PASCAL Pierre

Par Jean-Louis Panné

Né le 21 juillet 1890 à Issoire (Puy-de-Dôme), mort le 1er juillet 1983 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) ; professeur de russe, slavisant, essayiste, traducteur ; membre du groupe communiste français de Moscou.

Pierre Pascal naquit chez sa grand-mère maternelle, dans une famille d’origine auvergnate bourgeoise et laïque. Son père Serge Pascal était alors professeur au lycée de Reims et sa mère, née Marie, Léonie Veyrières, sans profession. Il effectua ses études secondaires d’abord au lycée Hoche à Versailles, puis au lycée Jeanson-de-Sailly à Paris et enfin dans la khâgne à Louis-le-Grand, avant d’intégrer l’École normale supérieure de la rue d’Ulm.

« J’ai été initié au monde russe, langue, littérature, histoire, religion, alors que j’étais au lycée. Ce fut d’abord par un pur hasard : l’ouverture, au lycée Janson où je faisais mes études, d’un cours de russe », écrivit Pierre Pascal. Ce hasard devait orienter la vie entière de ce fils de professeur (son père fut professeur au lycée Jeanson-de-Sailly après une carrière en province), nourri d’études classiques, attiré par le lointain pays russe qui lui apparaissait « neuf et libre » en regard du « formalisme bourgeois » dans lequel il vivait.

Pierre Pascal sortit de l’ENS en 1910, et put se rendre, pendant l’été 1911, à Kiev puis à Saint-Pétersbourg pour y préparer le mémoire principal de son diplôme d’études supérieures consacré à « Joseph de Maistre et la Russie ». En 1912, il fit un premier long séjour en Russie puis l’année suivante il fut reçu second à l’agrégation des lettres. Sous l’influence du Sillon, il participa à la campagne contre la loi des trois ans votée le 7 août 1913 (lettre à M. Martinet, 30 mai 1920).

Mobilisé en 1914, sous-lieutenant au 92e régiment d’infanterie, il fut grièvement blessé en Alsace dès septembre 1914. Au printemps 1915, il demanda son envoi aux Dardanelles. Blessé une nouvelle fois, il entra par la suite au bureau du chiffre du GQG (Chantilly).

Ce fut le colonel Lavergne, chef de la mission militaire française en Russie, qui le demanda pour travailler à la propagande française. Parti le 21 avril 1916, Pierre Pascal parvint le 11 mai 1916 à Saint-Pétersbourg et fut affecté auprès de l’état-major russe, poste qui lui donnait accès aux documents confidentiels et secrets. Il s’immergea dans la société russe et observa en particulier la vie religieuse, participant aux réunions de M. Portal, lazariste engagé dans le mouvement pour l’union des Églises. Il découvrit également la pensée du philosophe Vladimir Soloviev. Lui qui avait le secret désir de consacrer son temps à l’étude de la théologie, jugeait alors la « monarchie absolue », conciliée avec un « régime social rationnel de justice et d’égalité », comme préférable à la « démocratie bourgeoise ». Il assista, dès septembre 1916, aux premiers signes de disette. Mais, il ne remettait aucunement en cause le régime et le tsar qui le décora de la Croix de Sainte-Anne le 19 novembre. En janvier 1917, Pierre Pascal fut nommé à l’état-major général des armées russes (la Stavka). Assistant à la révolution de février à Saint-Pétersbourg, il écrivit à son sujet un rapport de synthèse pour le ministère de la Guerre français. Au mois de mai suivant, il fut envoyé sur le front de la XIIe armée, afin de participer à la campagne de propagande en faveur de l’offensive décidée par le gouvernement provisoire. Sceptique sur les chances de succès de l’offensive, il assista sans étonnement à la décomposition de l’armée russe.

