LIECHTI Alban (LIECHTI Olivier, Alban) [Dictionnaire Algérie]

Par René Gallissot

Né le 24 avril 1935 à Paris (XVe arr) ; jardinier ; jeune communiste appelé au service militaire, premier refus de « porter les armes contre le peuple algérien » au début juillet 1956 ; deuxième refus début mars 1959 ; après cinq ans d’emprisonnement en Algérie et en France, achevant son service militaire en Algérie en mars 1962 ; défendu par le Secours populaire français mais soutenu à retardement par le PCF à partir de septembre 1957 ; resté membre du parti communiste.

C’est dans son témoignage en 2005 (Le Refus), qu’Alban Liechti évoque allusivement un précédent, celui de son grand-père Liechti condamné à trois ans de prison par le tribunal militaire lors de la guerre de 1914-1918. La grande référence dans la famille n’est pas là mais dans le combat patriotique dans la Résistance contre l’occupation allemande de 1940-1944. Ces Résistants sont communistes : et la maison est communiste quand la famille de neuf enfants s’installe à Sèvres, à l’Ouest de Paris, fréquentée par les voisins résistants communistes comme l’historien Jean-Pierre Vernant qui sera un des intellectuels critiques du vote des pouvoirs spéciaux pour le maintien de l’ordre en Algérie par les parlementaires communistes en mars 1956.

Le père Rodolphe Liechti a été révoqué des PTT pour « fait de grève » en 1948. Il travaille ensuite dans des boîtes industrielles. Ce communisme est aussi un communisme de guerre froide. Il regarde vers l’étoile de Moscou. Les enfants Liechti naissent à la clinique de la CGT à Paris, la clinique des Bluets qui reprend la méthode développée en URSS dite d’accouchement sans douleur. Les parents sont actifs tant au Secours populaire qu’au Mouvement de la Paix, contre l’armement nucléaire des États-Unis.

L’enfance d’Olivier (son premier prénom peu employé), Alban, Liechi se passe donc dans les temps d’occupation allemande et de vie dure par les restrictions, mais aussi de certitude du combat communiste. Les conditions de vie de la famille restent tendues. Le jeune Alban Liechti quitte le lycée après la classe de seconde pour pouvoir accéder plus vite au travail en entrant à l’école professionnelle de Ville d’Avray et devenir dessinateur industriel. En 1950, il adhère au cercle de Sèvres de l’UJRF dont il devient secrétaire ; il est membre du PCF à l’âge de quinze ans.

Il est de toutes les manifestations appelées par le parti. Il est appréhendé en 1951 lors de la manifestations contre le général Eisenhower. En mai 1952, il est blessé lors de la très dure manifestation communiste contre le général Ridgway, ancien commandant de la guerre de Corée et qui vient prendre la tête de l’OTAN. Alban Liechti a la main gauche percée par un coup de baïonnette. Il est renvoyé de l’École de Ville d’Avray qui est une école de l’armée ; il devient apprenti-jardinier et sera jardinier au Bois de Boulogne, syndicaliste à la CGT du Bois de Boulogne. Quand à l’armée, on lui demandera : « de quelle classe es-tu ? », il se plaira à répondre : « de la classe ouvrière ».

Les réunions de jeunes communistes contre la guerre d’Indochine se passent souvent à la maison de Sèvres. Ces jeunes ont fait campagne pour la libération d’Henri Martin. Rappelons que celui-ci n’était pas un appelé au service faisant acte de refus de porter les armes, mais un officier communiste mandaté par le parti, comme la plupart des gradés communistes, pour rester à l’armée. Il avait été condamné à la prison pour avoir protesté contre la politique de guerre. Le cas de Raymonde Dien qui est associé à cette campagne est l’exemple d’une jeune communiste arrêtée dans une manifestation qui empêchait le départ d’un train de munitions à destination de l’Indochine.

