BERNARDIN Claude, Léopold

Par Jean Lorcin

Né le 26 janvier 1920 à Lyon (4e arr.), mort le 11 juillet 2010 à Lyon (7e arr.) ; avocat ; mendésiste ; fondateur et membre du conseil de direction du Cercle Tocqueville de Lyon (1958-1972) ; membre du comité directeur du Nouveau Parti socialiste (1969-1971), puis du Parti socialiste (1971-1974).

Élevé par des parents catholiques, Claudius Bernardin, employé de soierie à Lyon (4e), dans le quartier de la Croix-Rousse, et Joséphine née Conto, Claude Bernardin a subi l’influence de Frédéric Ozanam et de la Chronique sociale.
Claude Bernardin exerça la profession d’avocat à partir de 1944. Inscrit au barreau dès 1942, il avait dû se cacher pour échapper au STO et avait participé à la Résistance, dans le réseau de renseignements militaires « Alliance » dirigé par Loustaunau-Lacau, alors qu’il avait auparavant intégré le Service national des étudiants dans le but d’y lutter contre l’infiltration de collaborateurs. Avocat stagiaire à Lyon depuis 1942, il plaida d’abord, à partir d’octobre 1944, dans des procès d’épuration dans le cadre des commises d’office. Cela lui valut d’être traité d’« avocat des Allemands » par la presse communiste parce qu’il avait plaidé la cause d’un adjudant allemand accusé de crime de guerre en relativisant son acte par un parallèle avec la bombe d’Hiroshima, le 17 août 1945, ce qui avait provoqué un tollé. Me Bernardin plaida ensuite des causes consécutives au retour des prisonniers de guerre (divorces, etc.). Membre du conseil de l’Ordre des avocats et du conseil d’administration de la Caisse centrale de Sécurité sociale, il fut également maître de conférences, de 1947 à 1977, à l’Institut d’études politiques de Lyon, dont il a présidé le conseil d’administration de 1969 à 1977, et chargé d’enseignement à l’Institut de droit du travail.
Claude Bernardin fut conseiller municipal à Caluire (Rhône) de 1953 à 1969.
Au lendemain du 13 mai 1958, Claude Bernardin, qui adhéra également au club Jean Moulin, fonda, le 15 mai 1958, à la Brasserie de l’Étoile, 1, cours Gambetta, à Lyon, avec quelques amis, marqués comme lui par l’expérience Mendès France*, à qui il devait son éveil à la conscience politique, le « Cercle Tocqueville » qui allait devenir le grand club de la région lyonnaise, avec 400 adhérents et plus de 2 000 abonnés à son bulletin bimensuel, En bref. Claude Bernardin fut vice-président (1959-1962), avec Alban Vistel, puis président (1962-1970) du Cercle Tocqueville, avant d’être remplacé par Jean-Paul Paufique, tout en conservant la vice-présidence de 1970 à 1972. Il fut également responsable de la rédaction d’Information Cercle Tocqueville - En Bref de 1959 à 1962. Le « Cercle Tocqueville » a siégé successivement à la Brasserie de l’Étoile, 1, cours Gambetta, à Lyon (3e), de juin 1958 à novembre 1959, 12, rue Tupin, à Lyon (2e), de novembre 1959 à avril 1968, et 32, quai Saint-Antoine, à Lyon (2e), d’avril 1968 à avril 1972. Il eut des filiales à Grenoble (Isère), où il prépara l’ascension politique de Dubedout*, et à Marseille (Bouches-du-Rhône), où il donna naissance au club « Démocratie nouvelle ». Le Cercle Tocqueville est né d’un double refus, celui de la IVe République et celui de de Gaulle. Ses fondateurs, soucieux de renouveler les « conditions du débat politique vieilli dans ses thèmes, son vocabulaire, son ton » (Informations Cercle Tocqueville-En bref, n° 77, 31 mai 1963), voulaient en faire un groupe de réflexion animant des commissions spécialisées, des journées d’études, des cours du soir pour former des démocrates. Le Cercle Tocqueville devint ainsi une sorte de « laboratoire d’idées » où dialoguaient militants politiques, syndicaux, familiaux, culturels. Il travaillait volontiers en commun avec l’Association syndicale des familles, la CFTC (courant « Reconstruction ») et le PSU, dont le rapprochait le souci commun de renouveler les conditions du débat politique, et la dominante chrétienne du club, qui n’était pas pour autant inféodé à la hiérarchie, à telle enseigne que Claude Bernardin, le 17 décembre 1959, se faisait l’apôtre de la laïcité, face au doyen André Latreille, partisan d’une aide à l’enseignement privé. En revanche, Claude Bernardin était influencé par la Chronique sociale de France où il écrivait. Par ailleurs, le Cercle Tocqueville rejetait l’ambiguïté du langage de la SFIO dont le dirigeant Guy Mollet* juxtaposait « un langage dur », marxiste, « et une pratique molle », opportuniste, déplorait Claude Bernardin (Témoignage de Me Bernardin, in : Robert Lux, Influence du Christianisme sur le Parti Socialiste..., op. cit., pp. 74-75) qui rejoignait sur ce point la critique que faisait André Philip*, dès 1946, du « néo-guesdisme » de Guy Mollet. Le club recrutait essentiellement des universitaires, des étudiants, des cadres et des membres de professions libérales, mais fut également en contact avec des militants paysans du CDJA du Rhône et des militants ouvriers de la CFTC.
