Par Michel Cordillot
Mineur socialiste demeurant à Globe (Arizona), Charles Marée s’abonna à L’Union des travailleurs en août 1906. Collaborateur occasionnel de ce journal, il y donna un compte-rendu de la grande manifestation organisée en 1908 à l’occasion du Premier Mai. À cette occasion, un cortège de 2 000 personnes fut harangué par divers orateurs, parmi lesquels Jules Frès (voir ce nom), qui prit la parole en français.
Par Michel Cordillot
SOURCE : L’Union des travailleurs, 30 août 1906, 28 mai 1908 entre autres.