BEGARRA Joseph, Antoine [Dictionnaire Algérie]

Par René Gallissot

Né le 26 mai 1908 à La Sénia près d’Oran, mort le 3 juillet 1997 à Paris (XIe arr.) ; instituteur ; secrétaire adjoint (1935-1940) puis secrétaire (1943-1962) de la Fédération SFIO d’Oranie ; conseiller de l’Union française (1947-1958) ; membre du Comité directeur de la SFIO (1950-1969) ; très proche conseiller de Guy Mollet secrétaire général de la SFIO et chef du gouvernement en 1956-1957, chargé de contacts au printemps 1956 avec le FLN.

Les Begarra, nom basque, sont venus du pays basque français vers 1855, sous le second empire, celui de Napoléon III, chercher à s’employer auprès du colonat agraire d’Oranie ; les colons étaient français ou se faisaient français ; la main-d’œuvre venait massivement d’Espagne, principalement de la côte du Levant de Valence à Algésiras, saisonnière puis donnant la plus grande part du peuplement immigré. Le père de Joseph Begarra n’était que jardinier commis de ferme aux portes d’Oran (La Senia) ; ces « petits blancs » épousaient des filles d’immigration espagnole ; à la maison, langue proprement maternelle, on parlait ainsi l’espagnol valençais. La génération suivante était celle de l’école, de l’école française de la République qui bâtissait la Grande France pour mieux croire qu’elle n’était pas coloniale ; comme l’avenir social par l’école, l’avenir de l’Algérie était républicain français.

Plus encore à gauche pour ceux qui devenaient socialistes dans leur promotion de maîtres d’école et de porteur de la langue française, la langue écrite et grammaticale des rédactions quand le sabir oranais permettait encore la familiarité avec les colonisés mêmes. Poussé par son directeur d’école, boursier, Joseph Begarra passe de l’école primaire locale à l’École primaire supérieure de Sidi-bel-Abbès où enseigne Maxime Guillon*, le fondateur du syndicalisme et du parti socialiste passé au communisme en 1920 pour en sortir par la fameuse motion de Sidi-Bel-Abbès, coloniale au point de ne pas voir qu’elle était raciste.

En 1924, J. Begarra entre à l’École normale d’instituteurs, encore unique, et il obtient le Brevet élémentaire. Il est ainsi interne jusqu’en 1927 à La Bouzaréah, l’école qui fait les instituteurs français d’Algérie, y compris le petit contingent subordonné d’instituteurs d’origine indigène, adhérents à la SFIO et frères de gauche républicaine au Grand-Orient ; la maçonnerie est forte dans l’administration coloniale et supervise les élections. Les amitiés de promotion demeurent comme celle qui lie Joseph Begarra et l’instituteur Ahmed Boumendjel* qui ouvre le contact avec Ferhat Abbas, encore « Jeune Algérien », plus tard fondateur de l’UDMA, rallié au FLN en 1955-1956, et futur président du GPRA.

En 1927-1928, le premier poste attribué à J. Begarra est à l’école de Bou Sfer à 20 kms d’Oran, et la SFIO présente le jeune instituteur aux élections locales. Il a 20 ans ; il est envoyé faire son service militaire en France à l’École militaire d’artillerie Poitiers ; nouvelle consécration patriotique française qui en impose dans le monde colonial, il en sort sous-lieutenant. Au retour, J. Begarra est nommé instituteur à Aïn-el-Turk ; son directeur d’école est Henri Bertrand* qui est aussi secrétaire fédéral du SNI et un dirigeant socialiste notable qu’il suivra ensuite à Oran. En 1931, Joseph Begarra épouse une institutrice arrivée de métropole qui enseigne de concert et qui le conforte dans l’universalisme républicain français jusqu’à le faire pencher vers l’égalité de citoyenneté et le pousser à gauche dans un socialisme qui ne se veut pas tributaire de la pesanteur coloniale locale.

