BÉRON Émile

Par Étienne Kagan, Jean Maitron, Gilles Morin, Pierre Schill

Né le 1er janvier 1896 à Lalaye (Basse-Alsace annexée), mort le 28 février 1966 à Strasbourg (Bas-Rhin) ; ouvrier tourneur sur métaux puis contremaître, enfin agent d’affaires ; socialiste, puis communiste ; membre du comité central du PCF ; député de la Moselle.

Émile Béron
Émile Béron
Assemblée nationale, Notices et portraits, 1936

Fils de cultivateurs, Émile Béron et Mélanie Baschoffer, originaire d’une commune d’Alsace de langue française, Émile Béron, ouvrier métallurgiste, rejoignit en 1916 le mouvement révolutionnaire. Il travaillait en 1919 à l’usine sidérurgique de Wendel d’Hagondange (Moselle) où il fut contremaître. Il fut cette année-là secrétaire du comité local de grève, ce qui lui valut d’être arrêté pour entraves à la liberté du travail et détournement d’automobiles. L’année suivante, il était secrétaire de la section socialiste d’Hagondange, fut délégué à Strasbourg et à Tours et, comme la quasi-totalité du mouvement ouvrier mosellan, se prononça pour la IIIe Internationale. Il fut, tout au long de l’année 1920, un des principaux artisans de la propagande révolutionnaire en Moselle et en particulier dans le bassin houiller lorrain. C’est dès cette période, qu’Émile Béron comme quelques autres communistes mosellans, commença à entretenir des contacts réguliers avec des communistes allemands, notamment par l’intermédiaire des mineurs de Sarre. C’est ainsi que le 27 mai 1921 au soir, les douaniers de Stiring-Wendel (Moselle) arrêtèrent un homme introduisant clandestinement des brochures communistes imprimées en Allemagne (notamment Die kommunistiche Internationale, Karl Liebknecht-Briefe ou Rosa Luxembourg-Briefe). Conduit au commissariat de Forbach cet « individu » fut obligé de décliner son identité : c’était Émile Béron qui se présenta comme « délégué à la propagande de la SFIC de Lorraine ». Les brochures avaient été procurées par Steiner, secrétaire régional du groupe communiste de la Sarre.

Installé ensuite à Metz, il fit partie du secrétariat de la Fédération communiste de la Moselle en 1922 et, en octobre, il assista à Paris au IIe congrès du PC. En janvier 1922 il fut l’un des organisateurs de l’affrètement d’un train destiné aux « affamés russes ».En novembre 1922, il se rendit à Moscou pour assister au IVe congrès de l’IC et fut nommé membre du bureau permanent de l’Internationale. Lors de l’occupation de la Ruhr au début de 1923, il se trouvait à Berlin, sur le chemin du retour de Moscou, et fit partie de la délégation française à la Conférence internationale de Francfort, mars 1923.

Émile Béron fut cependant exclu, ainsi que sa femme, du PC au début de 1924 « pour avoir refusé de se soumettre à un mot d’ordre du Parti », mais aussi, semble-t-il, pour avoir défendu Ph. Solt, militant d’Hagondange, lui aussi exclu. Il travailla alors comme tourneur à la Société des bronzes d’industrie d’Amnéville, puis à l’usine sidérurgique de Rombas. Il fut réintégré au PCF au début de 1926, mais Pierre Semard* refusa alors qu’il devienne rédacteur en chef de la Volkstribüne, quotidien en langue allemande.

