JUST Stéphane, Eugène, dit DUCROS Roger, dit MEYNADIER

Par Robert Kosmann, Jean-Guillaume Lanuque

Né le 13 août 1921, à Paris (XIe arr.), mort le 12 août 1997 à Puteaux-Suresnes (Hauts-de-Seine) ; manœuvre, puis ouvrier électricien à la RATP ; secrétaire des Jeunesses Socialistes en 1947, trotskyste, dirigeant du PCI (SFQI), puis de l’OCI, de l’OT, et du PCI, exclu en 1984 et fondateur du « Comité pour la construction du parti ouvrier révolutionnaire » et de son bulletin Combattre pour le socialisme ; syndicaliste à la CGT puis à FO.

Le père de Stéphane Just, Claude Just était, dans l’entre-deux-guerres, un des dirigeants de la Fédération socialiste de la Seine (SFIO), membre du comité directeur du parti, et de la tendance de gauche « Action socialiste ». Tout comme son épouse, Blanche Léontine Meynadier, il exerçait la profession d’artisan-tailleur à domicile. En plus de Stéphane, le cadet de la famille, le couple eut trois garçons (Claude, Jacques et Michel) et une fille (Huguette). Ils logeaient alors rue Schubert (Paris, XXe arr.). Appartenant à un milieu modeste, Stéphane Just effectua sa première scolarité dans une institution de Joinville-le-Pont, qui pratiquait des méthodes éducatives nouvelles. Il obtint son certificat d’études primaires à l’âge de onze ans (reçu deuxième de son canton), puis suivit les cours complémentaires jusqu’à treize ans. Il entra ensuite directement dans la vie active, en 1934. Sans formation professionnelle spécifique, il exerça des travaux temporaires dans la métallurgie et la confection. Il travailla ainsi à la Visserie moderne et automatique (Paris XIe) en 1934-1935, puis, après son licenciement, comme apprenti tailleur dans l’entreprise Fonvielle de confection pour hommes, de juillet 1936 à janvier 1937. Malade, il occupa ensuite des emplois précaires. Ainsi, l’année suivante, il devint ouvrier agricole à Colmier Le Vieux (Haute-Marne). Dévorant de nombreux livres, et influencé par la culture politique de son père, avec qui ses relations étaient plutôt conflictuelles, il assista avec lui, de la tribune, à la manifestation parisienne du 14 juillet 1935 qui célébrait la récente alliance de la SFIO et du Parti communiste français. Il entra également en contact avec les Jeunesses socialistes, mais sans y avoir d’activité militante.

De juillet 1939 à février 1943, Stéphane Just exerça la profession de tailleur sur glace dans la miroiterie Brugnon et Cie (Paris, XIe). Il fut alors réquisitionné au titre du service du travail obligatoire et partit en Allemagne, du 6 mars 1943 au 1er juin 1945, où il travailla chez Daimler, à Berlin. C’est là qu’il entra en contact avec des militants trotskystes français, membres du Comité communiste internationaliste. Ces derniers essayaient de se lier avec les jeunes français, présents en Allemagne, par le réseau des auberges de jeunesse. Stéphane Just, contacté, participa à des discussions avec eux. C’est de ce moment, semble-t-il, que date son adhésion au trotskysme. Mais à la fin de l’année 1943, il fut envoyé à Bremtz et Schwetin, dans un camp de travail à la frontière polonaise, et employé dans une usine souterraine jusqu’à l’arrivée de l’armée soviétique.

Revenu en France en juin 1945, il trouva à s’employer dans la même entreprise de miroiterie jusqu’en décembre puis chez son père jusqu’à la fin janvier 1947. Il milita également dans les JS, ainsi qu’au Parti communiste internationaliste - section française de la quatrième internationale (PCI-SFQI) à partir de mars 1947. Au sein des JS, il devint secrétaire de la fédération de la Seine et intégra le bureau national. Il fut parallèlement embauché, fin janvier 1947, à la RATP où il exerça d’abord la profession de manœuvre non-qualifié. Dans ce cadre, il travailla à l’atelier central du réseau routier de la RATP, à Championnet (Paris, XVIIIe arr.) où l’on réparait les autobus, de 1947 à 1949. Il y organisa d’ailleurs, moins d’un mois après son embauche, une collecte de soutien à la grève Renault. Son frère Jacques Just, qui fut plus tard sympathisant actif de l’Organisation communiste internationaliste (OCI) et secrétaire du Syndicat autonome des ouvriers à Championnet, y travaillait déjà.

