Par Michel Cordillot
Compagne d’Alfred Millon, Mme Millon fut durant de longues années une lectrice assidue et convaincue de La Tribune libre, puis de L’Union des travailleurs, journaux qu’elle lisait à haute voix à son mari illettré. En décembre 1912, quelques mois après le décès de ce dernier, elle fit parvenir à la rédaction de L’Union des travailleurs un soutien financier de 50¢ destiné à la souscription permanente.
Par Michel Cordillot
SOURCE : L’Union des travailleurs, 28 août 1913.