En juin 1926, il devint secrétaire politique de la région communiste d’Alsace-Lorraine et s’installa à Strasbourg (Bas-Rhin) pour exercer ses responsabilités. Représentant la Moselle au Vème congrès du Parti communiste à Lille en juin 1926, il intervint dans le débat portant sur la situation de l’Alsace-Lorraine. Émile Béron se prononça en faveur de l’autodétermination et demanda la tenue d’un plébiscite. Cette position fut ensuite reprise par le Parti. Sa réintégration au sein du PC mosellan ainsi que la décision de lui confier de nouvelles responsabilités provoquèrent une certaine tension entre les responsables communistes locaux. Il semble que Florent Stenger et Lucien Witz le soutenaient alors que Victor Doeblé* et Marcel Kirsch* « manoeuvraient » à Paris pour l’empêcher de retrouver une position importante en Moselle. En mai 1926 le bureau de l’UD de la CGTU de la Moselle l’avait désigné comme secrétaire mais il fut écarté suite aux interventions de Kirsch et Doeblé.

Il fut le candidat du Parti communiste aux élections législatives d’avril 1928 dans la circonscription de Thionville-Ouest. Il arriva en tête au premier tour avec 6 520 voix devant le candidat de l’URL (Union républicaine lorraine, droite), Lucien François qui obtint 6 217 voix. Il l’emporta au second tour avec 7 889 voix contre 7 634 voix, autant grâce à ses qualités personnelles d’orateur qu’à une implantation locale des syndicats unitaires et du Parti communiste relativement faibles. Émile Béron représenta la Moselle au VIème congrès du Parti communiste qui se tint à Saint-Denis en avril 1929. Il fut notamment chargé de traduire en français le discours prononcé en allemand par Remmele, délégué du Comité exécutif de l’Internationale communiste. Candidat aux élections municipales des 5 et 12 mai 1929 à Hayange (Moselle) sur la liste du Bloc ouvrier et paysan présentée par le Parti communiste, il obtint au premier tour 1 200 voix sur 2 091 suffrages exprimés pour 2 135 votants sur 2 370 électeurs inscrits et fut élu. Il se présenta au poste de maire mais ne fut pas élu. Le congrès régional du Parti communiste d’Alsace-Lorraine se tint à Strasbourg en octobre 1929. Le Parti était dirigé par un comité régional de dix membres auquel participait Émile Béron. Il faisait partie des six militants les plus importants qui formaient, à l’intérieur du comité régional, un bureau spécial aux pouvoir étendus.

Le secrétariat de la région Alsace-Lorraine du Parti communiste avait à nouveau décidé de l’exclure à l’unanimité en avril 1932. L’Humanité d’Alsace-Lorraine l’accusa, le 22 avril 1932, d’avoir fait pression sur les militants communistes pour le désigner à la candidature aux élections, alors qu’il avait promis au dernier congrès régional, contrairement à Victor Doeblé, de respecter les décisions du Parti. La presse communiste le présentait comme le « laquais » de la famille de Wendel. Son divorce avec le Parti communiste s’expliquerait aussi par sa sensibilité patriotique qui aurait été heurtée par les thèses séparatistes défendues par le Parti communiste de Moselle. Il semble qu’Émile Béron ait évolué sur cette question puisqu’en 1928 il présentait encore l’Alsace-Lorraine comme une « minorité nationale ». Il avait aussi demandé l’amnistie pour les députés autonomistes alsaciens condamnés par la cour d’assises de Colmar (Haut-Rhin).

Il se représenta donc aux élections législatives dans la circonscription de Thionville-Ouest mais cette fois sous l’étiquette d’indépendant de gauche. Au premier tour Émile Béron arriva en tête en obtenant 6 348 voix sur 15 791 suffrages exprimés. Il revendiquait le fait d’avoir été le seul député d’Alsace-Lorraine à être élu avec un programme comportant l’introduction des lois françaises dans sa région. Il fut réélu au deuxième tour de scrutin par 8 446 voix contre 7 746 au candidat de droite, apparenté à l’Union nationale républicaine démocratique (URD), Jules Grosjean. Le Parti communiste avait présenté contre lui le secrétaire du syndicat des ouvriers métallurgistes René Schwob* qui obtint à peine 903 voix au premier tour.