C’est en juin 1947 que Stéphane Just, à la suite de la dissolution de la direction des JS prononcée par les dirigeants de la SFIO, se consacra exclusivement au PCI (SFQI). Dès l’été, il participa à un camp de cadres de l’organisation, à Carhaix (Finistère). Cette même année 1947, il fut élu au comité central du PCI, et se présenta aux élections municipales d’octobre, à Paris (XIXe et XXe arr.), sur une « liste d’unité révolutionnaire » de son parti. En octobre, toujours, Stéphane Just participa à la grève qui débuta à la RATP, pour les salaires et l’abolition des décrets-lois Daladier-Raynaud de 1939, et fut même élu, ainsi que son frère Jacques, au comité de grève. Ils en furent tous deux exclus, sous l’impulsion des cadres du PCF, au sujet de l’orientation à donner à la grève ; en effet, contrairement à la direction de la CGT, ils souhaitaient l’étendre aux chemins de fer. Par suite de ce militantisme, Stéphane Just fut muté dans un magasin d’habillement de la RATP.

En 1947 également, il adhéra à la CGT, où il combattit la scission entre la CGT et Force ouvrière et critiqua sa hiérarchie. Il en fut exclu en janvier 1950 par la section de Vaugirard pour « indiscipline » par rapport à la tactique syndicale, « menées fractionnelles » et comme « provocateur titiste » à la suite d’un voyage effectué en Yougoslavie, à la suite également de sa participation à la brigade de jeunes de travail et d’enquête « Jean Jaurès » et au « comité pour la vérité en Yougoslavie », formé par le PCI (SFQI), dans lequel il s’était impliqué activement à son retour. Il combattit alors plusieurs années pour sa réintégration, qu’il demanda à deux reprises, en avril 1964 et en mars 1976, sans résultat. Parallèlement, il participa à la construction d’une cellule métro du PCI (SFQI) qui comptait six militants au début des années 1950. En avril 1951, après la grève de la RATP du mois de mars, ces militants trotskystes firent paraître le premier numéro de la Tribune libre de la RATP, dirigée par Stéphane Just. La même année, la cellule métro du PCI commença à sortir un bulletin politique, La Vérité Métro, que complétèrent des tracts qu’elle imprimait et distribuait. Enfin, en juin 1951, Stéphane Just fut quatrième sur la liste présentée par le PCI et menée par Daniel Renard* dans le 5e secteur de la Seine.

Octobre 1949 vit Stéphane Just muté comme ouvrier non qualifié aux ateliers de réparation du réseau ferré du dépôt de Vaugirard de la RATP où il resta jusqu’en 1958. Puis, en décembre 1957, il réussit le concours interne RATP d’ouvrier qualifié électricien et se trouva alors affecté, à partir de janvier 1958, au dépôt de Clichy où il termina sa carrière. Il y était chargé des dépannages et révisions électriques sur les bus et selon son propre témoignage, comme la majorité des ouvriers d’entretien à la RATP, il était confronté à des cadences « douces », ce qui lui permettait de lire et d’écrire. La même année 1951, le 3 novembre, Stéphane Just se maria avec Lucienne Copferman, dont il eut une fille, Annie, née le 28 mai 1952. Ils habitèrent alors rue Didot (Paris XIVe arr.), mais se séparèrent quelques années plus tard, avant de divorcer en 1969. Dès 1967, il vécut maritalement avec Jeanine Selleron*, et habita avec elle à Montrouge (Hauts-de-Seine) en 1968, puis de manière permanente à compter du 15 avril 1975. Dans la lutte d’orientation qui opposa, au début de l’année 1952, la direction de l’Internationale à la majorité de la section française, Stéphane Just prit le parti de cette dernière. En 1952, il entra au bureau politique du PCI exclu. Il fut également nommé responsable de la région parisienne de l’organisation. Au cours de la grève « générale » d’août 1953, Stéphane Just participa avec ses camarades de parti à la mise en place d’un « comité de liaison des fonctionnaires, enseignants, postiers, cheminots, travailleurs de la RATP, services publics », et devint membre de son bureau. Son but : faire en sorte que le gouvernement Laniel soit renversé et remplacé par un gouvernement PCF-SFIO-CGT-FO.