On comprend que les discussions soient vives sur l’action du parti et de la CGT pour la paix en Algérie quand se produit l’agitation des rappelés. Il y a accord à mener avec le Mouvement de la paix, la lutte contre les pactes militaires ; ces jeunes trouvent cependant insuffisant le mot d’ordre de paix en Algérie. Pour eux, les guerres pour les intérêts des trusts capitalistes et des colons, sont des réactions de fin de domination coloniale ; les peuples colonisés ont raison de se soulever pour l’indépendance. Aussi, l’action doit-elle se déclarer pour les luttes d’indépendance. C’est seulement dans ce groupe et à son amie Yolande Toublanc, militante communiste venant d’une famille de petits paysans du Maine et Loire, et à ses parents, qu’Alban Liechti fait part de ses résolutions de ne pas porter les armes en Algérie quand il y sera appelé par le service militaire, qu’il ne refuse pas de faire. En communiste français, il demeure opposé à l’insoumission, mais il ne veut pas tuer dans un combat injuste.

Mobilisé le 5 mars 1956, il fait ses classes tout en sachant qu’il restera 2e classe puisqu’il est suffisamment fiché pour son activisme communiste anticolonialiste qui s’écrit : « activités anti-françaises ». À ses proches, il dit son désaccord (« une connerie ») sur le vote du 12 mars des pouvoirs spéciaux en Algérie par les députés communistes. Le 15 juin, il entend l’annonce de son prochain départ en opérations en Algérie. Sa plus grande déception est de voir si mal soutenu le mouvement de protestation des appelés et rappelés. Sur les trente-cinq soldats de sa compagnie qui partent, il obtient trente signatures sur un appel au cessez-le feu adressé au président du Conseil, Guy Mollet. Sa détermination propre va plus loin ; il embarque le 3 juillet ; il a daté du 2 juillet sa lettre au président de la République, Chef des armées, qui est René Coty, lui faisant part de sa décision de ne pas « prendre les armes » dans cette guerre injuste ; il cite au reste la Constitution française qui précise que la République française « n’emploiera jamais ses forces contre la liberté d’aucun peuple ».

Les parents communiquent copie de la lettre aux dirigeants du PCF pour qu’ils jugent de la publication. La réponse vient du directeur de L’Humanité, Étienne Fajon ; elle est de faire silence : « Ne rien faire, ne pas transmettre aux journaux ». Il y a bien divergence ; la direction du PCF poursuit une stratégie de politique intérieure d’appel à l’union avec les socialistes de gouvernement, et de politique internationale fidèle à l’URSS pour qui le problème algérien n’est pas le tout de la politique internationale, mais un sujet particulier à tenir hors d’une emprise américaine totale en usant de l’argument du domaine réservé français. Ménageant l’opinion et l’idéologie nationale française dont il est un apôtre depuis le Front populaire, le PCF, en disant paix en Algérie, demande d’arrêter la répression et la guerre coûteuse et, pour qu’il y ait retour du contingent, de trouver une solution négociée entre toutes les parties aboutissant à l’indépendance. Le terme n’est pas exclu, mais il n’est pas l’objet de la mobilisation, encore moins mis en exergue. Or, la lettre d’Alban Liechti dit clairement : « Je ne peux prendre les armes contre le peuple algérien, en lutte pour son indépendance ».

Certes le PCF laisse agir le Secours populaire ; les dirigeants du mouvement sont des responsables communistes ; Julien Lauprêtre et Daniel Assalit ont une grande amitié pour les parents Liechti qui sont des contribuants exemplaires à l’activité de l’association. En septembre 1956, l’avocate du Secours populaire Claudine Saramito obtient que l’organisation prenne en charge ce soldat emprisonné passible du Tribunal militaire, et le Secours populaire fait appel en Algérie à Gaston Amblard qui plaide pour le Secours populaire et qui est un avocat faisant honneur au PCA. Ce n’est qu’en octobre, que l’organe du Secours populaire, La Défense, se permet de publier quelques lignes de la Lettre au Président de la République. Le 15 novembre, L’Humanité y fait simplement allusion en la postdatant au reste de septembre ; Alban Liechti doit en effet être jugé par le Tribunal militaire d’Alger le 19 novembre, après être passé par les prisons militaires de Tizi Ouzou, d’Oued Aïssi en Kabylie également et de Fort-National (Larbaa Nath Iraten), et au sud saharien, de Colomb Béchar. Il est condamné à deux ans de prison ferme pour refus d’obéissance ; il n’est pas possible de parler de guerre puisqu’il ne s’agit que de maintien de l’ordre et de pacification.

