BAUNAY Yves, Henri

Par Alain Dalançon

Né le 12 septembre 1941 à Jumelles [Longué-Jumelles] (Maine-et-Loire) ; professeur ; militant syndicaliste du SNES, secrétaire du S3 de Créteil (1973-1981), secrétaire national (1979-2001) ; militant de la FSU ; militant communiste ; militant associatif.

Congrès national du SNES 1971, dans la délégation du S3 de Paris

Ses parents étaient de modestes exploitants agricoles dont les familles de paysans étaient implantées dans leurs campagnes d’Anjou depuis des générations. Son père, Raymond Baunay, athée et défenseur de l’école laïque, fut conseiller municipal sur une liste sans étiquette ; sa mère, née Simone Rabouen, aînée d’une famille nombreuse et orpheline de bonne heure, était en revanche catholique mais non pratiquante. Comme ses deux frères et sa sœur, Yves Baunay fut donc baptisé, envoyé au catéchisme et fit sa communion solennelle. Mais, arrivé à l’adolescence, il abandonna toute pratique religieuse et resta athée. Il fut le seul enfant de la fratrie à ne pas chercher un avenir professionnel dans l’agriculture ou l’agro-alimentaire, tout en restant marqué par les valeurs du travail et de la solidarité en milieu rural.

À la maison, on parlait encore le patois angevin et la ferme du Clair Bois n’avait toujours pas l’électricité. Yves et ses frères et camarades du voisinage devaient faire trois km à pied pour se rendre à l’école primaire laïque du bourg. Il y apprit le français et y fut très bon élève, si bien que son instituteur, M. Liger, réussit à convaincre ses parents de lui faire passer le concours d’entrée en 6e au cours complémentaire. Interne boursier au CC de Baugé (Maine-et-Loire), à une dizaine de km seulement de chez lui, il y obtint le BEPC et prépara le concours d’entrée à l’École normale d’instituteurs d’Angers (Maine-et-Loire) qu’il réussit en 1957. Là, il commença à découvrir une culture savante dans laquelle il se sentit presque comme un intrus, mais qui était aussi pour lui pleine de défis et de promesses pour se réaliser soi-même. Il décrocha en 1959 la première partie du baccalauréat M’, et, pour obtenir la seconde partie « mathématiques élémentaires », l’année suivante, il dut aller à l’ENI de Rennes (Ille-et-Vilaine). Son professeur de mathématiques l’incita alors à présenter le concours d’entrée à l’École normale supérieure de l’enseignement technique qu’il alla préparer au lycée technique de Reims (Marne) et qu’il réussit en 1961. Après trois années à l’ENSET de Cachan, il fut lauréat du CAPET « D, économie et gestion », en 1964.

Rien, dans son éducation et ses relations, ne l’avait particulièrement prédisposé à s’engager dans le militantisme. Pourtant, grâce aux études, au contact avec ses professeurs, aux rencontres, en sortant de son milieu d’origine mais en venant s’y ressourcer, il s’était progressivement construit une culture politique, notamment en lisant Marx et Engels à la lumière d’Althusser, tout en ne souhaitant pas s’enfermer dans les contraintes d’adhésions partisanes. D’ailleurs à l’ENSET, s’il suivait les activités de la section du Syndicat national de l’enseignement technique et celles de l’Union des étudiants communistes, et participait à leurs initiatives contre l’OAS et pour l’indépendance algérienne, puis contre l’impérialisme américain au Vietnam, il n’adhéra ni au SNET ni à l’UEC. Il adhéra seulement au syndicat étudiant de l’Union des grandes écoles (UGE) liée à l’UNEF.

