PAYEN Roger, Désiré

Par Martine Garcin

Né le 13 janvier 1913 (14 janvier sur les pièces d’identité) à Puiseaux (Loiret), mort le 12 novembre 2012 à Aubenas (Ardèche) ; dessinateur-projeteur, artiste, décorateur d’intérieur, architecte ; militant au Parti communiste ; résistant, responsable national des éditions clandestines ; conseiller municipal communiste de Draveil de 1947 à 1965.

Roger Payen en 2003
Roger Payen en 2003

Profitant de rencontres marquantes au cours de sa jeunesse, Roger Payen devint à son tour le mentor de nombreux jeunes et joua un rôle important dans la formation d’une communauté de résistants communistes à Draveil et Vigneux à partir de 1939.

Roger Payen grandit dans une famille cheminote. Son père Louis, Albert était employé aux écritures au réseau PLM, puis sous-chef de gare, enfin aiguilleur. Sa mère Berthe Fessien était cuisinière dans les maisons bourgeoises, le grand-père maternel étant cantonnier à l’entretien des voies ferrées et sa femme garde-barrière.

Roger passa sa petite enfance rue du 14 juillet à Corbeil (Essonne) de 1914 à 1919, dans le « triangle des Bermudes » formé par les Grands Moulins de Corbeil, le triage, l’usine à gaz, cibles privilégiées en temps de guerre. À la suite d’un accident dans un escalier qui le tint alité plusieurs mois, il commença à dessiner à l’âge de cinq ans à l’aide de cahiers de dessins offerts par sa sœur. Juché sur les épaules de son père militant syndical, il participa aux manifestations dès son plus jeune âge, l’églantine rouge à la boutonnière. Son père devint communiste beaucoup plus tard. Le traumatisme de la guerre fut fondateur de tout l’engagement politique et résistant de Roger Payen. Ses premiers souvenirs furent les récits des poilus revenus des tranchées de la guerre 1914-1918, une de ses premières peintures représenta la Tranchée des baïonnettes. Et avoir vingt ans en 1933, année de l’accession de Hitler au pouvoir, ne fit que conforter la trajectoire définie dès l’adolescence.
En mai 1919, ses parents purent acquérir un terrain dans un lotissement dans le quartier des Mousseaux à Vigneux-sur-Seine (Essonne), à la limite de la commune de Draveil. Le jeune Roger tira au sort le lot de ses parents, 6 avenue des Églantines, et le lot voisin dévolu à la famille Deguéret. De ce jour, Roger Payen et Suzanne Deguéret, de 2 ans plus âgée, ne se quittèrent plus, jusqu’au décès de Suzanne survenu le 2 septembre 2004. Ils partagèrent les idées, la vie professionnelle, un parcours de militants communistes et de résistants, la répression. Ils ne furent séparés que pendant les dix-huit mois de leur internement.

De nombreuses rencontres orientèrent la vie du jeune Roger. Le Père Lamothe, vieil anarchiste vigneusien, lui fit lire à douze ans La Conquête du pain de Kropotkine. En 1925, il visita la grande exposition des Arts déco et fut particulièrement intéressé par deux œuvres architecturales qui restèrent toute sa vie des références, les seules novatrices de l’expo, le pavillon soviétique de l’architecte Mel’nikov et le pavillon de l’Esprit nouveau de Le Corbusier, manifeste de la nouvelle architecture. Il retrouva le pavillon Mel’nikov à l’emplacement actuel du siège du Parti communiste, pavillon où à l’époque étaient rassemblés les candidats aux Brigades internationales de la guerre d’Espagne. Un peu plus tard, il suivit les cours du soir de Le Corbusier. Il passa des vacances chez un oncle à Dordives où il fit la connaissance de Charles Dullin pour qui l’oncle réalisait des maquettes de mise en scène. Plus tard, Roger fit lui aussi beaucoup de décors de théâtre, notamment pour le groupe draveillois de la Fédération du Théâtre Ouvrier Français. Roger fréquenta le patronage de l’abbé Boinet dont le terrain de sport était voisin de son domicile. Sans chercher à contrer l’influence du vieil anarchiste, l’abbé Boinet qui lui fit passer un certificat d’études religieuses et lui fit connaître le château de Bierville du pacifiste chrétien Marc Sangnier, dont le domaine essonnien devint en 1929 la première Auberge de jeunesse. À Bierville, Roger se découvrit une vocation de pédagogue pour la jeunesse. Vers 1930, il créa le premier cours de dessin de Vigneux, à l’origine de l’actuelle École municipale d’Arts plastiques. Devenu athée, il conserva de cette période une aptitude au dialogue avec les catholiques. Avant même la politique de « main tendue » de Maurice Thorez en 1935, il fut chargé vers 1934 par le Parti communiste d’approcher un socialiste chrétien responsable de la JOC rencontré pendant son service militaire à l’hôpital d’instruction des armées Dominique Larrey de Versailles qui accueillait notamment des objecteurs de conscience.

