MAZAUDET Richard [MAZAUDET Richard, Michel]

Par Julien Cahon

Né le 17 septembre 1924 à Odival (Haute-Marne), mort le 2 septembre 2004 à Amiens (Somme) ; journaliste ; militant du Parti radical-socialiste en Moselle, secrétaire fédéral (1948-1949) ; militant du Parti radical-socialiste dans la Somme, président de la fédération des Jeunesses radicales (1955-1958), secrétaire de la section d’Amiens (1955-1956), premier vice-président fédéral (1956-1958), président de la section d’Amiens (1956-1972), secrétaire (1958-1968) puis président (1968-1972) fédéral, délégué général de la fédération régionale nord-est (1963-1967), membre du bureau national (1960-1972), secrétaire (1964-1968 et 1971-1972) et vice-président national(1969-1971) ; président-fondateur de la fédération de la Somme de la CIR (1966) ; membre du comité exécutif national (1965-1969) et président départemental de la FGDS (1965-1969) ; syndicaliste, secrétaire national du syndicat FO des journalistes, membre du bureau national du syndicat FO des journalistes (1958-1972) ; président départemental de la Ligue des droits de l’Homme (1963-1967), membre du comité central de la Ligue des droits de l’Homme (1964-1970) ; président de l’Union régionale Nord-Picardie des coopératives de production (1972-1977) ; président du quotidien Le Courrier picard (1972-1977).

Fils d’un officier supérieur de gendarmerie, petit-fils d’instituteurs, Richard Mazaudet, après des études secondaires, fut vite attiré par le journalisme. Il collabora d’abord à diverses publications et périodiques avant d’entamer sa carrière de journaliste professionnel en 1946.

En 1947, Richard Mazaudet adhéra au Parti radical-socialiste et devint l’année suivante le secrétaire de la fédération de Moselle du parti. Après voir appartenu au Républicain lorrain à Metz, puis à L’Union de Reims, il entra à la rédaction du Courrier picard en juin 1952. Secrétaire de rédaction aux informations générales du quotidien régional à partir jusqu’en 1972, il poursuivit son militantisme dans le département de la Somme. En mars 1953, il fut candidat aux élections municipales de Péronne sur la « liste républicaine d’action municipale et sociale ». Il fut envoyé deux mois à Beauvais en octobre 1953 pour étudier la possibilité d’une implantation du journal dans l’Oise au moment où Robert Hersant lançait L’Oise matin.

En août 1955, Richard Mazaudet fonda une fédération des Jeunesses radicales dans la Somme, en vue de soutenir, dans l’avenir, la politique de Pierre Mendès-France. Aucun bureau définitif ne fut constitué avant novembre 1955 et il assura seul toutes les fonctions du bureau provisoire pendant plusieurs semaines avant de devenir le président fédéral des Jeunesses radicales. Le nouveau bureau adopta une motion de soutien à Pierre Mendès-France en « affirmant sa volonté de mener le combat pour que le Parti radical-socialiste reste fidèle à l’esprit jacobin ». Lors du congrès fédéral du 15 octobre 1955, la tendance mendésiste incarné par Richard Mazaudet, les Jeunesses radicales et la majorité de la section d’Amiens du parti, prit corps chez certains militants de la Somme et replongea la fédération radicale dans une crise interne, semblable à celle qu’elle avait connue au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Ces dissensions furent atténuées grâce à l’intervention du défenseur de l’orthodoxie radicale, l’avocat amiénois Gilbert-Jules, secrétaire d’Etat aux finances, et Fernand Beaurain, président de la fédération, mais Marcelle Delabie, sénatrice, Pierre Vasseur, Raymond de Wazières et William Classen, conseillers généraux, quittèrent le congrès pour marquer leur opposition à la tendance mendésiste et la motion du comité d’Amiens favorable à PMF, qui fut finalement retirée.

