BARTELS Adolphe.

Par Jean Neuville

Bruxelles (pr. Brabant, arr. Bruxelles ; aujourd’hui Région de Bruxelles-Capitale), 24 août 1802 – Bruxelles, 29 mai 1862. Publiciste, considéré comme un précurseur de la démocratie et du socialisme.

Le père d’Adolphe, Thierry Bartels, protestant d’origine allemande, est né à Clèves (Rhénanie) le 28 avril 1776. Il s’installe, à l’âge de dix-neuf ans, comme négociant en draps en 1795 à Bruxelles où il décède le 14 avril 1821. La mère d’Adolphe, Louise Marie Mosselman, catholique bruxelloise, née le 9 août 1780, décède en 1847. Adolphe Bartels, baptisé dans la religion luthérienne le 27 août 1802, est l’aîné de six enfants. Son plus jeune frère, Jules Théodore (Bruxelles, 16 juillet 1815 - Bruxelles, 30 octobre 1855), après avoir tenté la carrière militaire, est avocat à Bruxelles. C’est un des fondateurs de La Belgique judiciaire en 1843 et de La Belgique communale en 1847. Jules Théodore est également secrétaire de l’association libérale, L’Alliance, dont il rédige le manifeste, et secrétaire du Congrès libéral de 1846. Il est conseiller communal à Bruxelles en 1847 : il est à l’origine de l’enquête ouverte par le conseil communal le 11 mars 1848 sur le comportement de la police lors de l’arrestation de Karl Marx. Défenseur du progrès, il s’intéresse à la classe ouvrière, à ses difficultés de logement et initie les « soupes économiques » destinées aux pauvres. Candidat à la Chambre en 1854, il échoue.

De 1813 à 1817, Adolphe Bartels fréquente le Lycée de Bruxelles. En 1823, alors en Allemagne, il se convertit au catholicisme. Au début, il a le comportement d’un « catholique intégral », propre au « converti », mais, assez rapidement, il devient un fervent disciple du libéralisme catholique. Après avoir été commis-voyageur, Bartels opte en 1827 pour la profession qui sera, pour lui, une véritable vocation : publiciste. Le 15 septembre, il entre au journal, Le Catholique des Pays-Bas, fondé le 7 décembre 1826 à Gand (Gent, pr. Flandre orientale, arr. Gand) où il s’installe en 1828.

Adolphe Bartels est un des premiers publicistes à appeler à l’union des catholiques et des libéraux contre le comportement hollandais vis-à-vis des provinces méridionales. Il participe aux pétitionnements de 1828 et 1829-1830. En 1829, il s’oriente vers l’idée de la séparation du Nord et du Sud. Il rejoint ainsi la position de Louis de Potter dans sa Lettre de démophile au roi, écrite dans la prison des Petits Carmes, où de Potter purge les dix-huit mois de prison qui lui sont infligés le 19 décembre 1829 à la suite d’un article du Courrier des Pays-Bas dans lequel il invite les Belges à crier « Honnissons, bafouons les ministériels ».

Le 15 février 1830, Adolphe Bartels est arrêté et emprisonné à Gand, en raison de l’idée lancée le 31 janvier, dans Le Catholique des Pays-Bas, d’une souscription afin de soutenir les membres des États généraux, victimes du roi Guillaume car ils ont perdu leur emploi, et pour prôner la constitution d’une association de défense des libertés constitutionnelles. Louis de Potter, de sa prison, lance dans le Courrier des Pays-Bas une proposition similaire, due à Tielemans, mais plus large. Bartels est rapidement transféré à la prison des Petits Carmes à Bruxelles où il est tenu au secret. Le 30 avril, Bartels est condamné à sept ans de bannissement tandis que Louis de Potter écope de huit ans.

Adolphe Bartels quitte la prison des Petits Carmes le 7 juin 1830. Après bien des péripéties, il est, avec Louis de Potter, à Paris le 24 août. Là, il participe à la fondation du journal, L’Avenir. Le 8 septembre, il est cosignataire de l’acte de fondation de la société éditrice de L’Avenir mais, il ne signe pas, le 15 octobre, l’acte officiel de publication car il regagne le territoire belge en pleine révolution.