Titulaire du certificat d’études et après quatre années de cours complémentaire à Villeneuve-Saint-Georges, Roger Payen entra en apprentissage en septembre 1927, à 14 ans, dans la maison Soubrier, créateurs de meubles de style dans le faubourg Saint-Antoine, où il resta sept ans jusqu’en 1934. Là ses collègues et amis, dont Paul Grimault, lui apprirent tout, le métier et le reste. En parallèle, il suivit durant quatre années les cours du soir de l’école Boulle. L’apprentissage des styles se fit en copiant les œuvres, les décors dans tous les musées et châteaux de la région. La culture vint par la lecture d’abord clandestine puis avec l’accord résigné du patron de tout le répertoire classique, dans l’atelier et sur le temps de travail. Roger devint le lecteur officiel de la maison Soubrier, Victor Hugo, Romain Rolland – La Révolte – furent au programme. Paul Grimault et d’autres collègues lui firent connaître tous les spectacles parisiens, classiques ou contemporains, cinéma, concerts, théâtre où il rencontra de nouveau Charles Dullin. À quinze ans, Roger fit la connaissance chez le sculpteur juif pacifiste Naoum Aronson d’Henri Barbusse, un des fondateurs de l’ARAC en 1917, du dessinateur Frans Masereel, de Lounatcharski, ministre soviétique de la culture, et surtout de Romain Rolland. Leurs discussions portaient sur le développement des mouvements pacifistes. Romain Rolland marqua profondément le jeune apprenti en orientant ses lectures. Au début des années trente, Roger fréquenta l’AEAR, mit ses talents d’artiste au service du mouvement antifasciste Amsterdam-Pleyel.