Ce sont ses passages, les années suivantes, dans les anciennes colonies, qui le conduisirent vraiment à l’engagement politique en faveur de l’altermondialisme, du soutien aux mouvements de libération nationale et pour la construction de sociétés socialiste libérées, y compris en France. En 1964-1965, curieux de suivre l’expérience économique et politique de l’Algérie nouvellement indépendante, il demanda son détachement pour alla enseigner les mathématiques au lycée d’Annaba, mais ne se syndiqua toujours pas à l’ASPES (Association syndicale des professeurs de l’enseignement secondaire, assimilée à une section du SNES). Il fréquenta cependant beaucoup d’Algériens, dont un combattant du FLN, torturé par des militaires français, qui lui fit toucher du doigt la portée du combat anticolonialiste du peuple algérien. De 1965 à 1967, il effectua son service d’aide à la coopération au lycée Baimbridge de Point-à-Pitre en Guadeloupe. Là, pour la première fois, il se syndiqua au Syndicat national des enseignements de second degré tout juste créé. Mais, surtout intéressé par le débat économique et politique sur l’autonomie de la Guadeloupe, il adhéra au Parti communiste guadeloupéen en 1966, après un voyage l’ayant conduit dans les Antilles et les pays andins, à une époque où Che Guevara, clandestin et activement recherché, avait le projet d’étendre la révolution cubaine en Amérique du Sud. Les grèves consécutives à un incident raciste et la répression policière qui s’ensuivit à Point-à-Pitre à la fin mai 1967, dont il fut témoin, faisant 200 morts, et non sept officiellement reconnus, lui ouvrirent encore plus les yeux.

De retour en métropole, à la rentrée 1967, Yves Baunay fut nommé professeur certifié d’économie et gestion au lycée Roger Verlomme à Paris (XVe arr.). Etienne Camy-Peyret, secrétaire général adjoint du SNES et ancien élève de l’ENSET, le contacta pour s’informer sur la situation en Guadeloupe. Devenu secrétaire adjoint de la section d’établissement (S1) du SNES, il participa activement à l’organisation de l’action en mai-juin 1968 et à l’occupation de son lycée. Il fut appelé à venir garder les locaux de la section académique (S3) de Paris, rue Regnard, près de l’Odéon, et ceux de la direction nationale (S4), rue de Courty.

Ayant adhéré parallèlement au Parti communiste français à son retour en France, il fut immédiatement secrétaire de sa cellule de lycée puis rapidement secrétaire de la section « Point du jour » du 16e arrondissement, dont la composition sociologique ne favorisait pas le développement d’un parti de la classe ouvrière. Il rencontrait cependant les chauffeurs de bus du dépôt local de la RATP et les ouvriers et syndicalistes des usines Citroën du quai de Javel voisin. Il participait également à l’animation de la Maison des jeunes et de la culture où il rencontrait des gens de tous les horizons, catholiques, communistes, gaullistes. Il suivit aussi les cours d’une école organisée par la fédération communiste de Paris puis ceux de l’école centrale du PCF en juin-juillet 1969, joignant ainsi des savoirs théoriques aux savoirs d’expériences sur le terrain.

Le 24 octobre 1969, il épousa uniquement civilement, dans son village natal, Brigitte Decoster, professeure certifiée d’anglais, militante du SNES, avec laquelle il eut deux filles, devenues l’une, professeure des écoles, l’autre, centralienne, ingénieure à Air France. Il trouva toujours auprès d’elles soutien et compréhension dans ses activités militantes qui prirent une direction nouvelle au début de la décennie 1970.