Tandis que Louis de Potter, également revenu de Paris, entre, le 28 septembre 1830 dans le gouvernement provisoire du nouvel État belge, Adolphe Bartels refuse une place de commissaire de district à Roulers (Roeselare, pr. Flandre occidentale, arr. Roulers) le 20 octobre. Il prend contact avec le Journal des Flandres, ex Catholique des Pays-Bas.

Au moment où Louis de Potter quitte le gouvernement provisoire qui n’accepte pas ses idées républicaines, Adolphe Bartels repart pour Paris et rejoint l’équipe de L’Avenir (Lammenais). En février 1831, il revient en Belgique avec une ligne doctrinale nette : séparation de l’Église et de l’État, souveraineté du peuple, république. Lorsque l’Association nationale est créée le 23 mars 1831 dans le but d’éviter la restauration du régime hollandais, Bartels fait partie du premier comité. Il est corédacteur du premier manifeste mais, deux mois plus tard, il trouve l’association trop timide. Il regrette pourtant sa dissolution, le 9 juillet 1831, au lendemain du vote du Traité des XVIII articles. L’action pour tenter d’empêcher la signature de ce traité le fait rechercher et il se réfugie à Paris.

En avril 1832, Adolphe Bartels est rappelé en Belgique par le sénateur Lefèvre-Meuret, ex-commissaire du gouvernement provisoire à Tournai et propriétaire de plusieurs journaux. Ce dernier souhaite l’engager pour le journal, Le Courrier de l’Escaut, qu’il vient d’acheter. Il n’y restera pas longtemps.

Le 15 août paraît l’encyclique Mirari Vos qui touche Adolphe Bartels à vif dans ses conceptions libérales. À son initiative, une déclaration est rédigée par un groupe de catholiques tournaisiens, et publiée le 22 septembre dans le Courrier de l’Escaut. Mais ses conceptions n’ont pas d’écho dans la population et le clergé, mis en cause, déclare être étranger à l’initiative. Il quitte le Courrier de l’Escaut un an après et lance, le 3 mars 1833, La Voix du peuple, hebdomadaire de tendance sociale, dont le prospectus de lancement dit entre autres : « Et nous n’y avons rien gagné... tel est le cri désespérant qui, dès le lendemain d’une révolution, s’élève trop souvent et retentit dans les rangs du peuple. C’est que le peuple s’entend d’ordinaire beaucoup mieux à renverser l’oppresseur qu’à s’affranchir de l’oppression... » (cité dans BOLAND A., vol. 2, p. 374).

C’est probablement cette conviction qui pousse Adolphe Bartels à créer un mois après le lancement de La Voix du peuple, à Gand et à Bruxelles, une association, Les Amis de la vérité, dont le but est d’instruire les classes populaires. La Voix du peuple, qui, dès le premier numéro du dimanche 3 mars 1833, défend l’impôt progressif, est sous-titrée Journal de la propagande démocratique et des intérêts polonais le 1er décembre 1833. À ce moment, Bartels cesse de régir la publication. Le 17 juin 1834, il quitte la rédaction, craignant que son indépendance ne pâtisse de la présence d’étrangers dans la publication. Il est pourtant parmi ceux qui apportent leur soutien aux étrangers réfugiés en Belgique. Il est d’ailleurs secrétaire du Comité d’aide aux réfugiés politiques, créé le 17 juillet 1833, et dont Nicolas Rouppe est président, Alexandre Gendebien et Philippe Lesbroussart, vice-présidents. Mais d’autres motifs expliquent son départ de La Voix du peuple. Adolphe Bartels met l’accent sur l’égalité sociale tandis que les autres voient surtout la réforme électorale pour assurer l’égalité politique. Il garde sa confiance dans l’action des classes dirigeantes pour améliorer le sort des classes laborieuses, les autres n’y croient plus. Il se méfie de la volonté de créer une grande association groupant les prolétaires car il craint la perte de l’indépendance. Qu’à cela ne tienne, la même année, Bartels lance un nouveau périodique, Le Progressiste.