Les nombreux lotissements de Vigneux et des environs étaient notoirement mal ou non viabilisés, les routes non goudronnées, les eaux pluviales non évacuées. Les luttes des « Mal-lotis » furent pour une part à l’origine de la montée du Parti communiste dans ces banlieues dans les années trente. Rencontré sur le chantier d’une de ces routes boueuses, un ouvrier communiste, Marcel Cazin, demanda à Roger de venir à Draveil créer une structure d’accueil pour la jeunesse. Le Draveillois Marcel Cazin futélu conseiller municipal communiste en 1932, 1935, commissaire politique dans la 14e Brigade des Brigades internationales en Espagne, résistant, lieutenant-colonel FTPF-FFI. Marcel Cazin mit en relation Roger avec Georges Dreyfus et André Leroy, responsable draveillois des Jeunesses communistes. Répondant à la demande de Cazin concernant le groupe d’enfants, Suzanne et Roger, déjà adhérents des Jeunesses communistes, emménagèrent ensemble en 1931 dans la ville voisine de Draveil, 1 rue Jean Jaurès et se marièrent le 6 mai 1933. L’union dura 73 ans. Les groupes d’enfants étant dans l’orbite du Parti communiste, Roger accepta en 1932 la proposition de Cazin d’adhérer au parti. Maurice Denis, draveillois responsable national du Secours ouvrier international, habitant 45 allée des Deux-Cèdres dans la cité coopérative de Paris-Jardins, souhaitait que le groupe d’enfants soit rattaché au SOI. Georges Dreyfus et R. Picard, communistes également, ce dernier résidant 10 allée des Sports, président de Paris-Jardins de 1920 à 1924, préféraient une affiliation au Secours rouge international. Ce fut le SOI dont Roger Payen, épaulé par Suzanne, devint le responsable draveillois, groupe en concurrence avec « La Vaillante » créée par l’abbé Bellanger et le patronage laïque des socialistes. Dans cette activité, Roger Payen rencontra souvent rue Mathurin Moreau les responsables nationaux du SOI dont Alice Duchêne qu’il appréciait particulièrement. Il retrouva cette dernière après la guerre, quai de Jemmapes, lorsque Jacques Duclos confia à Roger Payen la co-responsabilité de l’école de formation des moniteurs des colonies de vacances des CEMEA qui se tint dans des lieux réquisitionnés à Choisy, Fontenay-aux-Roses, Argenteuil, Bezons. Au SOI, Roger appliqua les méthodes actives étudiées à l’Université populaire où il suivit les cours de psychologie de l’enfance d’Henri Wallon et Hélène Alphandéry, développa la solidarité avec les enfants des participants aux marches de la faim des chômeurs, dessina et vendit des bons de soutien du SOI et des Vacances populaires enfantines. À partir de 1931, il accompagna les enfants à la colonie de vacances du SOI de la Couarde-en-Ré. En 1933, le couple accueillit à Draveil trois antifascistes allemands, comme le firent aussi les couples draveillois Georgette Guéguen-Georges Dreyfus et Fernand Julian-Maria Stemmer, réfugiée allemande et ancienne compagne de Foundo, un membre de l’Internationale communiste. Roger participa à l’organisation de meetings antifascistes à Draveil, notamment pour la libération de Thälmann fait citoyen d’honneur de la ville. Roger peignit les décors, portrait et « rot front », de la salle de l’Orangerie de Paris-Jardins où se tenaient les meetings.

Roger Payen fit son service militaire en septembre 1933 à Saint-Germain-en-Laye puis à l’hôpital Dominique Larrey de Versailles où il fut réformé. Après les manifestations de février 1934, la sentence patronale « vous êtes un sale communiste », de plus antimilitariste et réformé, fut sans appel. Après le chômage et une pleurésie, Roger occupa différents postes dans le domaine commercial ou artistique.

En 1935, Roger Payen assisté de Suzanne devint un des responsables du « camp de la Paix », structure mise à disposition par la municipalité de Front populaire de Draveil, en bordure de forêt de Sénart. Ce camp rassemblant des groupes d’enfants et de jeunes de la région, de Paris et du monde entier, fut une pépinière de futurs résistants comme le Colonel Fabien, Maurice Le Berre. À cette époque, Roger Payen fit le choix de participer au groupe local de la FTOF pour lequel il fit notamment des décors de scène, plutôt que d’intégrer le Groupe Octobre où était Paul Grimault.

