LEMARQUIS René, Jean

Par Claude Pennetier

Né le 13 août 1923 à Granges-sur-Vologne (Vosges), mort le 4 novembre 2021 à Saint-Lô (Manche) ; professeur d’École normale d’instituteurs et de lycée ; militant syndicaliste de la FEN, dans l’Aube et à Montreuil (Seine-Saint-Denis) ; responsable aux Jeunesses socialistes puis trotskyste ; collaborateur du DBMOF et du DBMOMS.

René Lemarquis
René Lemarquis

René Lemarquis était l’aîné d’une famille de trois enfants. Son père, Émile Lemarquis, ouvrier carrier en granit, et sa mère, Maria Morel, ouvrière tisserande dans le textile, travaillèrent successivement à Granges-sur-Vologne, Plainfaing et Gérardmer (Vosges). Ils étaient d’opinion « de gauche » et se syndiquèrent à la CGT réunifiée en 1936 lors du mouvement de juin où ils furent activement grévistes. Leur fils se retrouva alors plusieurs fois à la carrière des Rochires ou à l’usine Claude qu’ils occupaient à Gérardmer. Il avait déjà participé le 12 février 1934 à sa première manifestation où il apprit L’Internationale et à un rassemblement communiste contre la guerre en août de la même année. Il était alors essentiellement anticlérical et non croyant, bien qu’ayant fait sa première communion. Il assista d’ailleurs avec son père, à cette époque à une réunion du libre penseur André Lorulot à la mairie de Gérardmer. Des responsables communistes venaient parfois à la maison (Roger Mayaux, Jean Lemarquis, sans lien de famille) et il lisait souvent L’Avant-Garde. Mais il devint avant la guerre pacifiste plus ou moins intégral. Il adhéra en 1938 à une Ligue scolaire internationale pour la paix, proche de la LICP et lisait La Patrie humaine.

Titulaire du brevet élémentaire et du BEPS après une scolarité à l’EPS de Gérardmer, René Lemarquis fut admis en septembre 1940 à l’École normale d’Instituteurs ; celle-ci ayant été supprimée par Vichy, il fit ses études au lycée d’Épinal où il obtint son baccalauréat. Il passa ensuite une année au lycée Victor Hugo à Besançon (Doubs) pour préparer l’entrée à l’ENS de Saint-Cloud (Seine-et-Oise). Revenu en juin 1944 à Gérardmer, il monta en août au maquis de la Piquante Pierre et fut affecté au 4e groupe FFI. Il participa aux deux combats des 16 et 20 septembre où quatre-vingt-trois maquisards trouvèrent la mort. Il vécut ensuite caché, échappant ainsi à la réquisition des hommes déportés du travail en Allemagne. Plus des trois-quarts de la ville étant incendiés par la Wehrmacht, sa maison fut anéantie et sa famille, ayant tout perdu, se réfugia à Épinal. C’est alors qu’il apprit que le concours d’entrée à Saint-Cloud avait eu lieu avant la Libération, fin novembre, à Gérardmer. De retour en décembre au lycée de Besançon, sa scolarité fut de nouveau interrompue en avril 1945 par son incorporation dans l’armée de l’Air, dans le Jura. C’est comme militaire qu’il passa les épreuves du concours et fut admis à l’ENS de Saint-Cloud où il entra en octobre 1945.

Contacté pour y adhérer par un ami du PC, au sortir de la guerre, René Lemarquis avait été heurté par certains propos chauvins et fut attiré par des textes du journal Jeunesse, organe des Jeunesses socialistes où il retrouvait des accents internationalistes. Il parla en tant que Jeune socialiste à un meeting de la SFIO au début de 1945 à Besançon puis entra à Paris aux Étudiants socialistes qui n’étaient guère plus qu’une trentaine. Il fut candidat sur une liste commune avec des étudiants de l’UJRF lors d’élections à la Sorbonne. Les étudiants socialistes éditaient Jeunesse étudiante, supplément à l’organe des Jeunesses et Lemarquis y écrivait des articles, charriait le papier à l’imprimeur et diffusait le journal pour peu de résultats. Ce journal fut remplacé par Luttes dont il avait choisi le titre (1947). Tout en préparant une licence de philosophie puis un diplôme d’études supérieures (« La conception hegelienne de l’État et sa critique par la gauche hegelienne »), il militait aux Étudiants socialistes. À ce titre, il prit la parole à une réunion des universitaires du PS ; à une autre aux sociétés savantes avec Alexandre Bracke, Ernest Labrousse, René Lalou et Léon Boutbien, il se heurta à des parachutistes venus perturber le meeting ; il participa aussi à une rencontre amicale avec des délégués vietnamiens venus pour négocier en France en juin 1946. Influencé par des camarades de l’ENS et par certains étudiants socialistes comme André Parreau, il prit contact avec des membres du PCI (IVe Internationale) qui étaient entrés au bureau national des JS, lors du congrès national de Perpignan (avril 1946) tels que André Dunoyer (voir André Essel), Henri Massein, Robert Sauterey. Il soutint en août 1946 la « gauche » de Guy Mollet contre la « droite » blumiste de Daniel Mayer. Mais, entré dans la « fraction », René Lemarquis supportait de plus en plus difficilement la double affiliation, même si Le Drapeau rouge (nouvel organe des JS depuis la fin 1946) défendit une politique de plus en plus opposée à celle du parti sur des questions telles que le service militaire, la politique des salaires et la guerre d’Indochine. C’est ainsi qu’il manifesta lors d’une réunion contre cette guerre, interdite par le gouvernement à direction SFIO. Élu au bureau fédéral des JS de Seine-et-Oise, il ne participa que fort peu à cette fédération.

