RICHIR Grégoire [Dictionnaire biographique du mouvement social francophone aux États-Unis]

Par Michel Cordillot

Membre de la mouvance libertaire de Charleroi (Pennsylvanie), Grégoire Richir collecta 3 dollars 55 au profit de L’Ami des ouvriers en février 1896 après avoir chanté « La Commune immortelle ». Ses talents de chanteur le désignèrent tout naturellement pour animer la soirée de commémoration de la Commune de Paris qui fut organisée le mois suivant à Charleroi par le groupe anarchiste local.

Marié, Grégoire Richir était père de famille. Son fils Tom se blessa en tombant d’un arbre durant l’été 1898.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article165492, notice RICHIR Grégoire [Dictionnaire biographique du mouvement social francophone aux États-Unis] par Michel Cordillot, version mise en ligne le 30 septembre 2014, dernière modification le 30 septembre 2014.

Par Michel Cordillot

SOURCES : L’Ami des ouvriers, 15 février, 15 mars 1896 ; La Tribune libre, 25 août 1898.

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