Vers 1937-1938, Roger Payen travailla pour Regards avec Francis Jourdain, prenant la succession d’Elsa Triolet à la rubrique « aménagement intérieur ». Il rencontra plusieurs fois Elsa et Aragon dans leur appartement parisien. Après l’interdiction du Parti communiste en septembre 1939, il revint à Draveil pour tenter de faire revenir certains conseillers municipaux sur leur accord de renoncer à leur appartenance au Parti, expliquant le processus qui aboutit au pacte de non-agression germano-soviétique. Cinq conseillers furent démis de leur mandat mais réintégrés à la Libération. Roger accepta très vite la proposition faite par André Leroy au nom du parti d’entrer en clandestinité. Roger et Suzanne se mirent à la disposition du Parti de fin septembre 1939 à leur arrestation début 1943, occupant une douzaine de planques à Nogent, boulevard Voltaire, Ivry-sur-Seine, Gentilly, square Jules Ferry à Montrouge, Clichy, Vincennes, et enfin square Falret, 8 avenue du Parc à Vanves où ils furent arrêtés, leurs pseudonymes étant « époux Martin », « époux Lorty », « Blaise », « Jean », « Louise », « homme Vincennes » et « femme Bastille » pour la BS1 de la Préfecture de Police de Paris. Ils furent tout d’abord chargés de maintenir les contacts avec les communistes, sillonnant en tandem tout le sud de la Seine-et-Oise, visitant par exemple Louis Namy qui devint sénateur, Serge Lefranc qui sera président du Comité de Libération de Seine-et-Oise, Roger, maraîcher à Marcoussis, mort en déportation, Odette Réglait à Chamarande et beaucoup d’autres. Après la mort de Boyer, Roger passa dans le triangle de direction du PC Paris-sud avec Marie Besseyre et Maurice Lacazette, son responsable étant Jean Laffitte. Lorsque Besseyre fut blessé dans la manifestation parisienne du 14 juillet 1941, arrêté et hospitalisé, Roger participa à l’organisation de son évasion de l’Hôtel-Dieu de Paris. Il participa également à certaines actions des FTP, souvent en liaison avec Maurice Le Berre, il effectua par exemple le repérage à la Librairie Rive gauche avant l’attentat par les FTP. Il participa également à la rédaction d’articles pour l’Humanité clandestine.

Après l’arrestation de Besseyre et de Lacazette, Roger Payen fut affecté à une autre tache, l’édition et la diffusion de la presse clandestine du PCF, du Front national, des FTP, et remplacé au triangle par le vigneusien Henri Duvernois. Suzanne et Roger Payen furent arrêtés le 2 mars 1943 par la BS1 dans le cadre des affaires des imprimeurs clandestins du PC. L’affaire Tintelin ou « Ambroise 1 » aboutit le 18 juin 1942, après trois mois de filatures, à l’arrestation par la BS1 de 82 résistants dans le domaine des impressions et éditions clandestines, dont de nombreux responsables nationaux du PC. Touchant le même secteur, l’affaire « Ambroise 2 » ou « Quillent » se solda dans un premier temps, après trois mois de filatures de tout le réseau, par l’arrestation par la BS1 de 107 résistants dont Suzanne et Roger Payen, son cousin Pierre Brossard, responsable national des Cadres du PC, Lucie Gratadoux, leur contact vers Jacques Duclos, Robert Lebon et Gaston Bré, leurs contacts vers Georges Marrane, Hilsum, responsable à l’achat du matériel de l’organisation clandestine. Au cours des interrogatoires, la BS1 tortura les résistants, pour Roger, testicules comprimés entre deux tables. Les 108 scellés saisis par la BS1 dans la planque de Roger, responsable adjoint sur le plan national de l’appareil technique, et les comptes rendus d’interrogatoires vus aux archives de la PP permettent de reconstituer le fonctionnement du plus grand réseau d’impression et d’édition de la Résistance intérieure.

Interné à la prison de la Santé pendant 18 mois, Roger Payen fut, avec Pierre Maucherat et Gaston Bré, et avec l’accord de Jean Jérôme, un des responsables politiques des détenus politiques de cette prison, chargé de maintenir au plus haut le moral de ses compagnons. Avec ses camarades, Roger déjoua la provocation du 14 juillet 1944 à laquelle participa le franciste Bucard, révolte des droits commun qui aurait pu aboutir à la fusillade de tous les détenus politiques de la Santé. À la Santé, Roger Payen réalisa un corpus de 300 dessins dont chacun est un acte de résistance. Il n’évoqua jamais publiquement son parcours de résistant ni son œuvre de prison avant 2001, début d’un travail de mémoire et d’histoire sur la résistance des Draveillois. Roger fut condamné par le Tribunal d’État, juridiction d’exception, à 15 ans de travaux forcés, Suzanne à 5 ans de la même peine. Ils sortirent de prison 18 août 1944 avec l’aide de certains gardiens devenus résistants, évitant de justesse la déportation. Il était titulaire des cartes de Combattant Volontaire de la Résistance, d’Interné Résistant et du Combattant.