En février-mars 1947, René Lemarquis fit un voyage en Allemagne dans une délégation de l’Union patriotique des organisations de jeunesse (qui succédaient aux FUJP dont la JS s’était retirée depuis avril 1945). Elle comprenait des organisations politiques et religieuses de jeunes ; l’UJRF y était représentée par Jacques Denis. Lemarquis y emmenait, plus ou moins en cachette, des documents en allemand de la IVe Internationale à remettre à un militant allemand. Accueillie par chacune des quatre armées occupantes, la délégation fut reçue dans les principales grandes villes allemandes. Lemarquis dit quelques mots à une radio allemande. Lors du passage dans la zone soviétique, il put voir les ruines de Dresde et assister à Berlin à une réception de la FDJ avec Honecker, Muller et Hermann Axen. Ses articles parurent alors dans le Drapeau Rouge pour relater ce séjour.

Les événements se précipitèrent quand la direction de la SFIO s’opposa à la publication des résolutions du IIIe Congrès des JS de Montrouge du début avril 1947 où René Lemarquis participa, comme congressiste, à la manifestation au cimetière du Père-Lachaise. Puis la grève Renault, fin avril, dont il avait suivi la naissance due à l’action de l’Union Communiste, à partir d’une des deux cellules d’usine du PCI à laquelle il était rattaché, fut un moment de forte activité. Souvent présent à Billancourt, proche de l’ENS de Saint-Cloud, il organisa parmi les élèves une collecte pour les grévistes et distribua le 1er Mai des tracts de soutien dans la manifestation syndicale, avant d’en être expulsé par le service d’ordre. Quelques jours plus tard, Paul Ramadier envoyait les ministres communistes et Lemarquis fut de ceux qui le conspuèrent vivement au Mur des Fédérés en criant : « Démission ! ». Lors d’une réunion du CC du PCI consacrée à la fraction dans les JS, il représentait avec Benno Sarel la « gauche » (tendance Frank-Privas, voir Pierre Frank et Jacques Grinblat), opposée à la tendance Craipeau-Lenôtre (Dunoyer) (voir Yvan Craipeau et André Essel). Lorsque la direction nationale de la SFIO décida la dissolution de la direction des JS et que leur local, situé au siège du Populaire, fut forcé, la fraction se réunit chez Charles Schechter, rue Séguier (Paris VIe arr.), pour discuter de l’attitude à adopter. Si certains (comme Robert Pontillon*) décidèrent de rester dans le parti, la grosse majorité refusa de capituler. Convoqué par Pierre Métayer à la commission fédérale des conflits de Seine-et-Oise, le 28 juin 1947, René Lemarquis refusa de s’y rendre et reçut le mois suivant « copie de la sentence », par laquelle la Commission « constatait et ratifiait son exclusion » (lettre du 19 juillet), ce qui ne l’attrista pas ! Soulagé de ne plus avoir à cacher son appartenance au PCI, il ne suivit pas les JS qui, après le congrès de Villeurbanne, formèrent l’Action socialiste révolutionnaire et entrèrent plus tard au RDR (Rassemblement démocratique révolutionnaire). 