Les 5 et 6 novembre 1932 à Metz se tint le congrès annuel du rayon communiste de la Moselle qui comptait alors quarante-sept cellules ou groupements locaux. Le congrès examina une lettre d’Émile Béron demandant sa réintégration. Celle-ci fut repoussée par une large majorité des délégués.

Il réussit malgré tout à se rapprocher du PC mosellan et à la fin du mois de février 1934, il s’opposa avec Émile Fritsch* à la venue de Marcel Bucard, chef de file des Francistes à Thionville (Moselle). Des bagarres opposeront les manifestants communistes et les militants « fascistes ». En 1934 il fit venir Doriot, après son exclusion du PCF, pour faire des conférences contre le Francisme très implanté dans sa région, ce qui lui fut reproché plus tard.

Sa position au moment de la constitution du Front populaire en Moselle, en février 1935, fut vivement critiquée par la presse communiste qui lui reprochait notamment ses hésitations à le rejoindre. Les communistes décidèrent de ne pas intégrer le député « indépendant » à la structure du front unique alors qu’il souhaitait être partie prenante d’une conférence départementale à organiser sur ce point. Il put finalement participer au Comité départemental du Front populaire.

Il s’engagea au milieu des années trente au sein de la section messine de la Ligue internationale contre l’antisémitisme (LICA) fondée par Jean Burger* et Ralph Konopnicki*.

Émile Béron fut réélu au premier tour des élections municipales de mai 1935 dans la ville d’Hayange (Moselle) en obtenant 1 095 voix sur 2 036suffrages exprimés pour 2 069 votants et 2 329 électeurs inscrits. Sa « liste ouvrière et républicaine » fut battue par la liste d’entente communale.

Il se représenta aux élections législatives d’avril-mai 1936 dans la circonscription de Thionville-Ouest face à A. Thomas, candidat de l’URD, et à François Rubeck*, maire communiste de Mondelange (Moselle). Émile Béron, qui se présentait avec l’étiquette de « socialiste indépendant », obtint au premier tour 6 695 voix sur 17 051 suffrages exprimés pour 17 481 votants et 19 675 électeurs inscrits. Il arrivait en tête devant A. Thomas qui obtint 5 081 voix et le candidat communiste qui totalisait 1 659 voix. François Rubeck se désista en sa faveur et il fut réélu au second tour en obtenant 8 817 voix contre 8 694 voix à A. Thomas.

Seul député Front populaire de la Moselle, il anima les grèves du mois de juin et participa notamment aux manifestations du 14 juin 1936 dans les vallées de l’Orne et de la Fentsch où il mena des cortèges de plusieurs milliers de personnes. Le 14 juillet 1936 il mena le cortège du Front populaire à Metz et prit la parole place de la République devant 5 000 personnes.
Il fut réélu conseiller général « indépendant de gauche » dans le canton de Hayange lors du renouvellement général d’octobre 1937 en obtenant au second tour 6 467 voix sur 10 012 suffrages exprimés. Au premier tour il avait rassemblé 4 397 voix sur 9 798 suffrages exprimés pour 10 090 votants et 12 220 électeurs inscrits et devançait notamment le candidat SFIO Rémi Jacobi* et le candidat communiste Lucien Jenevein* qui ne maintinrent pas leur candidature au second tour.

Il avait d’abord été élu le 24 janvier 1937 lors de l’élection partielle destinée à remplacer le maître de forge Guy de Wendel démissionnaire. Émile Béron avait été élu au second tour en obtenant 5 564 voix sur 6 628 suffrages exprimés pour 9 815 votants pour 12 102 électeurs inscrits.