À l’époque, il s’affirmait désireux d’un ordre social chrétien et ce fut au travers du christianisme russe, tel qu’il le percevait, qu’il analysa les événements. Persuadé du « sens chrétien de la Révolution », il écrivait : « Une seule chose me paraît certaine, c’est que le socialisme n’est vrai et applicable qu’avec le christianisme ». Ses convictions chrétiennes et révolutionnaires furent confortées par les poèmes d’Alexandre Blok, les Douze et les Scythes : « Je découvrais un Blok qui répondait à mon sentiment et à ma pensée : les gardes rouges, quoique indignes et sans le vouloir, travaillant pour le Christ... » Le peuple russe était, selon lui, révolutionnaire « parce que chrétien ».

D’abord favorable au gouvernement Kérensky, il en vint à le rejeter lorsqu’il considéra que ce gouvernement avait perdu toute volonté de révolution sociale. Les actions de sabotage organisées par les services français furent le second facteur de son ralliement secret au bolchevisme. Tout en approuvant la dissolution de la Constituante, il conservait une certaine lucidité : « ... J’ai entendu Trotsky, le grand dictateur visible, car Lénine se montre rarement. Ce sont ces deux hommes qui mènent tout. Ils reconstruisent un État centralisé et hiérarchisé comme l’ancien régime, mais inspiré par l’âme socialiste. »

Pierre Pascal participa le 30 août 1918 à la formation du Groupe communiste français, placé sous l’autorité du comité central du Parti communiste russe. Après une mission auprès de la Légion tchèque en Sibérie, il se plaça en octobre 1918 hors de l’autorité de la Mission militaire française. Le même mois, il adhéra officiellement au Groupe communiste. Le ralliement de ce lieutenant eut une grande répercussion en France. Avec ses camarades du groupe, (Marcel Body, Robert Petit, Jacques Sadoul, Jeanne Labourbe, etc), il collabora au « petit journal hebdomadaire de propagande et d’information » intitulée la IIIe Internationale, qui était destiné aux soldats du corps expéditionnaire français. « Lénine était l’inspirateur de cette feuille, constamment, par l’intermédiaire de la camarade Armand, précisa Pascal, il nous donnait son avis sur les articles parus et ses conseils pour l’avenir » (Inprécor, 6 février 1924). Il travaillait au commissariat des Affaires étrangères sous la responsabilité de Gueorgui Tchitchérine. En janvier 1919, à l’instigation de Marcel Body, il fut nommé secrétaire du Groupe communiste. En mars 1919, avec Jacques Sadoul, il représenta ce groupe au Ier congrès de l’Internationale communiste, avec voix consultative. Arrivé à la veille du congrès, Henri Guilbeaux allait concurrencer Sadoul auprès du comité central du PCR. Ce fut dans ce climat conflictuel qu’en octobre 1919 fut porté à la connaissance du comité central du Parti communiste russe que Pascal était catholique. Le comité central ouvrit une enquête et Pascal rédigea une déclaration : « Je suis catholique, c’est-à-dire que, pour une suite de raisons philosophiques, historiques et morales trop longues à exposer ici, j’admets consciemment la vérité des doctrines enseignées par l’Église catholique... Je suis communiste, c’est-à-dire que j’admets consciemment la justesse de toutes les thèses théoriques, politiques, historiques ou tactiques contenues dans le programme du Parti communiste russe... J’ai toujours été par réflexion personnelle internationaliste, anticapitaliste et antiparlementaire. Après étude et expérience, j’ai ensuite adhéré à la doctrine du matérialisme historique, de la lutte de classes et de la dictature du prolétariat. » L’enquête n’eut pas de suite et, quelques mois plus tard, Pascal appartint au comité de rédaction de Demain que Guilbeaux tentait de faire reparaître. Le groupe communiste français fut finalement dissous par le CC du PCR.

