MATHIEU Félix

Par Louis Botella

Agent des PTT ; fonctionnaire ; syndicaliste CGT puis Force ouvrière dans les Alpes-Maritimes.

Premier congrès de l’UD-FO des Alpes-Maritimes en février 1949.
Premier congrès de l’UD-FO des Alpes-Maritimes en février 1949.

Avant la Seconde guerre mondiale, Félix Mathieu milita au sein de la CGT et de la SFIO des Hautes-Alpes puis dans les Alpes-Maritimes.

En mai 1935, il fut candidat à l’un des postes de membre du conseil de gérance de « Radio Nice Côte-d’Azur ». Il était alors vice-président de l’Association laïque des parents d’élèves de Nice.

Succédant à Henri Ferro, responsable provisoire, Félix Mathieu fut élu, fin janvier 1948, secrétaire général de l’Union départementale Force Ouvrière des Alpes-Maritimes dont les permanences furent assurées, au tout début de son existence, au Bar de la Poste à Nice.

Félix Mathieu assuma cette fonction jusqu’en mars 1957 (jusqu’en 1959, selon une autre source). Il fut alors remplacé par Roger Mai.

En 1954, lors du congrès confédéral, il fut élu membre de la commission exécutive confédérale.

Militant socialiste SFIO, il fut secrétaire fédéral des Hautes-Alpes.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article136708, notice MATHIEU Félix par Louis Botella, version mise en ligne le 11 avril 2011, dernière modification le 17 juin 2020.

Par Louis Botella

Premier congrès de l'UD-FO des Alpes-Maritimes en février 1949.
Premier congrès de l’UD-FO des Alpes-Maritimes en février 1949.
Félix Mathieu
Félix Mathieu

SOURCES : : Le Peuple, organe quotidien du syndicalisme, 22 mai 1935 (BNF-Gallica). — Force Ouvrière, hebdomadaire de la CGT-FO, 12 février 1948, 2 mars 1950, 19 février 1953, 4 mars, 25 novembre 1954, 1er mars 1956, 5 juin 1958. — Comptes rendus des congrès confédéraux de la CGT-FO d’avril 1948 à avril 1959. — Notes de Gilles Morin. —Michel Dreyfus in Les responsables de Force ouvrière durant l’ère Bothereau, La naissance de Force ouvrière, Autour de Robert Bothereau, sous la direction de Michel Dreyfus, Gérard Gautron et Jean-Louis Robert, Presses universitaires de Rennes, novembre 2003.

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