Secrétaire adjoint du syndicat du Bâtiment de la Seine (section des cimenteries et maçons d’art) Vilfrit représentait ce syndicat au sous-comité fédéral minoritaire du Bâtiment, en 1920. Ce sous-comité dépendait des Comités syndicalistes révolutionnaires. En juin 1920, Vilfrit, qui avait quitté Paris, fut accusé par la Bourse du Travail de Charleville-Mézières (Ardennes) d’interdire l’accès du chantier, qu’il dirigeait dans cette ville, aux ouvriers syndiqués. Vilfrit fut exclu du syndicat du Bâtiment.
SOURCE : Arch. Nat. F7/13650.