Pendant la guerre d’Algérie, Stéphane Just, comme Pierre Lambert*, Daniel Renard* et Gérard Bloch, fut poursuivi en justice pour « atteinte à la sûreté extérieure de l’État », suite au soutien accordé à l’insurrection algérienne et à la cause indépendantiste (soutien du MNA jusqu’en 1958, en particulier). D’abord en 1957, pour des articles de La Vérité parus en 1954-1955, où la cour d’appel de Paris réforma un jugement antérieur du tribunal de première instance (en considérant que ces cas relevaient exclusivement de la juridiction civile) et les condamna à six mois de prison avec sursis (condamnation amnistiée en 1959). Le 25 février 1960, ensuite, au Tribunal permanent des forces armées de Paris, pour des articles de 1956-1957, affaire qui alla jusqu’au pourvoi en cassation. Une campagne de défense fut d’ailleurs lancée pour les soutenir, au nom de la liberté d’opinion. Toujours dans ce cadre, Stéphane Just participa, en tant que responsable du service d’ordre, à un meeting unitaire organisé « pour la liberté de la presse », le 24 avril 1956, salle Wagram, où il affronta violemment des commandos partisans de l’Algérie française.

Mais au début de l’année 1959, Stéphane Just quitta l’organisation (pour « des problèmes personnels », déclara-t-il), qu’il ne réintégra qu’en avril 1963, revenant directement au bureau politique. C’est d’ailleurs en septembre 1965 qu’il publia un de ses textes les plus connus, Défense du Trotskysme, paru dans un numéro spécial de La Vérité, et dans lequel il combattait ce qu’il nommait « le révisionnisme liquidateur » de la IVe Internationale, et défendait la nécessité d’une reconstruction de cette même internationale, positions qui étaient aussi celles de l’OCI, créée officiellement cette même année 1965, et à la direction de laquelle appartint Stéphane Just. Il en écrivit une suite en 1971, Révisionnisme liquidateur contre trotskysme - Défense du trotskysme 2. Stéphane Just s’investit également dans la grève des mineurs de 1963. Il mobilisa ses collègues de la RATP du dépôt de Clichy sur l’exigence que les dirigeants CGT et FO appellent à la grève générale. C’est dans cette perspective qu’il conduisit une délégation de ce même dépôt, le mercredi 13 mars, qui déploya sur l’esplanade des Invalides, malgré l’opposition de militants du PCF, une banderole « l’aide aux mineurs c’est la grève générale » au moment de l’arrivée de la marche des mineurs de Lorraine. Militant actif sur l’entreprise, il s’opposait à sa hiérarchie qui lui reprochait ses retards, ses absences, son refus des observations et la contestation des sanctions.

