Par Michel Cordillot
Militant libertaire, Jules Calmels travaillait en 1898 à Westville (Illinois). Cette année-là, il adressa à la rédaction de La Tribune libre une correspondance pour déplorer le succès du pique-nique organisé par le curé.
En 1903, rallié au socialisme et membre du Parti socialiste américain, Jules Calmels s’abonna à L’Union des travailleurs. Il militait alors à Edwardsville (Illinois). Dans un controverse avec Jules Caumiant (voir ce nom), il justifiait son ralliement au socialisme parlementaire en insistant sur l’idée que l’anarchie était une utopie trop avancée pour être viable.
Par Michel Cordillot
SOURCES : La Tribune libre, 14 juillet 1898 ; L’Union des travailleurs, 26 février 1903.