PAUL-BONCOUR Joseph, Augustin, Alfred (BONCOUR Paul dit)

Par Justinien Raymond

Né le 4 août 1873 à Saint-Aignan (Loir-et-Cher), mort le 28 mars 1972 à Paris (VIIIe arr.) Avocat. Socialiste. Conseiller municipal, conseiller général et député. Conseiller de la République.

Joseph Paul-Boncour
Joseph Paul-Boncour

Joseph Paul-Boncour naquit dans une famille de bourgeois provinciaux. Son père, médecin, était libre penseur et républicain. Sa mère, de souche normande, était catholique et monarchiste. Ainsi peut-on expliquer chez le fils une ferveur républicaine et démocratique liée à une religiosité qui lui fit souvent condamner le laïcisme militant de la SFIO.

A onze ans, Joseph Paul-Boncour entra au collège de Pontlevoy, non loin de Blois. Il y resta cinq ans et se sentit une vocation maritime à la lecture de Jules Verne et du Journal des Voyages. En 1889, il entra au collège Saint-Charles à Saint-Brieuc dans l’intention de préparer le concours d’entrée à l’École navale. Mais rebuté par les mathématiques, il changea de voie et s’adonna à des études littéraires. Bientôt il gagna Paris pour entrer à la faculté de droit, comptant étudier le droit maritime et retrouver sa vocation première en devenant commissaire de la marine. Au quartier Latin, de nouveaux horizons s’ouvrirent à lui. Il découvrit avec sympathie le socialisme idéaliste de la Revue socialiste de Benoît Malon. Mais il n’était nullement attiré par les nombreux partis rivaux qui se réclamaient du socialisme et qu’il trouvait trop doctrinaires, trop anticléricaux et trop antimilitaristes. Néanmoins, l’intérêt nouveau qu’il portait à la chose publique, aux question politiques, aux problèmes sociaux, changea l’orientation de ses études de droit en l’amenant à renoncer à une carrière dans la marine. Tout en faisant son stage d’avocat, il poursuivit la rédaction d’une thèse de doctorat de droit public et d’économie politique. En compagnie de quelques amis, il fonda à la Bourse du Travail de Paris un « conseil judiciaire » qui se tint à la disposition des grévistes. Ainsi, il prit contact avec la classe ouvrière et le syndicalisme puis étudia « les rapports de l’individu et des groupements professionnels », objet de sa thèse qu’il publia sous le titre Le Fédéralisme économique avec une préface de Waldeck-Rousseau.

C’est aux côtés de cet homme d’État, républicain modéré mais ouvert aux réformes, que Paul-Boncour allait pénétrer dans la vie politique, avant d’affronter le suffrage universel. Il fut le secrétaire particulier de Waldeck-Rousseau, président du Conseil des ministres, du 22 juin 1899 au 7 juin 1902. En 1902, Paul-Boncour épousa Hélène Raffard dont il aura deux enfants. Sa voie est tracée : sans cesser d’être un avocat sollicité, il s’engagea dans la vie politique pour n’en sortir que contraint par l’âge. Le 1er mai 1904, il fut élu conseiller municipal de Saint-Aignan. Il remplit ce mandat jusqu’au 5 mai 1912. En 1906, il devint directeur de cabinet de Viviani, premier ministre du Travail. Élu du canton de Saint-Aignan, il siégea au conseil général du Loir-et-Cher du 24 janvier 1909 au 14 décembre 1919. Enfin le 3 janvier 1909, lors d’une consultation partielle, il fut élu député socialiste indépendant du Loir-et-Cher, sans concurrent, par 12 498 voix sur 19 504 inscrits et 14 344 votants. Il fut réélu, toujours sans adversaire, aux élections générales de 1910 par 10 889 voix sur 19 614 inscrits et 15 039 votants. Il adhéra alors au groupe parlementaire républicain socialiste, puis au parti constitué l’année suivante. Ayant choisi de siéger à la commission du Travail, il fut appelé à ce ministère le 2 mars 1911 dans le cabinet Monis où il lui revint d’assurer l’application de la loi des retraites ouvrières et paysannes, loi qui répondait à son goût de la réforme mais qui dressa contre elle le patronat et la gauche du Parti socialiste. Paul-Boncour s’adonna à une campagne d’application et d’explication de la loi qui le retint au point de lui faire refuser en 1912 un sous-secrétariat d’État aux Beaux-Arts qui répondait à certains de ses goûts. A côté des problèmes du travail, il porta attention à ceux qui touchent à la défense nationale. Dans les débats consacrés en 1913 au retour au service militaire de trois ans, Paul-Boncour défendit une proposition de service de trente mois. Malgré son activité, malgré ses deux premières élections faciles, il perdit son siège de député aux élections générales de 1914 : en tête au premier tour avec 7 835 voix sur 16 578 votants, il fut battu de 38 voix au scrutin de ballottage par le républicain-démocrate Legros.