L’armée, sur instruction bien sûr, s’emploie à l’exécution rigoureuse de la peine. Alban Liechti est transféré du Centre pénitencier d’Alger déjà sordide à l’horrible Maison centrale de Berrouaghia (avec un baquet d’eau dans une salle de quatre-vingt détenus de droit commun). Le Secours populaire lance une première campagne faisant signer une carte postale disant modérément qu’Alban Liechti « s’était élevé contre la guerre d’Algérie ». À la fin de 1956, le texte de la Lettre est publié, autre action a minima, dans L’Avant-Garde, hebdomadaire qui touche les jeunes communistes. Ces pressions cependant obtiennent le transfert dans des prisons métropolitaines, des Baumettes à Marseille en vidant les quais du port de toute personne civile au débarquement, à l’isolement parfait en cellule à la prison de Carcassonne. À Marseille, Josette Liechti qui venait déjà en 1957 pour aller faire des visites à son fils prisonnier en Algérie, puis pour se rendre à la prison des Baumettes, est hébergée par Baya Bouhoune (Allaouchiche) qui doit enfreindre les pressions dissuasives du Parti avant que patron du PCF à Marseille, François Billoux, ne lève les oppositions.

À la fin du gouvernement de Guy Mollet et quand il est plus que temps de reprendre l’action contre la guerre d’Algérie, non sans illusion de paix prochaine, la direction du PCF révise pratiquement sa position sans toucher à la doctrine, en septembre 1957. Il est vrai que la défense d’Alban Liechti ne vient qu’en troisième position, si on ose dire, car la protestation commence à s’élever sur la disparition de Maurice Audin, et s’exerce en premier sur les révélations de torture. Henri Alleg en est à faire sortir de prison par son avocat, les papiers et l’écriture miniature de son récit qui sera publié en 1958 sous le titre La Question.

La levée d’écrou pour une campagne au titre du parti est prononcée au Comité central du 17 septembre 1957. Dans son intervention, Léon Feix qui est chargé de donner la ligne sur l’Algérie s’interrogeait : « Faisons-nous suffisamment en faveur d’Alban Liechti ? N’existe-t-il pas des raisons politiques pour lesquelles la campagne pour Alban Liechti est sans commune mesure avec celle qui fut menée pour Henri Martin ? »

Les décisions sont déjà prises ; la direction du PCF a demandé à quelques jeunes communistes dont des fils de responsables (Pierre Guyot, Léandre Letoquart, Serge Magnien…) d’écrire au président de la République pour annoncer leur refus de participer aux actions de guerre coloniale tout en répondant de leur présence à l’appel. Dans leurs régiments puis aux Baumettes, l’armée les a mis en prison. Léon Feix peut ajouter : « De jeunes Français – tel Alban Liechti – sont emprisonnés pour avoir défendu leur propre honneur et l’honneur de la France. » Le Comité central lance un « Appel au peuple de France » pour en finir avec la guerre d’Algérie. Une journée nationale de lutte est fixée au 17 octobre 1957. Il ne s’agit plus d’actes individuels. Citation de Lénine à l’appui, l’insoumission qui éloigne du lieu « de l’action de masse », reste prohibée. Avant la fin de 1958, il y a encore vingt-deux nouveaux refus de combattre de la part d’appelés communistes.