Soucieux de travailler dans le concret, le Cercle Tocqueville se préoccupait notamment de politique municipale et d’urbanisme, ce qui l’amena à s’opposer au maire radical-socialiste de Lyon, Louis Pradel, dont les alliances, limitées à des notables, allaient très loin à droite, voire à l’extrême droite, sous couleur d’« apolitisme », « une mystification », jugeait Claude Bernardin (En Bref Municipal, 16 octobre 1964, cité par Roger Marillat, Le Cercle Tocqueville : de la pédagogie à l’action politique, op. cit., p. 39), pour qui « la gestion d’une ville requiert des choix... essentiellement de nature politique » - le Cercle Tocqueville mettait par exemple l’accent sur la municipalisation des sols pour faire obstacle à la spéculation foncière.
Dans la lutte pour la paix en Algérie et la reconnaissance de son indépendance, le Cercle Tocqueville, dont le président, Claude Bernardin, exprimait la crainte d’être réduit à jouer le rôle de « force d’appoint » dans une alliance exclusive avec le Parti communiste, fit partie du pôle formé par le PSU, la CFTC et la Ligue des droits de l’homme, face à celui qu’animaient le PCF, la CGT et le Mouvement de la paix. C’est ainsi que le Cercle Tocqueville fit partie des organisations appelant, aux côtés du PSU, à participer à la manifestation du 27 octobre 1960 qui fut violemment dispersée à Lyon par les forces de l’ordre, à la journée d’union et d’action antifasciste contre l’OAS à laquelle participaient cette fois le PCF et la CGT le 19 décembre 1961 et à la manifestation lyonnaise du 7 février 1962 à la suite du plasticage de la pâtisserie Masson, tandis que le PCF organisait de son côté la semaine d’action qui devait être marquée par la tragédie de la station de métro Charonne, à Paris. Un bulletin distribué à Oullins (Rhône) et consacré à l’OAS était cosigné entre autres par des membres du Cercle Tocqueville, du PSU et de la CFTC.
Les contacts sur ce point entre le PSU et le Cercle Tocqueville étaient d’autant plus étroits que nombre de membres des deux organisations apportaient une aide individuelle aux réseaux de soutien au FLN.