La Première Guerre mondiale allait infléchir le cours de sa vie politique. Au front pendant quatre ans, il y devint chef de bataillon. Le spectacle de la guerre, le danger qu’elle fait planer sur la civilisation lui firent souhaiter une organisation de l’Europe et du monde. Il pensait que le Parti socialiste pouvait apporter la solution et, comme il constatait que le parti s’était associé à la défense nationale, il lui apporta son adhésion : il adressa sa demande, de Toul, en 1916, à la section de Saint-Aignan. Dans les lendemains immédiats de la guerre, il occupa une place notable dans la vie socialiste. En mars 1919, avec A. Le Troquer et Ducos de la Haille, il fut l’avocat de la partie civile au procès de Raoul Villain, l’assassin de Jaurès, qui devait être acquitté le 29 mars. L’avocat avait plaidé en invoquant non la campagne de Jaurès contre la guerre, mais son adhésion aux objectifs défensistes. Selon Paul-Boncour, il le dira plus tard, l’instruction fut insuffisante. On n’avait pas ou peu cherché les influences qui avaient pu armer le bras de l’assassin. En vue des élections législatives du 16 novembre 1919, Paul-Boncour combattit, en vain, la motion Bracke qui imposait aux socialistes d’aller seuls à la bataille : avec la prime à la majorité, cette tactique lui paraissait suicidaire. Il s’y plia néanmoins et prit la tête de la liste de la SFIO dans la 2e circonscription de la Seine (Ier , IIe , IIIe , IVe , XIe , XIIe et XXe arr. de Paris) où, sur 221 132 inscrits, il y eut 162 449 suffrages exprimés, soit, pour 12 sièges, un quotient électoral de 13 537 voix. La liste socialiste atteignit une moyenne de 48 707 voix. Paul-Boncour se détacha nettement en rassemblant 52 073 suffrages et fut élu avec ses deux suivants, Léon Blum et Pierre Dormoy. Il s’inscrivit aux commissions de l’Armée et des Affaires étrangères : la défense nationale et la défense de la paix furent désormais ses champs d’action et, sur le premier, il fut parfois en difficulté avec son parti. Sur le second, il fut le paladin de la SDN et de la sécurité collective.

