Par Michel Cordillot
Républicain et fervent patriote, Louis Melbourne offrit au comité de défense national mis en place sous l’égide de l’Union républicaine de langue française à New York en septembre 1870 de mettre ses talents de chanteur au service de la cause de la République envahie.
Par Michel Cordillot
SOURCE : Charles Clerc, Les Républicains de langue française aux États-Unis, 1848-1871, Thèse, Univ. Paris XIII, 2001, p. 360.