Yves Baunay fut invité par Gérard Alaphilippe à s’investir pleinement dans le syndicalisme enseignant après le récent basculement, en 1967, de la majorité du SNES en faveur du courant « Unité et Action », suivi de celui du SNEP puis du SNESup en 1969. Il accepta, par « devoir politique », cette bifurcation qu’il n’avait pas envisagée. Dès lors, tout en restant militant de base du PCF dans les cellules des lycées où il enseignait, il ne prit plus aucune initiative publique au plan politique.
Il commença, à partir de l’année 1970-1971, par être secrétaire adjoint de la section départementale (S2) de Paris et participa activement à la campagne du SNES autour de ses premiers films, Le droit d’apprendre et Le temps d’enseigner. À la rentrée de 1972, il fut muté au lycée Jean Macé de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), où il demeura en poste jusqu’en 1975. En fait, il n’exerça pas dans cet établissement car il était déchargé de service à temps complet à titre syndical. En effet, la partition de l’académie de Paris en trois nouvelles académies (Paris, Versailles et Créteil) entraîna la création de deux nouveaux S3, en particulier celui de Créteil, dont il devint le premier secrétaire général en 1973. Beaucoup était à faire dans cette académie, à la fois pour organiser le syndicat et pour scolariser dans le second degré une jeunesse nombreuse appartenant majoritairement aux classes sociales défavorisées. Ce S3 qu’il animait avec Claude Even*, Jean-Pierre Samica*, Jean Chaubard*, puis Madeleine Lagane* venue de Grenoble, était une section à majorité « Unité et Action » dynamique, jeune, remuante et parfois contestataire au sein du syndicat.

Yves Baunay devint membre suppléant (1971) puis titulaire (1973) de la commission administrative nationale. Ses compétences en économie furent sollicitées pour participer aux côtés de Monique Vuaillat à la sous-commission pédagogique nationale chargée de la formation continue des salariés, suite au vote des lois de 1971. Après la création en 1973 des GRETA (Groupements d’établissements publics pour la formation continue des adultes), il continua à être responsable de la formation permanente dans l’exécutif national, jusqu’en 2001. Il représentait également le SNES et la Fédération de l’Éducation nationale au Comité régional de la formation professionnelle.

À la rentrée 1975, il reprit un service partiel d’enseignement au lycée Maximilien Sorre à Cachan, faisant alors partie de l’ENS, et servant de terrain d’application aux professeurs de l’enseignement technique en formation. Son intérêt pour toutes les questions touchant au travail et à la formation professionnelle, qui fut une sorte de « fil rouge » tout au long de son itinéraire militant, trouvait ainsi un terrain d’expérimentation et sa pleine justification. C’est à cette époque qu’il rencontra Yves Schwartz, responsable de la formation permanente au Syndicat national de l’enseignement supérieur, qui fut conduit à préparer une thèse de philosophie sur l’APST (analyse pluridisciplinaire des situations du travail) et à fonder plus tard une nouvelle discipline universitaire : l’ergologie.

À la suite de la réorganisation de la direction nationale du SNES, après la démission de Gérard Alaphilippe du secrétariat général en 1984, Yves Baunay, entré comme suppléant au bureau national en 1983, fut investi de nouvelles responsabilités dans le secrétariat national, tandis qu’il venait de laisser la direction du S3 de Créteil à de plus jeunes militants qu’il avait contribué à former : Michel Robert*, Bernard Boisseau*. Il fut d’abord chargé d’animer le secteur FTS (fonctionnement, trésorerie, syndicalisation) mais, en tant qu’adjoint au secteur lycées dirigé par Michèle Jacquet, il s’occupa surtout de la défense et de la promotion des enseignements technologiques longs, illustrant la diversification des voies de la réussite pour tous les élèves, dans le cadre d’une scolarité obligatoire que le SNES souhaitait porter à 18 ans. Il assura ainsi la coordination de l’équipe de rapporteurs du thème 1 au congrès national de Besançon en 1985 : « Pour une formation utile, de qualité et épanouissante pour tous les jeunes » et l’élaboration du mémorandum du SNES sur le technique en avril 1985 : « Défendre, développer, moderniser les enseignements technologiques longs et post-bac ». Il participa à l’élaboration de la motion du BN du 28 mai 1985, qualifiant le bac professionnel du ministre Chevènement de « bac en trompe l’œil », instaurant une « coupure entre le professionnel et le technologique ». Et en 1986, il coordonna le dossier sur « l’investissement éducatif dans le développement économique », correspondant aussi aux besoins en qualifications.