Ses positions le situaient très à droite de la SFIO. Au fond il n’acceptait pas l’idée d’un parti de classe dont les liaisons avec d’autres, au dehors, transcendaient les frontières nationales. Pendant les années où l’Internationale déchirée se cherchait et se reconstituait, il admit en principe que patriotisme et internationalisme n’étaient pas contradictoires, mais il se demanda ce que l’Internationale signifiait vraiment en termes de pouvoir. De quelle autorité pouvait et devait disposer une Internationale, sur ses membres, pour assurer la conciliation entre la nation et l’organisation internationale ? Quelle formule trouver entre la IIe Internationale dont les événement de 1914 avait prouvé l’impuissance et la IIIe qu’il rejetait parce que « centralisée » et « inféodée » à Moscou ? Délégué par le groupe parlementaire aux congrès de Strasbourg (février 1920) et de Tours (décembre 1920) qui débattirent de l’affiliation, il rejeta formellement l’adhésion à la IIIe Internationale, en signant la lettre hostile de la CAP et le manifeste du Comité de résistance socialiste. Mais comme la SFIO maintint, face au nouveau Parti communiste, son caractère de parti de classe et d’opposition, Paul-Boncour n’adhéra à cette orientation ni sur le plan idéologique ni sur le plan tactique et stratégique. Il était déjà une figure politique nationale quand il adhéra au Parti socialiste. Il avait goûté au pouvoir et l’aimait. Il considérait le Parti socialiste comme une machine électorale propre à conquérir le pouvoir et, au besoin, à le conquérir et à le partager avec les partis de démocratie bourgeoise. Aux lendemains des élections cantonales de mai 1922 qui furent assez favorables à la SFIO, Paul-Boncour mena dans le Midi socialiste de Toulouse, une campagne en faveur du Bloc des gauches qu’il présenta non comme une simple tactique électorale, mais comme une stratégie d’alliance de la classe ouvrière et des classes moyennes, car il était erroné, pensait-il, de voir dans la « bourgeoisie » un bloc indifférencié. Mais il admettait qu’une telle alliance ne pouvait se cantonner à la seule défense de la laïcité, ce à quoi les radicaux tendaient à la réduire en esquivant les réformes sociales. En réalité, l’apport de Paul-Boncour à l’idéologie socialiste fut nul. On ne peut pas le considérer comme un théoricien ayant apporté une vision cohérente du révisionnisme mais plutôt comme un parlementaire qui argumentait pour faire admettre l’idée d’une participation socialiste au gouvernement. Face à un Parti communiste prompt à dénoncer les renoncements, la « trahison » socialiste, Paul-Boncour était le type même du « social-traître », du « social-patriote ».

Qu’apportait-il au Parti socialiste ? Son éloquence ? Elle a été beaucoup surfaite. Sa petite taille ne l’avantageait pas. Son masque qu’on disait d’un « conventionnel », auréolé très tôt de beaux cheveux blancs dont s’amusaient les journaux satiriques, lui donnait le visage d’un homme de théâtre. Il avait, dans sa jeunesse, rêvé d’être comédien et, dans son comportement à la tribune il paraissait toujours un peu étudié et théâtral. On ne retrouvait dans son discours, bien qu’on ait osé parfois le comparer à Jaurès, ni la sève d’une vaste culture classique, ni la chaleur humaine nourrissant de grands desseins, ni l’aisance souveraine du rythme, ni la splendeur imagée du verbe.