Pour sa part, Claude Bernardin, à qui le député-maire communiste de Givors (Rhône), Camille Vallin*, membre du secrétariat fédéral du Parti, reprocha un jour vivement son comportement pro-FLN, avait personnellement, en tant qu’avocat, lutté à partir de 1954 contre la torture et pour la reconnaissance de l’indépendance de l’Algérie, au risque d’y sacrifier sa vie familiale et de rendre difficile sa vie professionnelle. C’est ainsi qu’il ne dut qu’à la présence à ses côtés du bâtonnier de l’époque, pourtant « très réactionnaire », de voir écarter une menace de destitution. Il a en effet fait partie, aux côtés de Me Paul Bouchet*, du collectif informel d’avocats lyonnais qui défendaient les membres du FLN et qui perpétuaient, ce faisant, une tradition de défense politique. Il fut amené de ce fait à aller plaider en Algérie où ses collègues algérois étaient par trop menacés - deux d’entre eux avaient été éliminés physiquement -. Me Bernardin, après avoir plaidé dès 1954 la cause d’étudiants algériens qui avaient édité des tracts et dont beaucoup étaient ses élèves, traduits en correctionnelle pour marquer un coup d’arrêt, assura à Lyon la défense de prêtres accusés de collusion avec le FLN, comme l’abbé Carteron, de la Mission de France, en liaison avec l’œuvre du Prado, à Lyon, accusé d’être responsable de la conservation et de la répartition de fonds destinés à aider les familles des militants du FLN détenus à la prison Saint-Paul, à Lyon. Me Bernardin assura également la défense de l’abbé Corre, arrêté dans le cadre d’une opération de démantèlement d’une filière de passage de déserteurs et d’insoumis, en liaison avec le réseau Jeanson. Il fut également le défenseur de membres d’un réseau lyonnais rattaché à ce dernier inculpés d’atteintes à l’intégrité du territoire dont le procès s’ouvrit au Tribunal permanent des forces armées le 6 avril 1961. Dans ces affaires, Claude Bernardin s’employa, profitant du climat qui entourait l’élection de Jean XXIII (en 1958), à obtenir le soutien de l’épiscopat, notamment du cardinal Gerlier, archevêque de Lyon, ce qui a pu contribuer à accuser les traits du caractère « curé » que d’aucuns lui prêtaient. D’autre part, loin de recevoir des instructions du FLN comme le prétendaient des tenants de l’Algérie française, il s’est opposé à l’extension du terrorisme au territoire métropolitain qu’avaient entamée des chefs du mouvement.
La guerre d’Algérie a contribué à faire évoluer Me Bernardin et, avec lui, le Cercle Tocqueville, vers des prises de position plus politiques, comme il l’explicitera à une table ronde sur la signification du combat politique organisée par les Semaines sociales à Lyon :
« J’ai été conduit d’une réaction morale à une action de caractère politique. J’ai découvert qu’il y avait beaucoup d’autres "Algéries", qu’elles s’appellent condition des travailleurs aliénés, condition de la femme, spéculation foncière, travailleurs immigrés, aliénation culturelle, j’en passe, et que toutes ces "Algéries » demandaient non seulement des solutions spécifiques mais une analyse des causes dont elles procédaient toutes » (Chrétiens et églises dans la vie politique, Lyon, Chronique sociale de France, 1974, pp. 39-40).
Prenant sans doute acte de cette évolution des esprits, alors que la guerre d’Algérie touchait à sa fin, le PSU manifestait le vœu que les contacts noués avec le Cercle Tocqueville à l’occasion de cette guerre « puissent déboucher sur d’autres discussions communes et actions coordonnées : problèmes locaux (logement, distribution, équipements techniques, écoles, vie municipale, etc.), ou problèmes plus généraux (discussion d’un programme socialiste) » (Circulaire du 1er mars 1962).
La réflexion du Cercle Tocqueville sur le « débouché politique » aboutit aux « Assises de la Démocratie » réunies à Vichy (Allier) les 25 et 26 avril 1964, à l’initiative du club Jean Moulin, du Cercle Tocqueville et de Citoyens 60 : Claude Bernardin, chargé du discours de clôture, y fit valoir que la réflexion des clubs devait déboucher sur un projet politique commun, dans la perspective de l’élection présidentielle, sous peine de « se dégrader en cercles d’études pour finir en associations académiques ». Le Cercle Tocqueville n’en a pas moins mis longtemps avant de faire un choix socialiste clair, à la grande irritation de certains membres du PSU avec qui les tiraillements, voire les conflits, ont été fréquents dès lors que l’on abordait ce qu’il convenait de faire après la fin de la guerre pour remplacer le gaullisme. Dès 1960, les dirigeants locaux du PSU s’étaient inquiétés de ce qu’un dirigeant national comme Alain Savary* ait été invité par le club sans qu’ils en fussent prévenus. Ce fut bien pis