En 1932, Joseph Begarra relance le périodique socialiste Le Semeur qui tire à plus de 2000 exemplaires pour quelques premières centaines de socialistes ; avec Oran et Beni Saf en annexe, les principales sections sont celles de Tlemcen et Sidi-bel-Abbès en rivalité intense avec les communistes qui sont à la peine.

En 1935, Joseph Begarra devient secrétaire-adjoint de la Fédération SFIO d’Oranie aux côtés, non sans une pointe de rivalité naissante, avec Henri Bertrand*, dans la montée de l’union de Front populaire face à l’Abbé Lambert qui a conquis la mairie d’Oran et joue sa propre partie pro-fasciste en surenchère populiste. Comme la SFIO ne pensait pas à la victoire, elle avait présenté comme candidat à la députation, un socialiste plus pâle, l’instituteur Marius Dubois*. Celui-ci sera élu au bénéfice d’une élection triangulaire, car l’Abbé Lambert s’était maintenu à droite ; ses déclarations antijuives le discréditent à gauche d’autant que l’influent Dr Alexandre Amouyal*, grand pédiatre, rallie les votes des quartiers juifs et plus largement des votes populaires. Avec l’autre député SFIO, Marcel Régis* bien élu à Alger, l’Algérie donne les deux seuls députés de Front populaire d’Outrre-mer.

Dans ces années, la ville d’Oran et l’ancien département d’Oran deviennent (ou redeviennent comme en 1896-1898 au temps de « la guerre des races »), un champ de violences politiques extrêmes dans les propos et les coups de main et d’armes à feu. Les mouvements de grèves déplacent les masses à gauche et donnent une assise à la CGT réunifiée que conserve sous sa gouvernance, le socialiste Henri Bertrand* malgré la montée en puissance d’Elie Angonin* et du PCA. La conjonction est très serrée entre Comités de Front populaire et Congrès musulman, avec les Oulémas à Tlemcen et le Cheikh Zahiri* en dissidence mais qui gagne en audience sur Oran. Plus encore, la reconquista franquiste depuis le Rif soulève la guerre civile et internationaliste d’Espagne ; l’Oranie devient une sorte de base arrière et la plus sonore des caisses de résonance. En août 1936, Joseph Begarra, lieutenant d’artillerie réserviste, gagne Alicante et se met au service de l’armée républicaine espagnole pour la formation d’artilleurs ; il renouvelle son soutien aux vacances d’été 1937.
En Oranie, les communistes prennent le pas sur les socialistes. Joseph Begarra tout anticommuniste qu’il soit, ce qui le fait se tenir en dehors de l’expérience du journal Oran Républicain, se situe dans la gauche de la Fédération SFIO. Alors que les affrontements se portent sur le projet Blum-Viollette, il se déclare partisan de l’égalité dans la citoyenneté, ce qui veut dire dans un collège unique. En novembre 1938, avec sa femme, il fait partie de la minorité des instituteurs socialistes qui se joignent à la grève contre les décrets-lois qui au nom de la Défense nationale, sacrifient la législation de Front populaire.
Mobilisé en septembre 1939, il est envoyé sur la frontière du sud-tunisien face aux troupes italiennes de Libye. Il aurait eu écho de l’Appel du général De Gaulle du 18 juin 1940. De retour à Oran, alors que des instituteurs socialistes sont révoqués parmi les francs-maçons les plus notoires alors que les communistes fichés sont internés dans les camps, Joseph Begarra ne semble pas être voué à se cacher. Il a cependant des contacts avec des résistants ; il sera par la suite compté comme appartenant au réseau gaulliste « Combat d’outre-mer. »

Au moment du débarquement allié du 8 novembre 1942, il ne rejoint pas son corps de troupe de l’armée d’Afrique du Nord qui fait le coup de feu assez vif en arrière d’Oran contre l’avancée des soldats américains, mais il se joint à la reconversion de cette armée d’Afrique du Nord pour combattre en Tunisie et participer en 1944 au débarquement en Provence et poursuivre la montée jusqu’en Alsace et en Allemagne. Cette campagne de France ne le démobilise qu’après l’armistice de mai 1945 et les massacres d’Algérie dans le Constantinois.

