Par Michel Cordillot
Mineur français sans doute victime d’une mise à l’index, Jos Leroi émigra aux États-Unis et s’installa à Charleroi (Pennsylvanie). Tombé malade, il dut quitter la mine et il ouvrit un petit commerce. Libre-penseur, il était également un coopérateur actif. Il mourut en février 1903, à l’âge de 45 ans. Lors des ses obsèques, les discours d’usage furent prononcés par Séraphin Ulens et Louis Goaziou.
Par Michel Cordillot
SOURCE : L’Union des travailleurs, 19 février 1903.