En octobre 1955, Richard Mazaudet accéda au poste de secrétaire de la section radicale-socialiste d’Amiens, puis l’année suivante, à la présidence de section. En février 1956, lors du congrès fédéral du Parti radical-socialiste, il devint premier vice-président de la fédération de la Somme du Parti radical-socialiste, spécialement chargé de la propagande, tout en conservant la présidence de la section d’Amiens et de la fédération départementale des Jeunesses radicales. Richard Mazaudet continua à relayer les positions de Pierre Mendès-France, notamment celles favorables à une négociation en Algérie.

Après avoir assisté, en avril 1956, aux deux séances préparatoires organisées par le Comité d’union des gauches en vue de l’organisation à Amiens d’une réunion publique pour le règlement pacifique du problème algérien, il fut à l’initiative, en juillet 1956, d’une motion des Jeunesses radicales de la Somme, communiquée dans la presse locale, transmise à Pierre Mendès-France et au bureau national du parti pour être présenté au prochain comité exécutif, qui provoqua de nouveaux remous à la fédération. Ce communiqué avait été pris sans l’avis du bureau fédéral et prenait position contre la participation des ministres radicaux, dont Gilbert-Jules, ministre de l’Intérieur de Guy Mollet*, à « un gouvernement à direction socialiste dont la politique en Algérie était condamnée à la faillite ». Richard Mazaudet précisa que « l’attitude des jeunes radicaux n’était pas dirigé contre Gilbert-Jules, ministre de l’Intérieur, mais dicté par la conviction que le Parti radical allait à sa perte en continuant à participer à [ce] gouvernement ». Fernand Beaurain lui reprocha de n’avoir pas consulté la fédération, estima que cette prise de position était inopportune, et lors d’une réunion le 7 juillet 1956, demanda à la section radicale-socialiste de voter une motion de confiance à l’égard des ministres radicaux, mais les adhérents se montrèrent partagés et aucune motion ne fut prise. Le « vœu Mazaudet » demandant le retrait des ministres radicaux du gouvernement, qui avait été adopté par les Jeunesses radicales du département et la section d’Amiens, fut rejeté par le congrès fédéral du 22 septembre. Célestin Bouillard*, secrétaire général des Jeunesses radicales de la Somme, lui reprocha son manque de fermeté, et démissionna du parti. Le congrès radical de Lyon des 11 et 14 octobre 1956, annonçant une scission à l’intérieur du parti n’eut pas de répercussions directes dans la Somme, mais les querelles internes continuaient à partager le parti « entre une aile droite non scissionniste représentée par Marcelle Delabie, et un courant nettement plus à gauche emmené par Richard Mazaudet, qui mène la vie dure aux dirigeants Fernand Beaurain et Pernaut » (rapport national sur l’état des fédérations, daté du 20 novembre 1956).

La mort de Fernand Beaurain en janvier 1958 laissa la présidence départementale du parti vacante. Promise à Richard Mazaudet, premier vice-président, elle fut occupée par Gilbert-Jules qui, craignant une scission du Parti radical-socialiste au niveau local, tandis que Richard Mazaudet devenait dès mars 1958, secrétaire général de la fédération radicale-socialiste de la Somme, fonction qu’il occupa dix années. En 1958, il fit également son entrée au bureau national du syndicat FO des journalistes. Rapidement remarqué par les dirigeants nationaux du Parti radical-socialiste, il devint en octobre 1960 membre du bureau national (comité exécutif national) du parti, puis secrétaire national de 1964 à 1968, vice-président national de 1969 à 1971, et à nouveau secrétaire national en 1971-1972, ce qui lui valut d’être l’un des collaborateurs de Félix Gaillard, président du parti. Au sein de sa formation, Richard Mazaudet fut membre et vice-président de la commission nationale du rassemblement démocratique, et de la commission de l’agriculture et de l’artisanat, ainsi que délégué pour la Somme du comité républicain du commerce, de l’industrie et de l’agriculture. Entre temps, en 1968, il avait succédé à Marcelle Delabie à la présidence de la fédération de la Somme du Parti radical-socialiste, qu’il occupa jusqu’en 1972. Également délégué général de la fédération régionale nord-est à partir de mai 1963, il fut désigné par le comité directeur du Parti radical-socialiste, en mai 1965, pour réorganiser le parti dans les régions du nord et du nord-est.

