Par Michel Cordillot
Militant socialiste demeurant à Charleroi (Pennsylvanie), Henri Devigne s’abonna à L’Union des travailleurs en 1905. Lecteur fidèle et généreux, il versa à maintes reprises son écot à la souscription permanente destinée à contenir le déficit de l’organe du socialisme franco-américain, et une collecte effectuée parmi l’assistance à l’occasion du baptême civil de son fils Jean-Baptiste en 1909 rapporta pour le journal la somme de 3 dollars.
Henri Devigne demeura abonné à L’Union des travailleurs jusqu’à la disparition de ce journal en septembre 1916.
Par Michel Cordillot
SOURCE : L’Union des travailleurs, 23 novembre 1905, 5 août 1909 entre autres.