Du 4 au 8 avril 1966, Stéphane Just participa à la 3e conférence du comité international (CI), à Londres, avec la Socialist labour league, et y fut nommé secrétaire du CI. L’objectif alors fixé était de convoquer une conférence internationale visant à « rassembler toutes les organisations trotskystes combattant pour la IVe Internationale ». L’année suivante, Stéphane Just fut le seul candidat que présenta l’OCI aux législatives, dans la 1ére circonscription de la Seine-Saint-Denis, avec Gérard Bloch comme suppléant. En juillet 1972, toujours dans l’optique de reconstruire la IVe Internationale, l’OCI fonda le « comité d’organisation pour la reconstruction de la quatrième internationale » (CORQUI), regroupement dont Stéphane Just, en tant que dirigeant, était partie prenante. Dans ce cadre, il effectua d’ailleurs de nombreux voyages à l’étranger (bien que ne lisant que l’anglais et l’allemand) : en Amérique latine (Chili, Argentine, Brésil, Pérou, Colombie et Mexique), aux États-Unis (New-York) ou en Europe (Londres, péninsule ibérique). En 1973, de nouveau, Stéphane Just fut présenté comme candidat aux élections législatives, sur la ligne du « programme d’action de la classe ouvrière - pour le socialisme, pour le gouvernement ouvrier » de l’OCI, dont il était un des rédacteurs. De 1973 jusqu’en 1980, moment où elle cessa provisoirement de paraître, Stéphane Just dirigea la rédaction de la revue de l’OCI La Vérité, dans laquelle il écrivit régulièrement de nombreux articles de formation, ou sur l’actualité politique. En 1977, il publia son livre Fronts populaires d’hier et d’aujourd’hui, problème auquel il s’intéressait particulièrement depuis la constitution de l’union de la gauche en France, et le coup d’état de Pinochet au Chili. Il s’opposa d’ailleurs, au sein de la direction de l’OCI, à Pierre Lambert et à son mot d’ordre de « PS, PCF, appliquez votre programme », au nom de la constitution d’un « véritable gouvernement ouvrier ». Il semble également qu’il joua un rôle dans les exclusions de Michel Varga (Balazs Nagy) et de Charles Berg en 1979. Il obtint également la mise en place d’une commission de contrôle financier de l’OCI, mise en place le 21 janvier 1976 par le bureau politique, et dont il fut même président, suite à d’importantes pertes financières et à ce qu’il jugeait être la mise en place d’un « mini-appareil », mais qui n’eut qu’une brève existence.

À partir du 1er octobre 1978, Stéphane Just prit sa retraite, en qualité d’ouvrier de qualification supérieure électricien ajusteur. Il avait adhéré en 1976 à FO, et considèrait, dans un entretien de 1996, que c’était une erreur sur le plan tactique d’y adhérer si tard et d’être resté non syndiqué pendant l’essentiel de sa carrière. Il se consacra alors exclusivement au travail pour l’OCI, travaillant à temps plein pour l’organisation et déménageant également dans cette période de Montrouge à Puteaux (Hauts-de-Seine), avec sa compagne Jeanine Selleron. En mai 1981, pour les élections présidentielles, Stéphane Just combattit la ligne de l’OCI qui appelait à voter pour François Mitterrand* au premier tour, en proposant comme alternative que son organisation présente son propre candidat et son propre programme, quitte, au second tour, à appeler à voter pour le candidat du parti « ouvrier » le mieux placé pour battre Valéry Giscard d’Estaing. Mais il fut mis en minorité sur cette orientation. Il s’était également opposé à la fusion entre le CORQI et le courant international de Nahuel Moreno, issu de la scission de 1979 dans la IVe Internationale, fusion qui donna naissance au « Comité paritaire » puis à « IVe Internationale (comité international) ». Dans le cadre de la préparation du 28e congrès du Parti communiste internationaliste (PCI, qui avait succédé à l’OCI à la fin de 1981), et qui devait avoir lieu du 20 au 23 avril 1984, Stéphane Just s’opposa directement à la ligne suivie par la direction de l’organisation, en particulier sur l’objectif de construction d’un Parti des travailleurs (PT), auquel il opposait la construction d’un parti ouvrier révolutionnaire. En 1996, il attribuait également son exclusion à son opposition à l’alignement du PCI sur l’appareil de FO. Toujours dans le contexte de cette discussion préparatoire, « l’affaire Mélusine » (un militant accusé d’avoir déformé les déclarations d’une élue du PCI) amena Stéphane Just à refuser de ratifier individuellement son exclusion, votée par le 28ème congrès, ce qui provoqua du même coup sa propre exclusion.