Toujours très libre, Pascal assistait aux réunions tenues par les « émigrés de l’intérieur » groupés autour de Nicolas Berdiaev notamment. Au début de 1920, à la suite des dénigrements de Sadoul, il dut subir un nouvel interrogatoire politique organisé par le comité central. Il fut alors déçu par les dirigeants bolcheviks qui suivaient Sadoul dans ses intrigues. Dans un texte d’août 1920 (publié en 1921 en France sous le titre les Résultats moraux de l’État soviétiste), Pascal n’en défendit pas moins les réalisations du régime. Faisant l’éloge de « l’homme bolchevik », qualifiant certains militants de « saints », il concluait que le communisme était « la morale des temps nouveaux, sans parias, sans damnés de la terre », dressant ainsi le tableau d’une « société morale et sérieuse » qui correspondait à ses propres désirs.

De février à avril 1920, il rédigea une série de textes qui, regroupés sous le titre En Russie rouge, furent édités en 1921 par les soins de Boris Souvarine. Pierre Pascal y faisait l’éloge des commissions extraordinaire (Tchéka), des camps modèles dont celui des îles Solovietski. Cependant avec la fin de la guerre civile et l’apparition de divergences au sein du Parti communiste russe, il commença à s’interroger. Il traduisit la brochure d’Alexandra Kollontaï, l’Opposition ouvrière, à l’usage des délégués français au IIIe congrès de l’Internationale communiste. Après l’insurrection de Cronstadt (février-mars 1921), il devint lui aussi « un exilé de l’intérieur ». « Nous sentions le mensonge », écrivit-il à propos des versions officielles données au cours de l’insurrection. Particulièrement bien informé par Victor Serge qui travaillait auprès de Zinoviev, sympathisant avec les marins insurgés, Pascal en vint à penser que « les buts entérinés par Lénine dans l’État et la révolution n’étaient plus que des mots. Ceux qui y avaient cru étaient des vaincus. Tel était notre état d’âme ». Mais l’idée de quitter la Russie ne lui vint jamais.

Courant 1921, Pascal fit la connaissance d’Eugénie Roussakova, fille d’un vieil ouvrier anarchiste russe, Josselewitch dit Roussakov, qui devint sa compagne (une seconde fille de Roussakov, Jenny, allait devenir l’épouse de Victor Serge). La même année, il rencontra les délégués du parti français au IIIe congrès de l’IC, parmi lesquels Boris Souvarine qui devint son ami. Durant le congrès, il travailla à la section de presse de l’IC. Il entreprit ensuite la traduction de la correspondance secrète de l’ambassadeur russe en France, Ivolsky. À cette époque, il rencontra Nicolas Lazarévitch avec lequel il devait passer l’été 1922 à Yalta. En 1922, Tchitchérine le prit comme traducteur dans la délégation soviétique à la conférence de Gênes. À son retour, témoignant à la demande de René Marchand au procès mis en scène contre les socialistes-révolutionnaires, il soutint que les S.-R. avaient agi en liaison avec la mission militaire française. Il se rendit ensuite à La Haye comme expert de la délégation soviétique à la conférence réunissant la Russie soviétique, La France, la Grande-Bretagne, la Belgique et les Pays-Bas. Il tenait dans la Correspondance internationale la rubrique « le mois en Russie ».

Au printemps 1924, Pierre Pascal séjourna à la « commune de Yalta » en compagnie de F. Ghezzi, antifasciste italien réfugié en URSS, Yvon Guihéneuf, Auguste Herclet, etc. La « commune » fut perquisitionnée en octobre par la GPU à la recherche de Nicolas Lazarévitch qui fut finalement arrêté. Pierre Pascal écrivit alors une lettre à Agranov, l’un des dirigeants de la Guépéou pour défendre de son ami. Devenu « travailleur scientifique » à l’Institut Marx-Engels, il entreprit, non sans difficultés avec la censure, l’édition annotée de Pages choisies de Lénine (publiées ensuite en France par le Bureau d’éditions de 1926 à 1929) et interrompue après le troisième volume. Il travailla également au cabinet français sur les papiers de Gracchus Babeuf et fit une découverte qui allait décider de ses recherches intellectuelles : La vie de l’archiprêtre Avvakum par lui-même dont il donna la traduction en français en 1938. Réussissant à maintenir le contact, grâce à la complicité d’E. Lanty, aussi bien avec Boris Souvarine que Pierre Monatte, il leur envoyait de brefs articles riches en informations, publiés sous pseudonymes dans le Bulletin communiste (Kievlanine, Léonide, Igor) ou anonymement dans la Révolution prolétarienne. Dans le journal qu’il tenait, Pierre Pascal se fit non seulement le chroniqueur des faits et gestes des dirigeants au pouvoir mais aussi des difficultés matérielles des paysans qu’il avait perçues lors de voyages, notamment en Haute-Volga en juin 1927, et de celles des ouvriers dont il décrivit l’attitude et les réactions face aux conflits entre oppositions et directions successives. Ce journal, publié seulement en 1982, qui couvre la période de la NEP jusqu’en 1927 est, de l’avis de Georges Nivat, un « monument pour l’historien ».