À l’automne 1945, en Oranie, la Fédération SFIO dont il devient pleinement le secrétaire, se reconstitue plus facilement et largement avec quelques 2500 inscrits ; elle est la seule des trois Fédérations d’Algérie à conserver une certaine proportion d’adhérents Algériens qui ne soit pas seulement symbolique ; plus encore, elle est la seule à se ranger sur la position de son secrétaire en faveur du collège unique. Joseph Begarra devient en quelque sorte le porte-parole des socialistes d’Algérie auprès de la direction du parti à Paris ; il ne l’est pas exclusivement.

Au congrès de la SFIO de juin 1946, il tient tête au ministre de l’intérieur qu’est le socialiste Le Trocquer. En juillet 1946 quand la SFIO organise à Alger un congrès des Fédérations d’Afrique du Nord auquel viennent participer Ch.-A. Julien*, Robert Verdier qui s’occupe avec André Bidet de la Tunisie, et George Gorse*, alors socialiste et qui avait noué en Egypte quand il était professeur au lycée du Caire, des liens avec la résistance gaulliste, c’est Joseph Begarra qui présente le rapport politique poussant à la concertation au sein de l’Afrique du Nord française et apportant le soutien au Résident Eirik Labonne au Maroc et au Gouverneur Yves Chataigneau* à Alger, deux socialistes aux prises avec les réactions coloniales y compris au sein de la SFIO sur place. Guy Mollet le remarque et quand il l’emporte sur Daniel Meyer à la tête de la SFIO, il en fait son homme de conseil sur l’Algérie qu’il ne connaît pas. Joseph Begarra est désigné pour entrer au Conseil de l’Union française ; il en deviendra vice-président mais comme cette Assemblée elle-même, il reste consultatif, fut-il le premier consultant quand les décisions appartiennent aux hommes de gouvernement et de pouvoir de la SFIO.

Il est ainsi battu sur le statut de l’Algérie en 1947. Il avait inspiré le projet présenté pour la SFIO, par Maurice Rabier* député d’Oran et qui fut tout d’abord approuvé au congrès de Lyon en août 1947. En contact avec l’UDMA à travers son ami Ahmed Boumendjel*, J. Begarra avait aménagé le projet de la SFIO pour qu’il ne soit pas totalement incompatible avec une évolution fédérative par un Etat associé comme le préconisait Ferhat Abbas. Pour complaire au MRP ultra-colonial dans la nouvelle alliance excluant les communistes, le chef du gouvernement Paul Ramadier et le ministre de l’intérieur E. Depreux, tous deux décisifs à la SFIO, firent passer un texte d’attachement coercitif et fondé sur le partage électoral en deux collèges.
Dans les premiers mois de 1948, Joseph Begarra ne peut rien faire contre la volonté de Jules Moch, homme fort de la SFIO devenu ministre de l’intérieur, pour arrêter le rappel d’Yves Chataigneau* et son remplacement par M.-E.Naegelen* au Gouvernement général. Il lui reste à protéger Ferhat Abbas des mesures d’arrestation et à faire entendre sa voix à dénoncer face à Naegelen en personne, les truquages électoraux. Ce ne sont pas les occasions perdues, mais l’incapacité de la SFIO qui se répète. Joseph Begarra conserve l’oreille de Guy Mollet qu’il fait passer par Oran, fait partie de toutes discussions sur les Affaires coloniales, est membre de la Commission de l’Union française de la SFIO à partir de 1951. Il était entré en 1950 au Comité directeur de la SFIO. ; il en reste membre jusqu’à la réorganisation de la SFIO en 1969.