À l’achèvement de ses deux ans de prison en septembre 1958, pour reprendre son service militaire, Alban Liechti est envoyé dans les Alpes à Barcelonnette ; il est affecté à l’écurie pour s’occuper des mules et mulets, pour lui apprendre ce qu’est une brêle, à lui qui en est une, selon les propos de son chef. Il obtient sa permission de mariage avec Yolande Toutblanc à la mairie de Sèvres le 25 octobre 1958. Depuis le 13 mai 1958, la lutte se mène globalement contre le fascisme militaire et la réaction coloniale ; l’armée et les autorités suprêmes n’oublient pas de veiller à la discipline. Le commandant de sa compagnie annonce au soldat Liechti, le 16 février 1959, que la décision est prise de l’envoyer une seconde foi en Algérie ; il a droit à sa permission avant embarquement.

À la date finale, il adresse sa seconde lettre au Président de la République qui est donc le général de Gaulle. Il termine sa lettre en écrivant : « Soucieux de l’honneur de la France, conscient de servir les véritables intérêts de mon Pays, je renouvelle mon refus de partir en Algérie et je vous informe qu’à l’expiration de ma permission, je ne rejoindrai pas mon corps, mais me tiendrai à la disposition des autorités militaires à la caserne des Grande Ecuries place d’Armes à Versailles où se trouve mon domicile ». Il avait en effet rejoint sa femme à Versailles.

Ce même 3 mars 1959 comme pour accompagner son départ et son geste, le Parti communiste a organisé un grand rassemblement dans la salle des fêtes des Provinces françaises à Versailles avec Léon Feix et Paul Laurent, vieux dirigeant des jeunes, dont le fils se joint à l’appel. Le soir, Jacques Duclos y va d’un grand discours faisant applaudir le nom d’Alban Liechti et des autres jeunes communistes refusant de se battre dans la sale guerre. L’honneur du PC est sauf puisqu’il n’y a pas insoumission et encore moins désertion, et puisque dans sa lettre soigneusement revue cette fois, Alban Liechti invoque « l’honneur de la France », pierre de touche pour le PC français.

Le 7 mars, un avion militaire conduit Alban Liechti pour l’embarquement à Marseille. Arrivé à Alger, il refuse de porter le fusil. Il est mis à la prison militaire de la caserne dite d’Orléans (en souvenir de la famille royale et d’un prince qui a pris part à la guerre de conquête). Il retrouve le Centre pénitentiaire d’Alger un peu mieux nettoyé. Il est déféré au Tribunal militaire, en laissant juste passé l’anniversaire du 13 mai. Le 26 mai 1959, il est à nouveau condamné à deux ans de prison.

Alban Liechti reste incarcéré à Alger alors que les autres « soldats du refus » sont transférés en métropole début juin 1959. Menotté avec la militante algérienne Zohra Driss, il est, en août, conduit à l’avion. Devant un risque de tuberculose, il est renvoyé à Marseille, à la prison des Baumettes, moins surchargée et où les grèves des détenus, avaient gagné de meilleures conditions pour les emprisonnés politiques. En octobre 1959, ces détenus sont envoyés au travail agricole au pénitencier de Casabianda, en Corse, près d’Aléria.

Au pénitencier en Corse, il a des échos du monde et de la guerre par les visites, par la radio transistor et la presse, par l’épicier, ancien mutin de la Mer Noire en 1918 refusant de combattre contre les marins russes ralliés à la Révolution. Il vibre au succès du « spoutnik ». Il maintient son désaccord avec Maurice Thorez qui revient à la charge contre le refus individuel de servir et rappelle que le devoir des communistes est, selon Lénine, d’être avec les masses, y compris à l’armée. Alban Liechti écrit ainsi : « Je pense qu’il faut un travail des jeunes au sein de l’armée, c’est juste, mais je ne veux pas que le parti ferme la porte à ceux qui veulent encore refuser d’obéir ». Alban Liechti suit le procès du réseau Jeanson en septembre 1960 et commente le Manifeste des 121 soutenant l’insoumission. « J’en approuve le principe même s’il est tardif… » et parlant des signataires : « Je regrette de ne pas avoir trouvé parmi ces noms celui de personnalités communistes », voulant dire des dirigeants responsables et non pas seulement quelques intellectuels et artistes communistes. Yolande est venue travailler à Marseille à la Trésorerie générale ; elle peut venir en visite avec leur bébé Vincent ; la concertation est forte.