En 1835, Adolphe Bartels refuse la Croix de fer qui lui est octroyée par arrêté royal du 2 avril. Il reste logique avec lui-même : la révolution n’est pas terminée. « Pour moi », écrit-il, « j’ai voulu sans doute, le renversement de l’ancienne tyrannie, mais aussi l’abolition de la royauté héréditaire elle-même, abolition qui résulte du principe de souveraineté populaire, sanctionnée en fait par la révolution, en droit par la Constitution » (cité dans BOLAND A., vol. 2, p. 404).

Le Traité des XXIV articles va hérisser Adolphe Bartels et lui valoir d’être une fois de plus incarcéré. En décembre 1838, une nouvelle association nationale s’est formée pour résister à la cession des territoires du Limbourg et du Luxembourg. Bartels en fait partie. Le 8 janvier 1839, il est interrogé par le juge d’instruction en même temps que Edouard Ducpétiaux, président de l’association, mais sans suite. Dans sa propagande contre l’abandon des territoires, il va jusqu’à s’adresser aux militaires pour leur dire que ce n’est pas contre les Hollandais ou les Prussiens qu’ils devront faire la guerre, « mais aux patriotes, vos frères, qui protesteront contre l’abandon du Limbourg et du Luxembourg... » Le jour où le projet de traité vient en discussion, le 28 février 1839, Adolphe Bartels est incarcéré à la prison des Petits Carmes en même temps que Jacob Kats*. Le traité est ratifié le 19 mars et, le 28 mai, les prévenus, dont Bartels, sont acquittés. C’est à cette date que Adolphe Bartels rompt avec son ami Louis de Potter. Quelque temps après le procès, ce dernier est rentré à Bruxelles où il publie ses souvenirs personnels. Il y défend la thèse que seule une fédération avec la Hollande peut rendre la Belgique viable. Bien que Bartels n’adopte pas les vues de Kats et de ses meetings ouvriers qu’il juge trop violents, il est accusé par Le Belge, auquel il collabore mais qu’il quitte le 9 octobre 1839, de jouer double jeu, d’être partisan en fait de « la loi agraire et du partage des fortunes ».

Le 20 juin 1840, Adolphe Bartels lance, une fois encore, un nouveau périodique, Le patriote belge, sous-titré organe du libéralisme et de la démocratie, dans lequel il publie, le 16 septembre, son programme démocratique partiellement inspiré des meetings de Kats. Il se prononce notamment pour le vote électoral universel, l’impôt progressif, l’instruction publique aux frais de l’État, les cultes salariés par leurs adhérents. Il n’hésite pas à manœuvrer avec Kats, dont il ne partage pourtant pas les idées, parce qu’ils ont une position commune sur un point.

C’est en fonction de cette philosophie que Adolphe Bartels est compromis dans l’affaire des « Paniers percés ». Il écrit dans Le patriote belge du 9 octobre 1841 : « Nous pourrions aller jusqu’à nous concerter avec le parti orangiste dans un but commun de renversement de l’ordre de choses établi, mais sous les couleurs de la révolution de septembre, mais dans l’espoir d’entraîner le peuple victorieux dans un sens aussi hostile à l’ancienne qu’à la nouvelle royauté... »

Le 2 août 1841, Adolphe Bartels est arrêté par suite de son insolvabilité dans sa condamnation à 10.000 francs de dommages et intérêts pour ses articles contre l’inspecteur Vlemynckx à propos du service sanitaire de l’armée. Il restera dix-sept mois en prison.

