Par Michel Cordillot
Militant libertaire installé à Mystic (Iowa), Octave Monier versa son obole à la souscription organisée en mars 1895 au profit de L’Ami des ouvriers. Présent lors de la soirée familiale organisée quelques mois plus tard entre compagnons pour commémorer l’anniversaire du 11 novembre (exécution des martyrs de Chicago), il renouvela son abonnement en y ajoutant un petit versement pour aider le journal.
Rallié au socialisme, Octave Monier s’abonna à L’Union des travailleurs en janvier 1907. Il fut durant plus de six ans un lecteur fidèle de l’hebdomadaire socialiste francophone, renouvelant par avance son abonnement afin de l’aider financièrement.
Par Michel Cordillot
SOURCES : L’Ami des ouvriers, mars, 30 décembre 1895 ; L’Union des travailleurs, 10 janvier 1907, 1er février 1912 entre autres.