Plus souvent à Paris qu’à Oran, Joseph Begarra prend une vision du devenir de l’Afrique du Nord qui s’inscrit plus dans les relations internationales que dans la défensive coloniale. En 1953, il suit notamment Ch.-A. Julien au Comité France-Maghreb qui s’élève contre la destitution du sultan du Maroc. Il s’emploie à faire connaître à la direction de la SFIO, les courants et partis nationalistes, notamment le MTLD, le plus méconnu et que sa crise interne rend opaque. En novembre 1954, il pense que son interdiction est une erreur ; il reste cependant enfermé dans sa vision d’intégration républicaine française tout en se méfiant du terme d’assimilation. Au congrès de la SFIO à Suresnes les 10 et 11 novembre 1954, il se montre attentiste : avant que le problème politique soit mûr, ce qu’il n’est pas et en évitant le piège du tout répressif, il faut agir sur le plan. économique et social par des mesures urgentes. Pour longtemps, l’état de flottement semble dominer car les oscillations n’interviennent que dans le cercle restreint de dirigeants, au mieux des courants du parti et dans les missions de contacts dont il va être chargé. Il doit évidemment donner son avis à la formation du gouvernement de Front républicain de Guy Mollet qui entre en fonction le 1er février 1956.
Au titre de président du groupe socialiste du Conseil de l’Union française, il propose que ce soit Alain Savary* un fidèle de Ch.-A. Julien, qui soit nommé Ministre résident en Algérie plutôt que le général Catroux dont il connaît les origines et les liens de famille d’établissement colonial à Saïda où son frère continue à régner en grand colon propriétaire. Une note de J. Begarra du 21 janvier 1956 retrouvée dans les archives d’Alain Savary donne un programme d’action en Algérie sous le titre « Algérie : programme de salut public ». La proposition d’égalité républicaine dans le vote semble indépassable : la note destinée d’abord à Guy Mollet propose de proclamer l’égalité politique de tous les habitants de l’Algérie en instituant le collège unique pour les élections après avoir dissous l’Assemblée algérienne. Un premier geste serait d’annoncer la libération de tous les prisonniers politiques. On n’est peut-être pas dans le somnambulisme d’idéal républicain des instituteurs de la République française égalitaire en droit qui marche à côté de la demande nationale algérienne sans la voir, mais pas loin, et sacralisant le suffrage universel, les élections dans le triptyque de Guy Mollet.
Or c’est par le bureau de Joseph Begarra tout proche du bureau du Président du conseil à Matignon, que passe la politique de Guy Mollet. Il est « son conseiller personnel » ; mais ce n’est le chef du parti et du gouvernement qui suit les avis du conseiller, mais le conseiller qui va se conformer à l’immobilisme et aux retournements du président. Ainsi J. Begarra est à Alger le 5 février pour préparer l’arrivée de Guy Mollet et la prise de fonction du général Catroux. La capitulation du 6 février emporte toute velléité. Quand le colonel Nasser offre au ministre socialiste français Christian Pineau de passage en Egypte, une rencontre au Caire avec les représentants du FLN, c’est le fidèle conseiller Bégarra qui est envoyé, d’autant qu’il n’appartient en titre ni au gouvernement ni au cabinet assisté ou plutôt rejoint ensuite par Georges Gorse* qui connaît les lieux.

