Par Michel Cordillot
Militant socialiste demeurant à Cardiff (Alabama), A. Pontier écrivit en 1904 à la rédaction de L’Union des travailleurs pour dénoncer l’arrivée en masse de jeunes femmes acceptant d’effectuer durant 15 à 18 heures par jour un travail qui avait été refusé par les Italiens, et ce en chantant « L’Internationale » !
En 1909, A. Pontier se trouvait à Lyra (Texas). Il versa son écot à la collecte pour aider les mineurs français qui avaient été chassés de Hymera les Américains xénophobes. Il figura jusqu’en 1910 au moins sur la liste des abonnés de L’Union des travailleurs.
Par Michel Cordillot
SOURCE : L’Union des travailleurs, 21 janvier 1904, 15 juillet, 9 septembre 1909 entre autres.