Par Michel Cordillot
Mineur anarchiste installé à Chicopee (Kansas), E. Fouquet avait personnellement connu Louis Goaziou et était un lecteur assidu de ses journaux. Il mourut le 25 mars 1895 et 150 à 200 compagnons portant une cocarde rouge accompagnèrent le convoi funéraire. Des discours révolutionnaires furent pronconcés au cimetière par Julien Bernarding, Philémon Gourceaux et Jean Buset (voir ces noms).
E. Fouquet laissait derrière lui une famille nombreuse, dont les membres étaient bien décidés à reprendre le flambeau de ses idées.
Par Michel Cordillot
SOURCE : L’Ami des ouvriers, mars 1895.