Début 1929, Jean Guéhenno, qui avait l’intention d’écrire une biographie de Lénine, lui demanda conseil. Dans une lettre, Pascal lui livra son analyse des révolutions russes : « l’art de Lénine a consisté à comprendre les aspirations populaires et à faire coïncider avec elles, plus ou moins sincèrement, le programme de son parti social-démocrate.... Octobre est la suite logique et nécessaire de février, il aurait eu lieu sans les bolcheviks, ou plutôt sans Lénine, car c’est lui qui a voulu le coup d’État que beaucoup de bolcheviks redoutaient. » C’est une analyse que Pierre Pascal reprit et développa dans un article de Preuves (« La révolution russe et ses causes », mars 1952) puis dans la Révolution prolétarienne (« Octobre et février ne sont qu’une Révolution », novembre 1967).

« L’affaire Roussakov », qui avait débutée à Léningrad à la fin de 1928, touchait sa belle-famille mais Pascal n’en subit pas de conséquences. Fin 1929, lors de la parution de la trilogie de Panaït Istrati Vers l’autre flamme, il fut accusé d’en être l’un des auteurs dans la presse communiste française. Mais bénéficiant toujours de la protection voulue en son temps par Lénine, il ne fut pas inquiété. Cependant Pascal, qui avait finalement épousé Eugénie Roussakova, en vint à songer au retour en France. Au début des années trente, des démarches diplomatiques furent entreprises pour qu’il obtienne les visas de sortie nécessaires pour lui et son épouse. Le 8 mars 1933, tous deux arrivèrent à Paris. Le même jour Victor Serge était arrêté. Pierre Pascal s’associa aux initiatives prises en sa faveur, signant l’appel publié dans la Critique sociale (n° 8, avril 1933) par Souvarine, revue à laquelle il collabora. Son autre belle-sœur, Anita, fut déportée en camps pendant vingt-cinq années.

La condamnation prononcé par la justice militaire française contre le lieutenant Pascal ayant été abandonnée en 1925, il demanda sa réintégration dans la fonction publique. Ce n’est qu’en 1936 qu’il fut nommé professeur à Lille. En 1937, il entra à l’École des langues orientales où il succéda à Paul Boyer. En 1950, il fut nommé à la Sorbonne. Il soutint sa thèse de doctorat sur Avvakum et les débuts du Raskol, la crise religieuse au XVIIe siècle en Russie en 1938, ouvrage dont P. Milioukov put écrire que toute l’intelligentsia russe devait en être reconnaissante à son auteur. À Paris, Pierre Pascal qui fréquentait les exilés russes N. Berdiav, A. Rémizov, etc., donna de nombreuses traductions d’écrivains russes (Dostoïevski, Korolenko, Tolstoï) mais aussi, en 1934-1938, celle de La Prise de Jérusalem de Flavius Josèphe. Sa longue fréquentation de l’auteur de la Maison des morts, le conduisit à publier deux études sur Dostoïevski. Également historien, on lui doit une Histoire de la Russie des origines à 1917 (PUF, 1946), une présentation de La révolte de Pougatchev (Julliard, 1971), Civilisation paysanne en Russie (Lausanne, L’Age d’homme, 1969) et La Religion du peuple russe (Ibid., 1973). Maître des études russes en France (il a formé les slavisants contemporains), savant de réputation internationale, Pierre Pascal conserva son amour du peuple russe dont « l’humanité » l’avait conduit, lui chrétien, à adhérer au bolchevisme.
Entre les années mille neuf cent cinquante et soixante-dix, son soutien à des figures de la dissidence comme Soljénitsyne, en fit, pour l’historienne Sophie Coeuré, l’un des acteurs de « l’antitotalitarisme français ».