À sa sortie des Petits Carmes, Adolphe Bartels constate qu’une tendance libérale s’oriente vers la création d’un parti politique. Son souci d’indépendance l’amène à lancer en juillet 1844 un nouvel hebdomadaire, Le Débat social. Bartels met cette fois l’accent sur les problèmes sociaux, la misère, l’injustice. Il publie notamment une série d’articles sur le thème : Essai sur l’organisation du travail. Cet essai, préparé pendant les mois de captivité, relève de la catégorie des socialismes utopiques, mâtiné évidemment par son appartenance à la bourgeoisie. Il critique fondamentalement la concurrence, se prononce pour la socialisation mais, en même temps, considère la propriété privée comme sacrée. L’impôt doit être réformé pour devenir impôt unique et progressif. Il s’oppose aussi bien au salaire identique pour chacun qu’à celui qui tient compte des besoins de chacun. Une fois encore, Adolphe Bartels va prendre ses distances avec un hebdomadaire qu’il a fondé. Il prend position contre les candidatures de Joseph Lebeau et Charles Rogier pour l’Alliance à Bruxelles lors des élections législatives du 10 juin 1845. Comme on l’invite à plus de modération, il quitte la direction du Débat social, dont Félix Delhasse se charge désormais. La rupture se fait également sur la distance qu’il garde à l’égard du fouriérisme qui anime bon nombre de ses proches. « Bartels se méfiait de la morale sensuelle (grossière et immorale) du fouriérisme, révolutionnaire, il en détestait le prudent réformisme. À plusieurs reprises, il accusera les phalanstériens de nuire au prolétariat en le détournant de l’action politique et en le « leurrant » du « fol espoir » que les riches viendraient sacrifier volontairement leurs privilèges » (voir BARTIER J., 2005). Bartels se borne à collaborer mais, en avril 1846, il cesse même cette collaboration, tandis que son frère Jules, sa mère et sa sœur Cordélia, restent actionnaires du journal.

Adolphe Bartls ne fait pas partie de l’Alliance mais bien du Trou qui groupe les libéraux radicaux. Même ici, il n’y reste pas car sa liberté de journaliste y est limitée par le règlement. Dans le domaine social, Adolphe n’est pas que théoricien. À partir de 1845, c’est-à-dire lorsque la Phalange Anneessens, dont il fait partie, s’oppose à l’Alliance, il prend régulièrement la parole dans les meetings, souvent avec le bottier Jan Pellering*. Il semble bien avoir participé à la création d’une mutuelle pour tailleurs à Bruxelles.

Plus significative de sa personnalité est la rupture avec la tendance marxiste. On sait que le 5 août 1847, Karl Marx, réfugié à Bruxelles, avait créé une section communiste pour les Allemands de Bruxelles, section qui prendra le nom d’Association des ouvriers allemands de Bruxelles. On sait aussi que « les rancunes, les jalousies, les ambitions insatisfaites faisaient leurs ravages aussi bien là qu’ailleurs » (voir SOMERHAUSEN L., p. 167). Qui plus est, des Allemands, immigrés, adversaires de Marx, organisent le 27 septembre 1847 un banquet au cours duquel ils veulent créer une association. Adolphe Bartels prend la parole, avec d’autres, à ce banquet. Il critique notamment la « déclaration d’athéisme » qui y est formulée. Aussi ne le voit-on pas parmi les fondateurs de l’Association démocratique le 7 novembre 1847. Le 29, il participe à la séance anniversaire de la révolution polonaise. Mais quelques jours après, il désavoue l’utilisation de la séance par les communistes allemands notamment. Le 5 décembre, l’Association démocratique désavoue l’attitude de Bartels. Il réagit dans le Journal de Charleroi, qualifie la défense du principe de la lutte des classes d’ « enseignement immonde et barbare ». Les « hurlements contre la bourgeoisie », dit-il encore, « ont soulevé mon indignation de belge ». C’est en fait, la rupture avec la tendance marxiste. Marx écrira dans la Deutsche Brüsseler Zeitung que Bartels est « plus théocrate que démocrate ».