Richard Mazaudet joua également un rôle de premier plan dans plusieurs organisations internationales : il était membre du comité directeur de l’Internationale libérale et vice-président de la Fédération mondiale des jeunes libéraux et radicaux. Membre du conseil exécutif mondial des jeunes libéraux et radicaux dans les années soixante, il fut désigné en cette qualité délégué à l’Internationale libérale. A ces titres, il participa à plusieurs reprises à des congrès internationaux, à des rencontres internationales de mouvements de jeunesse.

Membre de L’Atelier républicain, il créa, en octobre 1965, une filiale de ce club dans la Somme baptisée Atelier René Goblet. L’Atelier républicain, club que Janine Mossuz classait parmi « les clubs de combat politique où se retrouvaient les minoritaires d’une formation politique », avait été créé par des radicaux qui contestaient la ligne générale de leur parti et qui se sentaient plus proches de militants appartenant à d’autres partis que la formation valoisienne.

Présenté dans la presse locale comme « l’un des espoirs du centre-gauche et de la tendance libérale de la politique française », il fut chargé en 1962 par le bureau national du Parti radical de diriger la campagne électorale contre Michel Debré, ancien premier ministre, battu au profit du candidat radical. En novembre 1965, il fut désigné par François Mitterrand pour le représenter auprès de la commission départementale de la campagne électorale présidentielle, et comme délégué à la propagande de ce candidat. Promoteur, dans le département de la Somme, de la Convention des institutions républicaines (CIR), résultant de la fusion de trois clubs, La ligue pour le combat républicain, le club des Jacobins et l’Atelier républicain, il a assumé les fonctions de délégué départemental provisoire de la convention jusqu’à la désignation du bureau dirigé par Pierre Angedin. Membre du comité exécutif national, délégué de la région Picardie de la FGDS de sa création (1965) à 1969, il fut désigné président départemental de la FGDS en septembre 1966.

Membre de longue date de la Ligue des droits de l’Homme, il fit son entrée au bureau fédéral de la Somme lors du congrès fédéral du 29 mai 1960 avec un autre radical socialiste, Charles Houiller*, instituteur et conseiller général de Boves. Depuis le départ de Gilbert-Jules de la LDH en 1956, aucun radical-socialiste n’y avait occupé de postes à responsabilité. Richard Mazaudet devint président de la fédération de la Somme en juin 1963, succédant à Gaëtan Sinoquet*, puis membre du comité central en décembre 1964 (jusqu’en 1970). Il quitta la présidence fédérale en octobre 1967, en raison des responsabilités qu’il assumait à la FGDS. Il ne cessa, à la tête de cette association, de prôner le rassemblement des partis de gauche, sans exclusive, « en vue de la restauration d’une véritable démocratie en France ». Ainsi, le 2 octobre 1964, il participa à une réunion PSU à Amiens en présence des dirigeants fédéraux et de Gilles Martinet sur le thème « démocratie municipale » : invités, la SFIO, le PCF, la CGT, FO, la CFDT, avaient déclinés l’invitation et seul le Parti radical-socialiste avait donné, en la personne de Richard Mazaudet, son adhésion à l’action entreprise par le PSU et son accord à la constitution d’une liste d’union des gauches aux municipales de 1965 à Amiens, position très éloignée des décisions du congrès radical d’Arcachon. En avril 1960, il avait envoyé une lettre « assurant le congrès [départemental du Mouvement de la paix qui s’est tenu à Longueau le 30 avril 1960], de sa sympathie » et disant « [s]a conviction que seules l’union des forces démocratiques du pays permettrait de résoudre le problème algérien ».