Une nouvelle période d’intense activité militante eut lieu d’octobre 1947 à août 1950. Pendant les grandes grèves de novembre 1947, membre d’un Comité de grève des élèves de l’ENS, René Lemarquis fut en contact avec des métallos de la CGT (en particulier aux Pompes Guinard) et participa activement aux assemblées générales d’enseignants. Lors de la séparation de la FEN d’avec la CGT, délégué de la section SNES de l’École au Congrès syndical de la Région parisienne (rue Dussoubs, Paris, IIe arr.), il défendit la position de l’École Émancipée pour le maintien d’une CGT unique et démocratique. Sur le plan politique, la rupture Staline-Tito en 1948 fit naître beaucoup d’espoirs. Abonné au bulletin Tanjug, Lemarquis suivait chaque jour les avancées du PC yougoslave dans la connaissance et l’analyse de la bureaucratie stalinienne. Il participa activement à la formation des brigades de jeunes en Yougoslavie. À la fameuse réunion du 9 juin 1950 pour l’envoi de brigades en Yougoslavie aux Sociétés savantes (rue Serpente), il fut grièvement blessé (nez cassé) par le commando des JC, dirigé par Annie Besse (voir Annie Kriegel) et Emmanuel Leroy-Ladurie, et emmené d’urgence à l’hôpital. Tombé malade pendant les vacances, il ne put participer aux brigades. Les multiples scissions du PCI de 1948 à 1950 l’inquiétaient Il suivit quelque temps des réunions du groupe Chaulieu-Montal (voir Cornélius Castoriadis et Claude Lefort) où le premier exposait Le Capital de Marx, mais il restait lié à la tendance Frank-Bleibtreu-Lambert (voir Pierre Boussel ou Pierre Lambert) qui devait elle-même éclater lors de la crise dite du « pablisme ». Désemparé, René Lemarquis, tout en restant sympathisant du courant en général, ne se rallia à aucune formation particulière et ne donna plus d’adhésion formelle. D’autant plus que son départ en province l’avait isolé.

En octobre 1950, René Lemarquis entamait sa carrière de professeur d’école normale d’instituteurs. Ayant échoué au professorat de philosophie (investissement total dans le militantisme, méconnaissance du latin…), il avait opté pour l’histoire-géographie où il fut reçu au CAPES. Il fut d’abord nommé à l’École normale de Commercy (Meuse). En 1952-1953, il fut détaché, après proposition de l’Inspecteur d’Académie, au collège d’Europe de Bruges (Belgique). Il fit des voyages d’études en Sardaigne et à Berlin, quelques semaines avant le soulèvement ouvrier de juin 1953. Il put, à l’époque où se formait la CECA, apercevoir les dangers d’une orientation vers une Europe libérale opposée à l’idéal d’États-Unis socialistes de l’Europe. Il fut nommé ensuite à l’École normale d’instituteurs de Troyes (Aube) en octobre 1953. Il avait conservé son domicile à Montreuil (Seine) où vivait son épouse Monique Lecouflet (ils s’étaient mariés le 13 novembre 1947 à Montreuil ; ils eurent trois enfants) qui avait été membre de la JCI et était devenue institutrice à l’école publique Decroly (annexe de l’École normale de la Seine). Il passait encore parfois au local du PCI, rue de l’Arbre Sec, au début des années 1950. Il écrivit même une brochure sur un « Parti ouvrier et syndical » avant d’abandonner ses visites.

Adhérent depuis 1950 au syndicat FEN des professeurs d’École normale, Lemarquis avait été en 1952 délégué au congrès national de la Fédération. Dans l’Aube, il fut de 1953 à 1960 responsable de ce syndicat et élu à la commission académique paritaire à Dijon. Il succéda ensuite à Prosper, secrétaire du SNI, à la tête de la section auboise de la FEN. Il s’efforça de faire paraître un bulletin départemental de la Fédération avec, en particulier, Marcuard du SNI et Tilquin du SNES. Dans ce département où il n’y avait pratiquement pas de conflit de tendances, il agit dans le CLAL contre les lois antilaïques Marie-Barangé et dans des actions communes avec les syndicats confédérés du secteur public (EDF surtout). Il fut délégué à trois congrès nationaux de la FEN (1956, 1958, 1960). Très sensibilisé par les problèmes coloniaux, René Lemarquis intervint contre la guerre d’Algérie. Après les événements de février 1956 à Alger, il parvint à réunir dans une déclaration commune parue dans la presse troyenne les principaux partis et syndicats ouvriers. En tant que membre du Comité des Intellectuels contre la guerre en Afrique du Nord, il recevait les signatures des opposants à la politique du gouvernement Mollet. Il participait parfois aux réunions de la Ligue des droits de l’Homme où il fit un exposé sur les conséquences pour les syndicats des nouvelles formes de travail issues du taylorisme.

À la suite des événements de 1956, il fit en 1957, à l’invitation d’un ami de l’UGS une conférence sur la question hongroise à l’hôtel de ville de Troyes où il eut de vives mais courtoises discussions avec le responsable communiste Jean Burles. Le coup d’État d’Alger et le retour du général de Gaulle rapprochèrent les opposants à la nouvelle Constitution. René Lemarquis intervint dans deux meetings, à Romilly et Troyes avant le référendum de septembre 1958 ; Durant les journées de mai, son intervention très dure contre les parachutistes faite à la tribune de la Bourse du Travail de Troyes fut dénoncée et attaquée par le journal parisien L’Aurore. Les mois suivants, lorsque les « ultras » d’Alger et les officiers devinrent menaçants, il fut en contact avec Georges Guingouin (qu’il avait défendu avec le SNI les années précédentes). Celui-ci envisageait la possibilité d’un soulèvement fasciste en France et les moyens concrets de s’y opposer.