Aux élections législatives de 1924, Paul-Boncour quitta la Fédération de la Seine pour aller faire acte de candidature dans le Tarn qu’avait représenté Jaurès avant-guerre et dont A. Thomas fut aussi l’élu avant d’aller prendre, à Genève, la direction du BIT. Paul-Boncour figura au second rang d’une liste du Cartel des gauches avec deux radicaux-socialistes et le socialiste Sizaire, en quatrième et dernière position. La liste enleva les autre sièges avec 47 224 voix de moyenne sur 82 755 suffrages exprimés contre la liste de droite, Reille-Soult (31 845) et la liste communiste du BOP (2 181). Le succès de la gauche dans l’ensemble du pays allait apporter à Paul-Boncour l’occasion d’un rôle à l’échelle internationale. Il représenta la France à la SDN à l’exception des deux ans qui suivirent les élections de 1928 : le Parti socialiste, dans l’opposition, lui demanda de renoncer à cette mission. En 1924, année du « protocole », il multiplia les interventions au Palais-Bourbon et à Genève. Il fut mêlé aux travaux de la commission chargée de préparer la conférence sur la réduction des armements en 1925. En 1926, quand éclata, à propos de Vilno, le conflit entre la Pologne et la Lithuanie, il se rendit sur les lieux et devint pour les communistes le « soldat polonais ». C’est au cours de cette législature que reprenant en partie des idées avancées en 1922, il rapporta en 1927 sur un plan d’organisation générale de la nation en temps de guerre. Il précisait les cas dans lesquels jouait le droit de défense nationale. Il posait le principe de la réquisition industrielle et supprimait les bénéfices de guerre ; et la loi sur l’état de siège. Aussi Paul-Boncour fut-il sur la sellette devant le congrès national de la SFIO à Lyon : outre la petite fraction de Maurice Maurin qui refusait le principe même de la défense nationale, le plan fut combattu pour son contenu, notamment par Zyromski et la question fut renvoyée à un Conseil national qui, le 26 juin 1927, entérina le plan par 2 992 mandats contre 208 aux opposants sur le fond et 175 aux opposants de principe. Tout en trouvant le temps d’écrire un ouvrage sur Lamennais, précurseur et martyr, Paul-Boncour, en cette même année 1928, plaida devant la Cour permanente de justice internationale de La Haye, la cause de la France dans le conflit qui l’opposait à la Suisse à propos de la suppression des zones franches de la Haute-Savoie et du Pays de Gex et il ne réussit pas à faire triompher sa thèse.

Aux élections législatives de 1928, avec retour au scrutin uninominal, Paul-Boncour se présenta dans la 2e circonscription d’Albi, qui comprenait la ville ouvrière de Carmaux. Il fut réélu au premier tour de scrutin par 7 292 voix sur 13 114 inscrits, 10 391 votants, 8 414 suffrages exprimés, contre 1 122 au candidat communiste Maizières. Il appartint toujours à la commission de l’Armée et à celle des Affaires étrangères qu’il présida. Le 30 novembre 1930, il entra au conseil général du Tarn, élu au premier tour dans le canton de Valence-d’Albigeois. L’année suivante, un conflit l’opposa à nouveau au Parti socialiste sur les problèmes militaires, la SFIO s’étant prononcée à son congrès de Tours contre le vote du budget de guerre. Cette année-là, une élection sénatoriale partielle se déroulant le 13 septembre dans son département natal du Loir-et-Cher, le nom de Paul-Boncour qui n’était pas officiellement candidat, sortit des urnes 71 fois alors qu’un socialiste Olivier, maire de Blois, était en lice. Au 3e tour, Paul-Boncour l’emporta avec 342 voix sur 618 suffrages exprimés. Peu après, il quitta le Parti socialiste SFIO.

Sa carrière politique se poursuivit. Il continua à siéger au conseil général du Tarn dont il devint président le 28 octobre 1932. Cette année-là, il fut réélu, au premier tour, sénateur du Loir-et-Cher par 492 voix sur 620 suffrages exprimés. Il reprit la tête de la délégation française à Genève et il présida, en 1932, le Conseil de la SDN qui dut faire face à l’agression japonaise en Mandchourie et qui enregistra le premier très grave échec du principe de sécurité collective. Il participa aussi à la conférence sur le désarmement, et fut ministre de la Guerre dans le 3e cabinet Herriot jusqu’au 18 décembre 1932. Après la chute de ce dernier sur le problème des dettes à l’égard des États-Unis, Paul-Boncour forma le gouvernement et prit, pour lui, le ministère des Affaires étrangères. Le cabinet Paul-Boncour tomba au bout de quarante jours, mais son chef demeura au ministère des Affaires étrangères dans les gouvernements Daladier, Sarraut et Chautemps, jusqu’au 30 janvier 1934. Il tenta de réduire les tensions avec l’Italie fasciste, gêné pour avoir naguère traité le Duce de « César de Carnaval ». Il tenta de mettre sur pied le « pacte à quatre », essaya de remettre en selle l’organisation danubienne, et chercha de meilleurs rapports avec l’URSS. Il fut encore ministre de la Guerre, mais pour quatre jours seulement dans le cabinet Daladier qui se retira après la tragique échauffourée du 6 février 1934.