Radical-socialiste de tendance nettement de gauche et défenseur de l’école laïque, il brigua, à plusieurs reprises, mais sans succès, un mandat électoral. En octobre 1958, il fut désigné candidat aux élections législatives dans la cinquième circonscription de la Somme (Péronne-Doullens). Le 23 novembre 1958, sur 47 542 inscrits, il recueillit, au premier tour, 5 950 voix (soit 12,4%) et était devancé, par Emile Luciani (UNR, 15767 voix), le communiste Théo Marchandise* (11 364 voix), le candidat d’Entente républicaine Jean Duparcq (7753 voix) et le socialiste Charles Deflandre* (6 905 voix). Il se retira en vue du second tour, qui vit l’élection d’Emile Luciani. Suite à la démission de Jean-Claude Bouchend’homme de son mandat de conseiller général, Richard Mazaudet, porte drapeau des radicaux, fut candidat à la succession aux élections cantonales partielles de 1961 à Bray-sur-Somme : il recueillit 425 voix (sur 2 492 suffrages exprimés) au premier tour et se désista au second tour. En mars 1964, il fut à nouveau désigné candidat « radical et d’union des républicains » dans ce canton, traditionnellement ancré au centre-gauche. Il mit alors en avant son activité en faveur des agriculteurs, des commerçants, des artisans et pour défendre les classes moyennes, en mettant ses compétences sur les plan national et départemental. Il ne recueillit que 268 voix (sur 2 419 suffrages exprimés) au premier tour et se retira au second tour.

En 1965, Richard Mazaudet fut candidat aux élections municipales d’Amiens. Il figurait en 3e position (sur trente-sept) sur la « liste de coalition des partis communiste, PSU, socialiste et radical », conduite par Camille Goret* face à celle du maire socialiste sortant, Maurice Vast*, qui avait formé une liste avec les gaullistes. Richard Mazaudet était l’unique radical figurant sur cette liste. Dans une lettre à Ernest Cazelles datée du 25 janvier 1965, Roger Fouquet*, en opposition avec Camille Goret, faisait état des dissensions entre les socialistes amiénois, dont il regrettait « la préoccupation électorale municipale », et décrivait Richard Mazaudet comme un « radical antisocialiste ». La liste Maurice Vast fut élue avec 58% des voix contre 42% à la liste d’union de la gauche (21 796 voix sur 51 639 suffrages exprimés).

Candidat de la FGDS aux législatives de mars 1967 dans la troisième circonscription (Amiénois-Vimeu), il recueillit 9 344 voix au premier tour sur 48 718 suffrages exprimés. Devancé par le communiste Michel Couillet* (20 246 voix) et le gaulliste Charles Bignon (19 128 voix), il se désista pour Michel Couillet qui fut élu au second tour. En juin 1968, il fut à nouveau candidat dans cette circonscription où il subit la concurrence d’une candidate centriste, mieux implantée, Gabrielle Scellier, maire d’Airaines et conseillère générale : avec 3 949 voix (8,5%), Richard Mazaudet était devancé par Gabrielle Scellier (7 230 voix), et largement distancé par le communiste Michel Couillet (18 719 voix) et le gaulliste Charles Bignon (19 792 voix), qui l’emporta au second tour.