lorsque, face aux menaces que faisait peser sur la démocratie la décision de faire élire le Président de la République au suffrage universel, Me Bernardin assuma la présidence du comité départemental d’« Horizon 80 » pour la campagne présidentielle de Gaston Defferre* en 1965, avant de rompre avec ce dernier lorsqu’il défendit l’idée d’une « Grande Fédération » ouverte au centre droit, issu du MRP. Claude Bernardin soutint à partir de ce moment la candidature de François Mitterrand*. Les membres du club n’en restaient pas moins profondément réformistes. En dépit de son hostilité envers la SFIO dont il dénonçait l’absence du combat pour la paix en Algérie de 1958 à 1962 et qui, disait-il, n’était même pas un « appareil », mais seulement une structure de type féodal où les compromis se passaient entre « barons », sans qu’il y ait de débat démocratique, Claude Bernardin n’en estimait pas moins que c’était une erreur de tirer un trait sur les formations traditionnelles. Le Cercle Tocqueville, à la différence du PSU, s’intégra donc à la FGDS par l’intermédiaire de l’Union des clubs pour le renouvellement de la gauche (UCRG) dont Claude Bernardin, proche d’Alain Savary, était membre, avec la volonté affichée d’y apporter les moyens de recherche et les contacts dont les partis étaient habituellement privés et d’en renouveler le personnel politique. Dans cet esprit, le président du Cercle Tocqueville exprimait le vœu que la Fédération départementale ne se bornât pas à jouer le rôle d’un simple comité électoral, mais étudiât les problèmes politiques, économiques et sociaux et leurs conséquences sur la vie locale et régionale. Dans l’immédiat, le Cercle Tocqueville préférait se consacrer à la préparation de la rencontre socialiste de Grenoble (30 avril - 1er mai 1966), dans le prolongement des « Assises de la Démocratie », où il devait être représenté par Claude Bernardin : il s’agissait en effet de définir un programme non pour les prochaines élections, mais dans le cadre d’une stratégie à longue portée, d’une réflexion, autour de Mendès-France, sur les conditions concrètes de l’instauration d’une société socialiste, intervention des travailleurs dans l’appareil de production, diminution des inégalités régionales, orientation de la consommation familiale vers les loisirs culturels, participation à la gestion locale. S’il ne revendiqua pas de candidature aux élections législatives de 1967, le Cercle Tocqueville fournit des dossiers aux candidats et favorisa des accords de deuxième tour avec le PSU, dont Claude Bernardin soutint un candidat, A. Barthélemy*, secrétaire fédéral du PSU, dans la 7e circonscription du Rhône. En revanche, à la différence du PSU et de la CFDT, la FGDS s’est peu impliquée dans les événements de mai 1968 qui ont toutefois contribué à accélérer le mûrissement de l’engagement politique du Cercle Tocqueville. La FGDS s’est contentée de s’élever contre la répression aussi bien que contre l’agitation gauchiste, source « d’agissements irresponsables », dès le 7 mai, mais s’est tue jusqu’à la manifestation unitaire du 13 mai à laquelle elle a appelé, aux côtés des autres organisations de gauche. Elle paya son attitude ambiguë d’une défaite cinglante aux élections législatives suivantes, en juin 1968, où, toutefois, les candidats des clubs, en prise sur la revendication de l’autogestion dans l’Université et les entreprises, ont attiré davantage d’électeurs que les socialistes et les radicaux : alors que Claude Bernardin, qui était cette fois candidat à la Croix Rousse où il promettait de se battre pour la rénovation des pentes, fut battu avec 28 % des suffrages exprimés, la FGDS, en recul de 5 % sur 1967, n’en avait recueilli que 11,5 % dans l’ensemble de la ville de Lyon. En 1969, le Cercle Tocqueville, à l’appel de l’UCRG, incita ses membres à rallier le Nouveau Parti socialiste de Savary.

Claude Bernardin ouvrit et présida la première séance de son congrès d’Alfortville en mai 1969. Porte-parole de l’UCRG, Claude Bernardin défendit, au nom de la clarté des choix politiques, la candidature d’Alain Savary contre celle de Gaston Defferre, qui misait sur des alliances au centre, au lieu de se rapprocher du Parti communiste : « Toute politique qui ressemblerait à la politique de troisième force d’autrefois nous conduirait immanquablement aux mœurs et aux pratiques de la IVe République », prédisait Claude Bernardin. Au congrès d’Issy-les Moulineaux, en juillet 1969, il rapporta la motion Savary. Claude Bernardin représenta, avec quatre autres membres, soit le tiers des délégués, le Nouveau Parti socialiste au congrès d’Épinay, en juin 1971 et fut membre (tendance Savary) du comité directeur du Parti socialiste jusqu’en 1974.