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article125018, notice PASCAL Pierre par Jean-Louis Panné, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 8 novembre 2022.

Par Jean-Louis Panné

ŒUVRE CHOISIE : Collaboration à Clarté, au Bulletin communiste, la Correspondance internationale, la Révolution prolétarienne, la Critique sociale, la Revue des études slaves, Preuves, le Contrat social. — En Russie rouge, Lib. de l’Humanité, 1921. — « Les Résultats moraux de l’État soviétiste », les Cahiers du Travail, 1921. — [Traduction de] A. Kollontaï, L’Opposition ouvrière, Le Seuil, 1974. — Mon journal de Russie 1916-1918 (I), Lausanne, L’Age d’Homme, 1975 — En Communisme. Mon journal de Russie 1918-1921 (II), ibid., 1977. — Mon État d’âme, Journal de Russie 1922-1926 (III), ibid, 1982. — Mon journal de Russie 1927 (IV), ibid, 1982. — Ouvrages cités [voir bibliographie complète dans La Revue des études slaves, « Mélanges Pierre Pascal », 1982].

SOURCES : G. Nivat, « Un russophile : Pierre Pascal », Vers la fin du mythe russe, L’Age d’homme, 1982 ; « L’itinéraire exceptionnel d’un bolchevik chrétien », Le Monde, 3 décembre 1982 ; « La mort de Pierre Pascal », Le Monde, 6 juillet 1983 ; « Pierre Pascal », Universalia, 1984 ; « Pierre Pascal ou la "religion russe"« , Le Débat, janvier 1985 ;. — P. Pachet, « Pierre Pascal ou l’histoire d’un regard », Esprit, avril 1984. — Jutta Scherrer, « Pierre Pascal : l’événement traversé », Le Passé présent, n° 3, 1984. — B. Dupuy, « Pierre Pascal et la révolution des Soviets », Istina, juillet-septembre 1984. — B. Souvarine, « Pierre Pascal et le Sphinx », Revue des études slaves (« Mélanges Pierre Pascal »), 1982. — M. Body, « Les Groupes communistes français de Russie », 1918-1921, Contributions à l’histoire du Comintern, Genève, 1965. — H. Guilbeaux, Du Kremlin au Cherche-Midi, Gallimard, 1933. — M. Parijanine, « Des français en Russie, quelques souvenirs sur la Révolution russe », Les Humbles, août-septembre 1931. — P. Pascal, Pages d’amitié (1921-1928), Éditions Allia, 1987. — Lettre à J. Guéhenno, 1929. — « Octobre 1917, la révolution russe et son destin », La Table ronde, 1967 [débat avec P. Pascal, J. Bruhat, P. Sorlin, S. Fumet]. — Jean-Louis Panné, « L’affaire Victor Serge et la gauche française », Communisme, n°5, 1984. — David Garcia, « Les archives de Pierre Pascal », Journal de la BDIC, n°15, septembre 2006. — David Garcia, Pierre Pascal (1890-1983). Un historien de la Russie, mémoire de master 2, Université Paul Valérry, Montpellier III, 170 p. — Sophie Coeuré, Pierre Pascal, la Russie entre christianisme et communisme, les Éd. Noir sur blanc, 2014, 415 p. — État civil. — Lauréats de l’agrégation. — Notes d’Alain Dalançon.

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