Par Michel Cordillot
Ouvrière féministe habitant à Staunton (Illinois), Léa Leroy se présentait en février 1913 comme une lectrice assidue de L’Union des travailleurs. Après s’être concertée avec ses sœurs la décision fut prise de renoncer à une séance hebdomadaire de cinéma au profit de ce journal, et Léa se chargea de faire parvenir à la rédaction les 35¢ ainsi économisés et versés à la souscription permanente.
Léa Leroy était selon toute vraisemblance la fille de Henry Leroy (voir ce nom).
Par Michel Cordillot
SOURCE : L’Union des travailleurs, 13 février 1913.