Administrateur du Courrier picard, il fut élu président directeur général du journal le 26 septembre 1972 et prit ses fonction le 1er octobre, succédant ainsi au fondateur du quotidien, Maurice Catelas*, qui fut alors nommé président d’honneur. A cette date, il renonça à ses responsabilités politiques et syndicales pour « maintenir l’indépendance du journal et l’impartialité totale de l’information ». C’est notamment sous sa présidence et son impulsion que l’impression du journal passa du plomb à l’offset. Élevé au grade de chevalier de la légion d’honneur le 23 avril 1976, Richard Mazaudet était marié et père d’un enfant. De 1972 à 1977, il fut membre du bureau du syndicat des quotidiens régionaux, membre de la commission plénière de la fédération de la presse, administrateur de la caisse des cadres de la presse et président de l’Union régionale Nord-Picardie des coopératives de production. Il exerça ses fonctions à la tête du Courrier picard pendant cinq ans puis décida de se retirer le 30 novembre 1977, choix qu’il motiva et rendit publique en première page du quotidien le 3 novembre 1977, en même temps que son intention d’être candidat aux élections législatives de mars 1978. Il fut remplacé à la tête du quotidien régional par Ivan Joly*, de la commission exécutive du Syndicat national des employés de presse CGT.

Il se présenta comme candidat de centre-gauche aux législatives de mars 1978 et fut investi par le Parti radical-socialiste et sa candidature fut admise par le comité de liaison de la majorité présidentielle (Parti républicain, Centre des démocrates sociaux, Parti radical-socialiste). En mars 1978, pendant la campagne électorale, il était présenté comme « candidat de centre gauche, majorité présidentielle, 53 ans, journaliste, ancien vice-président national du Parti radical-socialiste ». Au premier tour, où onze candidats étaient en lice, il recueillit 9 069 voix (sur 78 245 suffrages exprimés), et se classait derrière Maxime Gremetz* (PCF, 27 721 voix), Gilles de Robien (Parti républicain, 17 870 voix) et Jean-Claude Dessein (PS, 13 221 voix). Il se retira en vue du second tour qui vit l’élection de Maxime Gremetz face à Gilles de Robien.

Au cours de l’été 1978, il sollicita un poste de direction au Parisien libéré, qui lui avait été proposé en mars par Claude Bellanger, alors PDG du Parisien libéré qui connaissait ses « difficultés » mais que sa candidature aux législatives lui « avait empêché d’accepter ». Il indiqua, après son échec électoral, à André Fosset (nouveau PDG du Parisien libéré) qu’il avait « quitté le Courrier picard à la suite de difficultés insurmontables avec la CGT et le syndicat du Livre » (lettre de Richard Mazaudet à Max Lejeune, 6 juillet 1978). Sur le plan syndical, Richard Mazaudet était membre de Force ouvrière. De 1958 à 1972, il fut membre du bureau national du syndicat des journalistes FO et occupa aussi le poste de secrétaire national du syndicat des journalistes FO.

Richard Mazaudet termina sa carrière à Nord Matin et passa sa retraite à Amiens.
Il avait épousé le 23 octobre 1947 à Montigny-lès-Metz Geneviève Parizot.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article139132, notice MAZAUDET Richard [MAZAUDET Richard, Michel] par Julien Cahon, version mise en ligne le 31 janvier 2012, dernière modification le 25 juillet 2018.

Par Julien Cahon

SOURCES : Arch. FNSP. — Arch. OURS, 2APO2 et fonds Françoise Carle. — Arch. Dép. Somme, 21W390, 21W409 et fonds Max Lejeune (37J) — Arch. privées Max Arniaud*. — Le Courrier picard, 1977-1978 et 6 septembre 2004 — Les Tablettes de Péronne. Echos du Santerre, mars 1964 — Michèle et Jean Sellier, Guide politique de Picardie. Aisne, Oise, Somme, Editions Tema, 1973 — Jacques Béal, Histoire d’un quotidien régional : Le Courrier picard, Amiens, Martelle éditions, 1994, 168 pages.— Etat civil.

ICONOGRAPHIE : Richard Mazaudet et René Lamps lors des états généraux du désarmement à Amiens en avril 1963 {Le Travailleur de la Somme}, 4 janvier 1964.

rebonds ?
Les rebonds proposent trois biographies choisies aléatoirement en fonction de similarités thématiques (dictionnaires), chronologiques (périodes), géographiques (département) et socioprofessionnelles.
fiches auteur-e-s
Version imprimable