Au congrès national de Versailles de mars-avril 1987, il fut co-rapporteur d’un thème spécifique, consacré pour la première fois aux seuls enseignements technologiques et professionnels. Le SNES défendait la double finalité des Btn (bacs de techniciens) et BT (brevets de techniciens) et maintenait ses critiques à l’encontre du « bac pro » en proposant de les transformer pour les rapprocher des BT ; il fallait aussi lutter contre le privilège accordé à l’apprentissage et aux préparations des diplômes réputés professionnels par l’alternance.

Les compétences en matière économique d’Yves Baunay l’avaient aussi fait désigner par « Unité et Action » pour siéger au Conseil économique et social parmi les quatre membres de la délégation de la FEN, en 1984, à un moment de relatif apaisement des tensions avec la majorité UID (Unité, Indépendance et Démocratie). Il eut ainsi l’occasion, dans la « section des activités productives », de défendre concrètement ses convictions syndicales sur la formation initiale et professionnelle auprès des confédérations ouvrières et des représentants des employeurs. Mais la direction de la FEN interrompit son mandat en 1988, ce qui montrait à ses yeux son peu d’indépendance à l’égard du Parti socialiste. Elle venait en effet de soutenir le rapport au CES du président de la FCPE (Fédération des conseils de parents d’élèves), Jean Andrieu, faisant de l’apprentissage la voie normale de formation. Le SNES était totalement opposé à un tel système dual : l’école pour une formation générale étriquée et l’entreprise pour une formation professionnelle complémentaire avec généralisation de l’alternance. S’ajouta à ces divergences, partagées par le SNETAA (Syndicat national de l’enseignement technique-apprentissage), lors du congrès de la FEN de La Rochelle, en janvier 1988, l’opposition au projet fédéral d’ « École de l’an 2000 », assorti du principe « travailler autrement », voté à l’arraché.

En 1987, après le départ du secrétariat national de Michèle Jacquet, Yves Baunay était titulaire au BN du SNES et au Conseil fédéral national (suppléant à compter de 1982), puis à partir de 1991, membre suppléant du nouveau bureau fédéral, distinct de l’exécutif resté homogène, et siégeait au CEGT (Conseil d’enseignement général et technique) puis au CSE (Conseil supérieur de l’Education). Il travailla alors avec Alain Roze, responsable du secteur lycées, et Frédérique Piel, chargée des classes préparatoires et post-bacs. Il continua à organiser diverses initiatives pour la défense des enseignements technologiques : adresse du conseil national du SNES au ministère de l’Éducation nationale (notamment au secrétaire d’État à l’enseignement technique, Robert Chapuis) « pour un nouvel essor des formations techniques des lycées » (octobre 1988) ; colloque (SNES, SNEP, SNESup, SNETAP) des 15-16 juin 1990 à l’ENS Cachan, permettant la confrontation entre analyses syndicales et attentes des milieux professionnels. Les actes furent publiés par ADAPT-SNES sous le titre La voie technicienne de formation. Ce livre était l’aboutissement d’une réflexion d’une décennie au sein du SNES, pour promouvoir une diversification non hiérarchisée des voies de formation, mettant sur un pied d’égalité les différentes disciplines : d’enseignement général, à contenu technologique et à contenu professionnel, correspondant à la diversité des activités humaines de travail.

Au début des années 1990, Yves Baunay participa activement à la création de la nouvelle Fédération syndicale unitaire. Il accompagna son secrétaire général, Michel Deschamps*, à un séminaire organisé par les syndicats enseignants à Mexico (25-27 novembre 1993) sur le thème « Monde du travail, syndicalisme et éducation ». Il continuait de représenter le syndicat au Comité interprofessionnel consultatif puis au Haut comité éducation, emploi, économie. Il représenta aussi le SNES au Comité syndical européen de l’éducation, et participa à plusieurs congrès de l’Internationale de l’Enseignement créée en 1993.

