Comptable puis ouvrier métallurgiste, Routier fut secrétaire de la section socialiste puis de la section communiste de Meudon (Seine-et-Oise) après le congrès de Tours. Il mourut en février 1922. C’était un ami politique de L.O. Frossard*. Son fils Georges Routier* écrivit en 1932 : « Je crois personnellement qu’il aurait quitté le parti en même temps que Frossard car il suivait surtout l’homme. ». Sa femme, Madame Routier*, fut une active militante syndicaliste et communiste.
SOURCE : RGASPI, Moscou, 495 270 8432 : dossier personnel de Georges Routier.