À la fin des années vingt, Germaine Quentin était vice-présidente de la section de Saint-Mandé du syndicat de l’Habillement. Ce syndicat était affilié à l’Union centrale des syndicats professionnels féminins de l’Abbaye (CFTC) dont le siège social était à Paris.
SOURCE : La Ruche syndicale, juin 1920.