Yves Baunay prit sa retraite professionnelle à 60 ans en 2001, au grade de professeur agrégé obtenu en 1997 par promotion interne sur liste d’aptitude. Il quitta donc la direction nationale du SNES, peu après ou en même temps que toute une génération de militant(e)s qu’il avait accompagné(e)s (Louis Weber, Pierre Toussenel, Monique Vuaillat…). Mais il poursuivit son activité militante à l’Institut de recherches de la FSU, notamment en pilotant à partir de 2006 le chantier sur le travail, donnant matière à des articles dans la revue de l’institut, Nouveaux Regards, et à plusieurs colloques et livres, sur l’éducation tout au long de la vie, la culture technique, les rapports travail et syndicalisme…

Comme beaucoup d’autres communistes, il avait quitté le parti sans bruit dans les années 1990 et s’était investi dans les années 2000 dans diverses associations : « Travail et démocratie » avec Claire Villiers, « Travail et politique », « Étonnants travailleurs », « La Société internationale d’ergologie » avec Yves Schwartz et faisait partie du comité éditorial de sa revue Ergologia où il écrivit plusieurs articles. Cet intérêt pour le travail qui était pour lui la question centrale de la réflexion politique sur l’organisation de la société et la refondation de la démocratie, se retrouvait donc dans son engagement politique et syndical. Il évoquait « une façon de se libérer et de libérer le travail du carcan des rapports marchands pour le faire entrer pleinement dans l’économie du don plus propice à son émancipation. »

Les 1er et 2 février 2017, il co-organisa un séminaire intitulé « Le Travail en débat » pour les 10 ans du chantier travail de l’institut FSU. À cette occasion, il reconnaissait que toutes les expériences et rencontres dans le « continent du travail », c’est-à-dire de « l’activité humaine qui s’engage dans le travail et qui le déborde », l’avait métamorphosé dans sa façon de concevoir et de vivre en lien avec les autres. Et, portant un regard critique sur ses propres pratiques syndicales, il regrettait que le syndicalisme ne prenne pas suffisamment en compte les problématiques du travail réel qui émergent pourtant dans le débat public.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article15955, notice BAUNAY Yves, Henri par Alain Dalançon, version mise en ligne le 20 octobre 2008, dernière modification le 6 décembre 2018.

Par Alain Dalançon

Congrès national du SNES 1971, dans la délégation du S3 de Paris
Yves Baunay
Yves Baunay
Dans un colloque en 1984
Animateur d’un colloque intersyndical en 1992

ŒUVRE : Outre les ouvrages et articles cités, coordination d’ouvrages collectifs édités par Syllepse/Nouveaux Regards : Toute la vie pour apprendre (2002) ; La culture technique (2004) ; La validation des acquis de l’expérience (2005) ; (avec Francis Vergne) Formation professionnelle : regards sur les politiques régionales (2006) ; Le travail enseignant (2010). — Articles dans Nouveaux Regards, dont n° 37-38, 2007, coordination du dossier « Changer le travail, changer la vie ». — Articles dans diverses revues : « Travail et Démocratie », ed. Les périphériques vous parlent, 2012 ; « Le travail syndical sur le travail », Nouvelle revue de psychologie, n°18, 2014 ; « Le travail réel : une source et une ressource pour l’activité syndicale », Ergologia, n° 10, 2013 ; Anticiper des situations de travail invivables : l’exemple d’une réforme en éducation », Ergologia, n°15, 2016.

SOURCES : Arch. IRHSES (nombreux fonds du SNES, de la FEN et de la FSU, presse syndicale : L’Université syndicaliste, Pour, Revue Unité et Action, Nouveaux Regards). — Arch. Comité national du PCF. — Arch. Dép. Seine-Saint-Denis (fonds G. Alaphilippe). — Renseignements fournis par l’intéressé. — Notes de Jacques Girault.

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