Candidat malheureux aux élections municipales de 1971 à Lyon, il fut enfin membre du conseil municipal de Lyon de 1977 à 1983.
Sa femme, avec laquelle il eut une fille, a milité comme lui au Cercle Tocqueville et au Parti socialiste.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article16421, notice BERNARDIN Claude, Léopold par Jean Lorcin, version mise en ligne le 20 octobre 2008, dernière modification le 26 août 2021.

Par Jean Lorcin

ŒUVRE : « De Gaulle et le problème algérien », avec R. Butheau et M. Jourdan, publié dans Feuilles de route. À l’écoute du monde, Chronique sociale de France, n° 6, mars 1960. — Claude Bernardin a écrit des articles dans la Chronique sociale de France, dont « La grande inconnue : l’armée en Algérie », Cahiers 7-8. — 31 décembre 1959, Actualités et constantes algériennes, pp. 533-539, et « Pourquoi la Sécurité Sociale ? », Cahiers 6-7 au 7 novembre 1962, Pour les élections à la Sécurité Sociale, pp. 471-530. — Il a participé à la rédaction de l’Histoire du Monde après 1945, publiée dans la collection « U » chez Armand Colin.

SOURCES : Arch. PPo, 66.336. — Arch. du Cercle Tocqueville, données aux Arch. Dép. du Rhône, série 176 J. — Horizon 80, n° 5, avril 1965. — « Les Clubs à Vichy », Positions, Moulins, t. II, 1964, n° 94-95. — Information Cercle Tocqueville. — En bref, 1958-1972. — Roger Marillat, Le Cercle Tocqueville : de la pédagogie à l’action politique, mémoire de maîtrise, IEP de Lyon (dir. Mlle Gravitz), 1966. — Janine Mossuz-Lavau, Les Clubs et la politique en France, sous la dir. d’Alain Lancelot, A. Colin (Dossiers U2, 118. Politique), 1970. — Gérard Lindeperg, La Fédération du Rhône du PSU. Ses origines, son histoire jusqu’à la fin de la guerre d’Algérie (avril 1960-avril 1962), mémoire de maîtrise (dir. Yves Lequin), Université Lyon 2, 1976,. (Centre de documentation - LARHRA, 256). — Gabriel Montcharmont, Le CDJA du Rhône de 1954 à 1977, mémoire de maîtrise, Université Lyon 2, 1977, 2 vol. (Centre de documentation - LARHRA, 278 (1 et 2). — Paul Bacot, Les dirigeants du parti socialiste : histoire et socialisme, préface de François Mitterrand, Lyon, Presses Universitaires de Lyon, 1979. — Lionel Julliand, À l’origine du Parti Socialiste : le Cercle Tocqueville de Lyon et sa contribution à la constitution du Nouveau Parti Socialiste, mémoire de Licence. — Séminaire « Étude des idéologies dans un cadre régional » dirigé par M. Journès, Institut d’études politiques, Lyon, février 1981, 22 p. — Geneviève Massard-Guilbaud, Enquête sur les réseaux de soutien au FLN. dans la région lyonnaise (1955-1962), mémoire de maîtrise (dir. Yves Lequin), Université Lyon 2, 1982 (Centre de documentation - LARHRA, 409). — Robert Lux, Influence du christianisme sur le Parti Socialiste, expression de cette influence dans le département du Rhône, du Congrès d’Épinay (1971) au Congrès de Lille (1987), mémoire de maîtrise (dir. Yves Lequin), Université Lumière-Lyon 2, 1989 (Centre de documentation - LARHRA, 586). — Olivier Marchesi, Lyon en Mai 1968, mémoire de fin d’études de l’IEP, Université Lumière-Lyon 2, 1998, 2 vol. (Centre de documentation - LARHRA, 1649 (1 et 2). — Brigitte Velay-Jaubert, Les Avocats lyonnais de 1939 à 1992, mémoire de maîtrise, Université Lumière-Lyon 2, s. d., 64 p. (Centre de documentation — LARHRA, 759). — Entretiens de Claude Bernardin avec Jean Lorcin, le 16 janvier et le 28 mai 2004. — Note de Benoît Prieur.

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