour un cinquantenaire, UD-CGT, 1986 (plusieurs photos et affiches concernant Nédelec).

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