Tous deux croient que la fin de la guerre est proche. De Gaulle parle de République algérienne et rompt avec les coloniaux et les militaires factieux. Il est peut-être possible de trouver une voie de sortie dans la dignité après toutes ces années de refus. C’est ainsi qu’ils acceptent l’achèvement du service militaire en Algérie. À la fin des deux ans de prison qui en font donc quatre, il est pour la troisième fois affecté en Algérie où il reste au service militaire du 17 mars 1961 au 20 février 1962, près de six ans après sa mobilisation.

À Alger, Alban Liechti précise : « J’accepte de porter une arme mais sans m’en servir ». Le commandement militaire l’expose au risque mais de plus en plus de soldats l’approuvent et l’entourent. Il est envoyé dans un commando de chasse à Bordj L’Agha et porté éclaireur de pointe, il crapahute un temps à Boghari. Il est replié à Blida et à Bou-Saada. Le risque est dans la rue, puis dans la tension entretenue par l’OAS. À Alger le contingent doit tirer et se fait tirer dessus. Il est délégué pour rendre les honneurs à deux soldats tués ; « je suis toujours en révolte » écrit-il. Vient la permission libérable à la naissance de Stella, le 19 février 1962. Il retrouve Yolande et leurs deux enfants à Trappes dans le logement nouveau qui est encore celui d’aujourd’hui. Il est fier de ses parents qui ont fait des centaines de réunions avec le Secours populaire. Il est libéré du service militaire le 6 mars 1962, quelques jours avant les accords d’Évian.

En ces six années de jeunesse contrainte et suspendue, il a dessiné de sa belle plume, il a lu les classiques et pas seulement les classiques du marxisme, jusqu’à Berthold Brecht. Il a découvert les livres d’histoire de l’Afrique du Nord, appris l’alphabet arabe, perfectionné son anglais et rêvé du progrès de l’humanité et de l’avenir socialiste. Il doit renoncer aux études ; il devient horticulteur jardinier à Trappes, responsable des espaces verts, de 1975 à sa retraite en 1995.

Il est amnistié, comme tous les opposants de la guerre d’Algérie, en juin 1966. Il continue à militer au sein du PCF. En 1986, il crée notamment avec, Henri Alleg, l’Association des combattants de la cause anticoloniale (ACCA) qui prit, en 2002, le nom d’Agir contre le colonialisme aujourd’hui (ACCA). Il en devint le président. Il est signataire de l’Appel des 12 pour condamner la torture en Algérie sous la guerre coloniale française.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article158560, notice LIECHTI Alban (LIECHTI Olivier, Alban) [Dictionnaire Algérie] par René Gallissot, version mise en ligne le 2 mai 2014, dernière modification le 4 janvier 2015.

Par René Gallissot

ŒUVRE : Le refus, Le Temps des Cerises, Pantin, 2005, 263p. — Les soldats du refus pendant la guerre d’Algérie, Noisy-le-Sec, Les Éditions de l’Epervier, 2012, 93p. (coll. La parole aux témoins).

IMAGES ET SONS : Raymond Mourlon, Le refus, 60, 2011.
SOURCES : H. Alleg, La guerre d’Algérie, op. cit., t. 2 et 3. — Témoignage de Baya Bouhoune dans J. Jurquet, Années de feu. Algérie 1954-1956, L’Harmattan, Paris, 1997. — Témoignage d’A. Liechti dans M. Reynaud, Elles et Eux et l’Algérie, Tirésias, Paris, 2004. — Notice de Tramor Quemeneur dans DMOMS, t. 7, Paris, 2011, citant ses entretiens avec Alban Liechti, 13 décembre 2000 et 20 mars 2012. — Archives privées Alban Liechti — Arch. Nat. Fontainebleau, 19990057 art. 1 (E 5968) dossier REQ K 1 — Arch. Ministère Justice — Arch. Nat. Fontainebleau, 19910695/4, ministère de l’Intérieur 5 R 515 D*8 Arch. Service historique de la Défense nationale-Terre.

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