« Demoiselle de boutique » à Paris, mise en cause au cours de l’attentat du 28 juillet 1835 (affaire Fieschi), la demoiselle Adèle fut mise en liberté par non-lieu à suivre, prononcé avant l’ouverture des débats.
SOURCES : Cour des Pairs. Procès politiques, 1830-1835, Inventaire dressé par J. Charon-Bordas, Paris, Archives Nationales, 1983. CC 679 d 7 n° 54. — Notes de J. Risacher.