Après la scission néo-socialiste de 1933 qui fut suivie de la constitution du Parti socialiste de France, puis par fusion avec d’autres socialistes indépendants de l’Union socialiste et républicaine, Paul-Boncour trouva un groupement d’accueil. Il ne s’y confondit pas avec les Déat ou les Marquet. Ministre d’État, délégué à la SDN dans le cabinet Sarraut (24 janvier-4 juin 1936), il fit partie du gouvernement de transition vers le Front populaire qu’il avait accueilli avec sympathie. Léon Blum devenu chef du gouvernement lui laissa la représentation de la France à Genève. Dans le second et éphémère cabinet de Front populaire que présida Léon Blum et qui se donnait pour but un redressement intérieur et une politique plus juste à l’égard de l’Espagne républicaine, Paul-Boncour reçut le ministère des Affaires étrangères. Il y fut remplacé par Georges Bonnet quand se forma le cabinet Daladier pour une autre politique au dedans et au dehors. La guerre venue, Paul-Boncour se heurta souvent à Pierre Laval à la commission des Affaires étrangères, notamment au sujet de l’Italie. Lors de la débâcle de 1940, il gagna Tours puis Bordeaux. Devant l’Assemblée nationale de Vichy, il proposa de donner au maréchal Pétain des pouvoirs pour une réforme de l’État qu’il préconisait depuis longtemps et pour l’étude de laquelle il avait créé une commission au Sénat, en 1934. Mais le 10 juillet 1940, il compta parmi les quatre-vingts parlementaires qui refusèrent d’abdiquer en confiant les pouvoirs constituants au maréchal. Il organisa ce groupe de députés et en devint le président.

La Libération venue, Paul-Boncour rejoignit le Parti socialiste et siégea à l’Assemblée consultative (1944-1945). Lorsque la Constitution de la IVe République entra en application, le groupe parlementaire socialiste de l’Assemblée nationale qui avait à choisir par cooptation cinq conseillers de la République, porta un de ses choix sur Paul-Boncour non sans causer quelques remous bien compréhensibles puisque ce choix se fit aux dépens de militants plus jeunes et plus fidèles, Résistants à toute épreuve, tel Élie Bloncourt, ancien député de l’Aisne, grand mutilé aveugle de la Première Guerre mondiale. Paul-Boncour fut Conseiller de la République jusqu’en 1948. En 1951, il quitta la SFIO. C’était le dernier acte d’une longue carrière politique dont il put rappeler les péripéties dans ses « Mémoires », puisqu’il mourut presque centenaire.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article125156, notice PAUL-BONCOUR Joseph, Augustin, Alfred (BONCOUR Paul dit) par Justinien Raymond, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 2 décembre 2022.

Par Justinien Raymond

Paul Boncour (1925)
Paul Boncour (1925)
cc Agence Meurisse
Joseph Paul-Boncour
Joseph Paul-Boncour

SOURCES : Arch. Nat. F7/13085. — Arch. Ass. Nat., dossier biographique. — J. Jolly,Dict. Parl. t. VII. — Le Populaire, 1er janvier 1921. — C. r. des congrès du Parti socialiste : Strasbourg (février 1920), Tours (décembre 1920), Lyon (1927), Tours (1931). — Le Quotidien, 2 avril 1929. — Le Soir, 27 et 28 juin 1927. — La Vie socialiste, 6 décembre 1930. — G. Lefranc, Le Mouvement socialiste sous la IIIe République, op. cit.., pp. 177-193 et 272. — T. Judt, La reconstruction du Parti socialiste : 1921-1926, PFNSP, 1976. — Yves Billard, Le Parti républicain-socialiste de 1911 à 1934, thèse, histoire, Paris 4, 1993.

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