Dès sa sortie de prison, Roger Payen devint correspondant de guerre pour l’Humanité, participa à la sortie du premier numéro non clandestin le 21 août 1944, suivit la libération de Paris, les maquis, la retraite des Allemands avec le 1er Bataillon de Marche de Paris du Colonel Fabien jusqu’à la veille de la mort de ce dernier. Il fut membre de la Commission centrale d’Épuration de la Magistrature où comparut notamment Couget, sous-directeur de la prison de la Santé. Ensuite secrétaire de rédaction de l’Humanité, il fut remplacé à ce poste par Jean-Pierre Chabrol en 1947. Roger Payen reprit alors son métier d’architecte et de décorateur. Il fut élu conseiller municipal communiste de Draveil en 1947, 1953, 1959, devint secrétaire de la section du Parti communiste de la ville avant Michel Prévost, le gavroche du Vercors, fils de Jean Prévost. La gauche étant majoritaire en 1947 et 1953, un maire communiste aurait dû être élu, Roger Payen en 1953. La droite et une partie du Parti socialiste préféra faire alliance, la droite installa le socialiste Henri Boissier comme maire en 1947 et 1953 et un gaulliste en 1959. Plus tard, Roger Payen quitta le PCF quelques années, en désaccord avec la mutation décidée au congrès de Martigues en 2000. Dans les années soixante, il fut membre du Comité directeur de l’Union des Arts plastiques. Il s’installa en 1969 en Ardèche dans une ancienne magnanerie de Balazuc où à la suite d’une chute il mourut à presque cent ans le 12 novembre 2012 à l’hôpital d’Aubenas. Il vivait seul depuis le décès de Suzanne en 2004. Ils eurent un fils, René-Paul, né le 9 juin 1946.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article148584, notice PAYEN Roger, Désiré par Martine Garcin, version mise en ligne le 29 août 2013, dernière modification le 19 septembre 2017.

Par Martine Garcin

Roger Payen en 2003
Roger Payen en 2003
Suzanne et Roger Payen
Suzanne et Roger Payen

ŒUVRE : Collaboration artistique et politique avec les Jeunesses Communistes Paris-Sud, Regards, l’Humanité, PCF. — Dessins d’internement à la prison de la Santé. ¬— Architecte et décorateur (Draveil, Antony, Robinson, Gentilly, Corbeil-Essonne, Paray, Le Vaudoué, La Baule, Vallon-Pont-d’Arc…). — Projet de Monument aux Morts de Draveil-Sénart. — Cartons de tapisseries. — Nombreuses peintures…

SOURCES : Entretiens de Roger Payen avec Martine Garcin 2001-2012. — Arch. PPo, BS1, carton 7 — L’Humanité. — Regards. — Roger Payen, Martine Garcin, Parcours Santé, 250 dessins de prison de Roger Payen, Éditions Soleils en chantier, 2005, 2007. — Pièces d’identité, livret de famille. — Musée de la Résistance nationale, fonds de liquidation OS-FN-FTPF, carton n° 310. — Jean Jérôme, Les Clandestins 1940-1944, Acropole, 1986.— Jean-Pierre Chabrol, La Folie des miens, Gallimard, 1977, p. 51. — Le Point n° 308, L’enfant, cet inconnu, Entretien de Pierre Desgraupes avec l’urbaniste draveillois René Porte, 14 août 1978. — Jean Le Jeune, Itinéraire d’un ouvrier breton, 2002, p. 277. — John M. Merriman, Mémoires de pierres, Balazuc, village ardéchois, Tallandier, 2005, p. 18.

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