Militant de la Seine, Verdier prit brièvement la parole à deux reprises au congrès de Tours (décembre 1920) bien qu’il n’y ait pas été officiellement délégué.
SOURCE : Le Congrès de Tours, édition critique réalisée par Jean Charles, Jacques Girault, Jean-Louis Robert, Danielle Tartakowsky, Claude Willard, Édit. Sociales, 1980.