En octobre 1960, René Lemarquis fut nommé professeur au lycée de Montreuil (Seine, Seine-Saint-Denis) où il devint secrétaire du SNES jusqu’en 1967 puis membre du bureau délégué au CLAL (Comité local d’action laïque) de la ville. Il fut très engagé dans la création et l’animation d’un centre culturel du Lycée, affilié à la Fédération des œuvres laïques dans lequel il fit vivre un ciné-club durant une vingtaine d’années. Toujours mobilisé contre la guerre d’Algérie, il fut de toutes les manifestations, légales ou non. Il représenta son syndicat à un Comité pour la défense de Simon Blumenthal, un militant cégétiste de Montreuil, emprisonné pour son aide au FLN. Il diffusa un document sur les assassinats d’Algériens en octobre 1961. Il adhérait en 1962 au FSRA (Front de soutien à la révolution algérienne).

René Lemarquis milita également contre la guerre américaine au Vietnam. Participant au CVN (Comité Vietnam national), il hébergea un certain temps au début de 1968 un déserteur américain et reçut, à son lycée, la visite d’un policier venu l’interroger faisant état d’informations fantaisistes sur une soi-disant détention d’explosifs (on lui apprit ultérieurement qu’il avait été l’objet de dénonciations). Au cours de la période 1963-1969, il effectua des voyages en Tchécoslovaquie, Pologne et Hongrie, il se lia avec des familles tchèques et polonaises qui lui permirent de connaître de plus près la nature du « socialisme réel ».

René Lemarquis fut présent dans toutes les actions quotidiennes de mai-juin 1968. Son fils Gérard s’était trouvé parmi les étudiants arrêtés le 3 mai. Entre deux manifestations, il occupa son établissement où il participa au comité de grève. Les rapports avec l’administration furent extrêmement tendus pendant les années qui suivirent. Bien qu’en désaccord avec une certaine agitation des lycéens, il refusait de les condamner et fut dénoncé publiquement comme fomenteur de troubles dans des publications du PC local. Il reçut alors un soutien massif de la section du SNES. D’autres accrochages eurent lieu, par exemple sur la participation aux divers conseils d’administration : deux listes de la FEN s’opposèrent, celle dont Lemarquis était tête de liste, qui s’opposait à la participation, obtenant la majorité. Il se rendit à Besançon en 1973 à la manifestation de soutien aux grévistes de Lip.

Pendant ces années, sans jamais adhérer à une quelconque formation politique, il se sentait proche de la Ligue communiste dont il resta sympathisant. Sur le plan professionnel, René Lemarquis s’était investi dans la création des nouvelles sections d’enseignement économique et social et fut quelques années animateur dans des stages organisés à Sèvres. Il ajouta à l’histoire-géographie l’enseignement de cette discipline de 1966 à 1983, date de sa retraite.

René Lemarquis adhéra, dès 1950, à l’Institut français d’Histoire sociale que venait de fonder Jean Maitron, il y était parrainé par Émile Tersen, communiste, professeur d’histoire à Saint-Cloud. Aussi donna-t-il son accord quand Maitron lança son appel à collaboration pour le Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier. Enseignant à Troyes, il se chargea de la rédaction des notices des militants aubois. Il ne cessa par la suite, sous diverses formes, de travailler pour le Maitron et fut membre du bureau de l’Association des Amis du Maitron. Il en était encore membre en 2015.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article140277, notice LEMARQUIS René, Jean par Claude Pennetier, version mise en ligne le 8 avril 2012, dernière modification le 21 août 2022.

Par Claude Pennetier

René Lemarquis
René Lemarquis

ŒUVRE : Nombreuses notices du DBMOF et de Komintern, l’Histoire et les hommes (358). — « La religion et le militantisme ouvrier dans le Maitron », La part des militants, 1996, Les Éditions de l’Atelier. — Il est l’auteur de 235 biographies dans le Maitron.

SOURCES : Jeunesse Étudiante, 1945-1947, puis Luttes, 1947. — Le Drapeau Rouge, avril 1947. — La Brigade, Deuxième quinzaine de juin 1950. — Presse quotidienne auboise de 1956 à 1960 (Libération Champagne, L’Est Éclair, L’Union). — Bulletin de la FEN, de l’Aube, 1957-1960. — Gavroche, n° 132, nov.-déc. 2003. — Jean-Jacques Aymé, Jeunesses socialistes, 1944-1948, Éditions Amalthée, 2009. — Bulletin de l’Association des élèves et anciens élèves des ENS de Lyon, Fontenay, Saint-Cloud, 2020, n° 2 ; Bulletin, 2021, n° 1 : témoigne sur l’École normale de Fontenay.

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