Par Michel Cordillot
Militant socialiste de Monessen (Pennsylvanie) sans doute proche de la mouvance syndicaliste-révolutionnaire, Charles Pagan assista au grand meeting de soutien aux travailleurs de Lawrence (Massachusetts) en grève à l’appel des IWW pour « du pain et des roses » qui se tint le 24 mars 1912 à Charleroi. Il récita à cette occasion un poème intitulé « La grève des forgerons ». Il fut également un des animateurs, avec Louis Goaziou et Étienne Barthelot, d’une grande réunion de propagande socialiste qui se tint à Monessen quelques jours plus tard.
Par Michel Cordillot
SOURCE : L’Union des travailleurs, 28 mars, 11 avril 1912.