Le 13 mai 1984, Stéphane Just et les quelques dizaines de militants exclus fondèrent un « comité national pour la réintégration dans le PCI des exclus et pour son redressement politique et organisationnel » qui allait vite devenir le « comité pour le redressement politique et organisationnel du PCI, pour la reconstruction de la IVe Internationale ». Octobre 1984 vit le début de la publication du bulletin Combattre pour le socialisme que Stéphane Just dirigea jusqu’au numéro 67. Le 23 janvier 1987, le « comité national » devint « comité pour la construction du parti ouvrier révolutionnaire, pour la reconstruction de la IVe Internationale », suite à ce qu’il considérait être la disparition de l’intervention politique du PCI, en particulier lors du mouvement étudiant de novembre-décembre 1986. Mais Just ne cessait pas pour autant de lutter pour le redressement du PCI, intégré depuis 1985 au Mouvement pour un parti des travailleurs. Au moment de la guerre du Golfe, Stéphane Just et le comité prirent la position « du côté de l’Irak, guerre de défense, guerre juste - contre l’agression de la coalition impérialiste contre l’Irak, pour le retrait inconditionnel des troupes impérialistes au Moyen-Orient ». Ils considérèrent que le PCI, intégré dans le PT, et sur des positions différentes, était mort, et que la IVe Internationale ne pouvait plus être reconstruite, définitivement gangrenée, selon eux, par le révisionnisme. L’objectif devint alors celui d’une nouvelle Internationale ouvrière révolutionnaire. Les ultimes contributions de Stéphane Just à cette ligne furent ses textes « à propos de la mondialisation du capital » et « une nouvelle perspective », ce dernier écrit et adopté à l’occasion de la 9e conférence du comité, en mai 1996 et février 1997, ainsi que la déclaration du comité au sujet des élections législatives de 1997. Mais dès 1996, il commença à connaître de sérieuses difficultés de santé, aux poumons et aux yeux. Il mourut le 12 août 1997, après une longue lutte contre la maladie, à Puteaux-Suresnes. Il fut incinéré au columbarium de Villetaneuse, et ses cendres dispersées.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article137277, notice JUST Stéphane, Eugène, dit DUCROS Roger, dit MEYNADIER par Robert Kosmann, Jean-Guillaume Lanuque, version mise en ligne le 5 juin 2011, dernière modification le 1er novembre 2022.

Par Robert Kosmann, Jean-Guillaume Lanuque

ŒUVRE : Défense du trotskysme 1 et 2, La Vérité, Selio, Paris, 1965/1971. — Le gouvernement ouvrier et paysan, brochure AJS formation n°1, 1971. — Programme d’action de la classe ouvrière (pour le socialisme, pour le gouvernement ouvrier), brochure documents de l’OCI n°1, 1973. — Fronts populaires d’hier et d’aujourd’hui, Stock, Paris, 1977 (avec Charles Berg). — A propos de la brochure « Ce qu’est l’OCI », brochure documents de l’OCI n°6, 1978. — Les nationalisations, brochure de l’OCI unifiée, 1981. — Aperçus sur les crises impérialistes I. Marx et les crises du mode de production capitaliste, brochure documents du PCI, 1983. — Aperçus sur les crises impérialistes - II. De la première guerre mondiale à la prospérité, de la prospérité à la « grande crise », brochure documents du PCI, 1983. — articles dans La Vérité, Informations Ouvrières, La Correspondance Internationale, Tribune Internationale, Combattre pour le socialisme.

SOURCES : Arch. RATP (S. Just, dossier de retraite) — Arch. CGT/RATP (carton « affaires »). — Entretien avec Stéphane Just du 21/5/1996 reproduit dans Robert Kosmann, Championnet, un atelier RATP (pas) comme les autres, mémoire de maîtrise, Université de Paris VIII, 1997. — Témoignage écrit de Jeanine Selleron. — La Vérité, 31 mai au 6 juin et 12 au 27 juin 1951. — Cahiers Léon Trotsky, numéro 56 et 60, juillet 1995 et novembre 1997. — Le Monde, 4 et 5 septembre 1997. — Carré Rouge, numéro 6, octobre 1997. — Combattre pour le socialisme, 27 juin 1998. — Pierre Turpin, Les révolutionnaires dans la France social-démocrate, 1981-1995, L’Harmattan, Paris, 1997.

rebonds ?
Les rebonds proposent trois biographies choisies aléatoirement en fonction de similarités thématiques (dictionnaires), chronologiques (périodes), géographiques (département) et socioprofessionnelles.
fiches auteur-e-s
Version imprimable