Lors de l’avance allemande en juin 1940, Béron se réfugia au Chambon-Feugerolles (Loire). Le 7 juillet 1940, Émile Béron s’associa à la déclaration de Gaston Bergery dénonçant la IIIe République et réclamant un ordre nouveau, autoritaire et social. La déclaration appelait aussi à la réconciliation avec l’Allemagne. Cette adhésion au régime de Vichy ne le poussa toutefois pas à participer aux institutions de « l’État français ». Il fut des députés qui protestèrent contre l’annexion de la Moselle. Retiré à Leynes (Saône-et-Loire) en septembre 1940, il obtint un prêt du Crédit agricole (avec semble-t-il l’aide du député socialiste Henri Boulay*) et fit fructifier une ferme de 15 hectares, dont 8 de vignes. Objet de diverses dénonciations politiques, considéré comme germanophobe et accusé de ne pas livrer au ravitaillement général, il fut convoqué par le préfet de Saône-et-Loire en février 1943, qui le mit personnellement en garde contre toute tentative d’avoir une activité politique, le menaçant d’internement administratif. Les troupes allemandes vinrent deux fois l’arrêter en son absence (décembre 1943 et 1944), puis il entra dans la clandestinité.

À la libération le Jury d’honneur, dans sa décision du 22 septembre 1945 ne le releva pas de la peine d’inéligibilité, du fait du vote, le 10 juillet 1940, en faveur du projet de loi portant révision constitutionnelle et « Considérant qu’il s’est associé, en juillet 1940, à une motion qui préconisait une politique de collaboration ».

« Considérant que si, durant l’Occupation, l’intéressé à fait preuve de sentiments patriotiques, son action n’implique cependant pas une participation directe à la lutte contre l’ennemi ou l’usurpateur » (JO du 7 octobre 1945).
Le CDL à l’unanimité avait émis un avis défavorable à la levée de l’inéligibilité. Il avait été accusé par Charles Friedrich, secrétaire du syndicat de la métallurgie, d’avoir partie liée avec le chef du PPF Doriot.

Cette condamnation lui valut d’être souvent l’objet de violentes attaques des communistes mosellans. Le Conseiller de la république communiste Pierre Muller* l’attaqua ainsi dans sa profession de foi pour les élections législatives de 1951 : Émile Béron était présenté comme un « renégat de la classe ouvrière » et comme un collaborateur « encore inéligible pour trahison ». En 1965, L’Humanité d’Alsace et de Lorraine, dans un numéro spécial à l’occasion du vingtième anniversaire de la Libération, attaqua à nouveau l’ancien communiste en rappelant qu’Émile Béron affirmait avant-guerre « Munich, c’est la paix assurée pour une génération ».

Candidat « indépendant de gauche » aux élections cantonales des 23 et 30 septembre 1945 dans le canton de Hayange (Moselle), il obtint 1 347 voix sur 17 970 suffrages exprimés pour 19 121 votants sur 22 801 électeurs inscrits et arriva loin derrière le candidat communiste François Rubeck qui l’emporta au second tour.

Il se retira alors de la vie politique pour quelques années et ouvrit un cabinet de contentieux à Hayange se présentant comme “agent d’affaires”. Puis il milita au parti radical de 1951 à 1954, mais il en fut exclu pour ses tendances antimendésistes.

Il fut candidat suppléant aux élections législatives des 23 et 30 novembre 1958 dans la circonscription d’Hayange. Il se présentait comme suppléant du candidat indépendant de gauche. Ils obtinrent à peine 2 180 voix sur 40 022 suffrages exprimés pour 42 269 votants et 58 233 électeurs inscrits.

Il s’était marié le 19 juin 1920 à Basse-Yutz avec Marie-Élisaeth Nicolay, née le 15 novembre 1896 à Sarreguemines. Ils eurent trois enfants dont le premier, né en 1914, fut reconnu au moment de leur mariage.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article16458, notice BÉRON Émile par Étienne Kagan, Jean Maitron, Gilles Morin, Pierre Schill, version mise en ligne le 20 octobre 2008, dernière modification le 14 avril 2020.

