Par Michel Cordillot
Né le 14 avril 1811 à Veurey-Voroize (Isère), Joseph Hébert était menuisier à Grenoble. Au lendemain du coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte, il s’exila volontairement en Savoie, puis en Suisse et aux États-Unis. De retour en France, il demanda et obtint une pension au titre de la loi de réparation nationale de 1881.
Par Michel Cordillot
SOURCES : AN, F15 4041A, dossier 2 ; Denise Devos, La Troisième République et la mémoire du coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte, Paris, Arch. nat., 1992.