Par Claude Pennetier
Né le 22 mai 1930 à Mont-Saint-Aignan (Seine-Inférieure, Seine-Maritime), mort le 27 juin 2014 à Mont-Saint-Aignan (Seine-Maritime) ; professeur ; militant parisien des Auberges de jeunesse.
Fils de Jacques Ribes, employé de chemin de fer, et de Rose Marie Augé, sans profession, Jean Ribes, domicilié à Paris (XVIIIe arr.), était en 1955 trésorier adjoint du périodique Nous les Auberges de jeunesses qui avait son siège 20 rue Saint-Georges dans le IXe arr. Il fut élu au comité directeur de la Fédération unie des auberges de jeunesses, en juin 1960 et confirmé en 1961. Lié au groupe ajiste « Révoltés », il était qualifié par les Renseignements généraux, en juillet 1968 de dirigeant et agitateur révolutionnaire.
En novembre 1968, Jean Ribes entra au Collège national de l’École émancipée, tendance syndicaliste révolutionnaire de la FEN.
Il s’était marié une première fois le 8 janvier 1957 à Paris (XVIIIe arr.) avec Madeleine Briselance, dont il divorça en 1976, puis remarié le 22 décembre 1977 à Paris (XIXe arr.) avec Lucienne Copferman.
Par Claude Pennetier
SOURCE : Arch. Claude Batal, Renseignements généraux, « La reconstitution clandestine » (des groupes révolutionnaires), 19 février 1969, CHS du XXe siècle. — État civil.