Par Étienne Kagan, Jean Maitron, Gilles Morin, Pierre Schill

Émile Béron
Émile Béron
Assemblée nationale, Notices et portraits, 1936

ŒUVRE : Nous passerons du côté de l’Armée rouge, brochure, discours prononcé à la Chambre le 2 décembre 1930, 16 p. Extrait : « Nous, communistes, nous dirons aux soldats et aux marins de se servir des armes que vous leur donnerez pour se révolter contre leur propre bourgeoisie (Vives protestations) nous leur dirons de fraterniser et de passer dans les rangs de l’Armée rouge (Nouvelles exclamations). » cf. p. 13.

SOURCES : Arch. Nat. AL//5299 ; F7/13185 (la brochure), 19910564/11 ; 20050137. — Arch. Dép. Moselle, 23 Z 1, 24 Z 20 et 24 Z 21. — Arch. Jean Maitron. — Arch. Dép. Moselle : 301 M 75, 76 et 77, 303 M 56, 58, 76, 88 et 119, 24 Z 15, 16 et 44, 27 Z 10, 182 W 20, 1330 W 263. — Arch. Houillères du Bassin de Lorraine, Vt323—B26 et Vt421—B40. — Archives de l’Assemblée nationale : profession de foi de la liste communiste en Moselle pour les élections législatives de 1951. — Archives personnelles de Ralph Konopnicki. — Conseil général du département de la Moselle, Rapport du Préfet. Deuxième Session ordinaire de 1937, Metz, Paul Even, 700p. — Conseil général du département de la Moselle, Rapport du Préfet. Première Session ordinaire de 1938, Metz, Paul Even, 481p. — Le Messin, 6 mai 1935. — Metzer Freies Journal, 16 juin 1936, 14 et 15 juillet 1936. — Numéro spécial de l’Humanité d’Alsace et de Lorraine, « Resistance im annektierten Elsass und Lothringen », Strasbourg, janvier 1965, 64p. — E.L. Baudon, Les élections en Moselle, 1919-1956, Metz, 1956, 94p. — Henri Lorang, Luttes, Espoirs, Libertés. Les masses laborieuses de Moselle, 1789-1950, sd, 522 p. — Patrick Oreilly, Le référendum de septembre et les élections législatives de novembre 1958 en Moselle, mémoire de maîtrise d’histoire sous la direction de Jean-Claude Delbreil, Université de Metz, 1979, 287p. — Philippe Robrieux, Histoire intérieure du parti communiste, tome 1, 1920-1945, Fayard, 1980, 583p. — Gérard Diwo, Le communisme en Moselle (1925-1932) à travers les élections législatives d’avril 1928 et de mai 1932, mémoire de maîtrise d’histoire sous la direction d’Alfred Wahl, Université de Metz, 1983, 176p. — Marc-Pierre Gontard, Le Francisme en Moselle (1933-1936), mémoire de maîtrise d’histoire sous la direction d’Alfred Wahl, Université de Metz, 1983, 123 p. — Didier Kompa, La formation du Front populaire en Moselle, 1934-1936, mémoire de maîtrise d’histoire sous la direction d’Alfred Wahl, Université de Metz, 1985, 173p. — Christine Ciavarella, Les élections législatives de 1936 en Moselle, mémoire de maîtrise d’histoire sous la direction de Jean-Claude Delbreil, Université de Metz, 1989, 220p. — Gérard Diwo, Les formations politiques en Moselle (21 octobre 1945-17 juin 1951), thèse de doctorat d’histoire sous la direction d’Alfred Wahl, Université de Metz, 1992, 2 tomes, 423 et 157p.Dictionnaire des Parlementaires Français, t. II, pp. 570-571. — L. Strauss, « Les militants alsaciens et lorrains et les rapports entre les mouvements ouvriers français et allemands entre 1900 et 1923 », Revue d’Allemagne, juillet-septembre 1972, pp. 465-479 ; — La Lorraine Ouvrière et Paysanne, — Le Populaire de l’Est. — Journaux cités. — Le Congrès de Tours, édition critique, op. cit. — Notes de Gilles Morin.

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