En 1847, Adolphe Bartels se retire de la vie publique. Il est encore impliqué en mars 1846 dans la création d’une association, La Concorde, qui doit relancer le mouvement démocratique. On ne parle pas de lui au procès du « Risquons-tout » en août 1848. Il écrit encore dans La liberté et La Colonne belge mais le ressort est cassé. Il s’abonne au Prolétaire de Nicolas Coulon (1855), mais renonce en 1857 (12 janvier) : « Je regrette beaucoup, mon cher monsieur Coulon, de devoir renoncer à l’abonnement de votre Prolétaire, que je regarde comme un danger pour la démocratie belge qui n’a plus aucun organe à Bruxelles ». Il ne s’est donc pas désintéressé du mouvement démocratique, mais se distancie du « radicalisme démocratique » qui a amené le despotisme au pouvoir (le suffrage universel et le Second Empire). En janvier 1847, avec le major Denies, commandant des pompiers de Bruxelles, il adresse un intéressant libelle au conseil communal de Bruxelles : « Plan d’assurances obligatoires et générales de toutes les propriétés par l’État, garanties contre tous les genres de sinistres, organisation des secours publics… », qui, plus tard, inspirera Louis Bertrand.

Décédé à Bruxelles le 29 mai 1862, Adolphe Bartels jalonne l’exercice de sa profession de publiciste d’une série de ruptures, de la création de multiples périodiques rapidement abandonnés. C’est que, sur le chapitre de la liberté d’expression et de l’indépendance, il est intransigeant et sacrifie même les amitiés anciennes à sa sauvegarde. Il fait partie des progressistes qui considèrent que la Révolution belge n’est pas terminée et manœuvre jusqu’à son retrait de la vie politique pour tenter de la mener à terme.

Opposé au despotisme des princes d’ancien régime, Adolphe Bartels s’oppose non seulement au retour des Nassau mais au même titre à Léopold Ier. Pour lui, la république est un des éléments essentiels d’achèvement de la révolution de 1830, seul à même d’assurer la souveraineté du peuple. Il y a chez lui un patriotisme belge qui lui fera combattre les cessions de territoire du traité des XXIV articles et le rend méfiant vis-à-vis des étrangers. L’union des catholiques et des libéraux est, pour Bartels, source de démocratie ; aussi est-ce la mort dans l’âme qu’il voit l’orientation vers le régime des partis qui opposera les libéraux et les catholiques. Déçu dans son libéralisme, il ne se tourne pas pour autant vers la tendance marxiste. Son appartenance à la bourgeoisie et ses convictions religieuses semblent bien l’en empêcher.

A. Boland a écrit, en conclusion de la biographie sur Adolphe Bartels, que la question se posait de savoir s’il ne s’agit pas d’une forme de « démocratie chrétienne ». R. Rezsohazy, dans son ouvrage sur le catholicisme social, en a fait un des trois premiers, avec Ducpétiaux et Huet, catholiques sociaux de Belgique. Nulle part, R. Rezsohazy n’évoque l’option républicaine radicale et permanente chez Bartels. Il est vrai que ce n’est point une option caractéristique des catholiques sociaux. De son côté, Louis Bertrand le considère néanmoins comme un précurseur de la démocratie et du socialisme belge à l’instar des Castiau, des frères Delhasse, de Potter, Jottrand. (BERTRAND L., Histoire de la démocratie et du socialisme en Belgique, vol. 2, Bruxelles, 1907, p. 671)

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article147273, notice BARTELS Adolphe. par Jean Neuville, version mise en ligne le 17 juin 2013, dernière modification le 9 septembre 2020.

Par Jean Neuville

SOURCES : SIMON A., « Bartels Adolphe », dans Biographie nationale, t. XXXI, Bruxelles, 1962, p. 48-52 (il signale erronément Gand comme lieu de naissance) – BOLAND A., Le procès de la révolution belge : Adolphe Bartels, 1802 - 1862, Namur, 1977 – BARTIER J., Fourier en Belgique, édité et présenté par F. Sartorius, Bruxelles, 2005 – SOMERHAUSEN L., L’humanisme agissant de K. Marx, Paris, 1946 – WOUTERS H., Documenten betreffende de geschiedenis der arbeidersbeweging ten tijde van de Ie Internationale (1866-1880), deel II, Leuven-Paris, 1971 (Cahiers du Centre interuniversitaire d’histoire contemporaine, 60).

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