La plupart des politiques français ne connaissent que Ferhat Abbas comme « interlocuteur valable » mais celui-ci n’est pas encore en marche vers le FLN ; Joseph Begarra connaît en plus Ahmed Ben Bella, un oranais de Marnia passé par l’armée coloniale. La délégation du FLN au Caire finit par désigner comme représentant Mohammed Khider, ancien du PPA-MTLD qui fait plus « algérien musulman » et l’est effectivement. Trois rencontres ont lieu du 13 au 20 avril 1956 ; encore faut-il ajouter les conversations privées qui se déroulaient en familiarité de souvenirs d’Algérie et de complicités dans l’échange oral. Les propositions tracent des étapes d’évolution mais ne peuvent résoudre la question posée par le FLN de l’indépendance de l’Algérie ; les « Européens » ayant un statut protégé. M.Khider demande ce que signifie la notion de reconnaissance de la « personnalité algérienne ». J. Begarra donne son sentiment d’évolution fédérative, mais se retranche derrière la réponse que doit faire Guy Mollet ; celle-ci parlera de « large autonomie de gestion » qui peut ouvrir une évolution fédérale. À la réunion du 20 avril qui dresse l’état des discussions, on va jusqu’à proposer l’ordre du jour de la prochaine rencontre de négociation en suggérant lieux et composition des délégations. La chaleur des échanges entre compères d’Algérie fait croire que les contacts auront une suite. Effectivement Joseph Bégarra reste en correspondance avec Mohammed Khider jusqu’à ce que Guy Molllet lui demande d’interrompre.
Les discussions à travers les projections avancées par Joseph Begarra et plus encore l’implication de Guy Mollet en contact direct avec son conseiller, prenaient le caractère de négociations qu’entrouvrait le chef du Gouvernement. Aussi les contacts suivants ne furent plus confiés à Joseph Begarra qui n’en était pas moins certainement au fait de cette façon de prendre la tangente, mais situés sur le plan de rencontres entre représentants de la SFIO prenant langue avec le FLN, de parti à parti n’impliquant donc plus le chef du gouvernement ni l’État français. C’est en effet une délégation de la direction de la SFIO avec Pierre Commin, secrétaire général, Pierre Herbaut et Ernest Cazelles qui rencontre en différents lieux les envoyés du FLN. Ben Bella peut manifester son ressentiment de ne pas en être une nouvelle fois ; Ramdane Abane* a bien compris les limites de ce non engagement ; on comprend que la plateforme de la Soummam réaffirme le préalable de l’indépendance.

De toute façon, le détournement en octobre 1956 de l’avion des dirigeants algériens, montre l’inanité de la politique dite socialiste française. Or à la différence d’Alain Savary qui démissionne, Joseph Begarra demeure aux côtés de Guy Mollet. Il s’opposera à Alain Savary en défendant Robert Lacoste qui couvre les forfaits. Fidélité de parti puisqu’il n’abandonnera jamais la SFIO ; pour une part peut-être. Il y a bien aussi acceptation de l’impasse en Algérie etdu pourrissement colonial, comme une impossibilité de se dépouiller de l’être colonial. Il approuve le ralliement de Guy Mollet à De Gaulle après le 13 mai 1958 ; il se fait encore élire au conseil municipal d’Oran en 1959. A la fin du Conseil de l’Union française, il est recasé au Conseil économique et social.
Résidant en France, il revient à Oran en mission d’enquête après les massacresdes premiers jours de juillet 1962 quand la rumeur enfle le nombre des morts européennes et jette la confusion surl’identité des tireurs. Les autorités algériennes lui conservent hors biens vacants, son appartement en ville jusqu’en 1964. Il finit sa vie à Sucy-en-Brie (Val de Marne) et meurt à Paris en 1997.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article150589, notice BEGARRA Joseph, Antoine [Dictionnaire Algérie] par René Gallissot, version mise en ligne le 26 novembre 2013, dernière modification le 25 octobre 2022.

Par René Gallissot

SOURCES : B. Ménager et alii, Guy Mollet, un camarade en République, avec intervention de Joseph Begarra au colloque à l’honneur de Guy Mollet en 1986 à Lille, Presses Universitaires de Lille, 1987. — G. Morin, De l’opposition socialiste à la guerre d’Algérie au Parti socialiste autonome, 1954-1960, thèse, Université de Paris 1, 1992. — Arch. de la Fondation nationale des sciences politiques, Paris, arch. de l’OURS (parti socialiste), Bulletin intérieur de la SFIOet rapports de congrès, entretiens avec J. Begarra par J.-L.Planche, Paris, 1988-1991, utilisés par G. Morin et J.-L. Planche dans leur notice : BEGARRA Joseph, nouvelle série Maitron, DBMOMS, t.1, Editions de l’Atelier, Paris 2006. — Claire Marynower, Joseph Begarra : un socialiste oranais dans la guerre d’Algérie, Paris, L’Harmattan, 2008.

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