VAURE François

Fils de François Vaure et de Antoinette Chassaing, François Vaure était marié à Antoinette Vernat, le couple avait deux enfants. Cultivateur à « La Baraque-Haute » d’Isserteaux, il y fut arrêté le 16 décembre 1943, lors de la grande rafle qui toucha 17 communes.

François Vaure fit partie des vingt patriotes « Morts pour la France » qui ont été fusillés au stand de tir du 92 e RI, à Clermont-Ferrand, le 20 décembre 1943, après avoir été torturés.
Son cercueil portait le numéro 19.
Reconnu Mort pour la France, il a été homologué déporté interné résistant DIR par décision du 2 avril 1958. Sa fille Hélène Chavarot était alors domiciliée à La Baraque d’Isserteaux.
Son nom est inscrit sur la plaque commémorative du stand de tir du 92e RI ainsi qu’à Isserteaux sur le monument aux morts et sur la stèle du hameau de la Baraque-Haute.

Les autres fusillés de la nuit du 20 au 21 décembre 1943 sont : Pierre Barnier, Roger Bonnet, Gaston Bonniol, Louis Cornuéjouls, René Coudert, Jean-Baptiste Delavet, Bruno Einstein, Lucien Erny, André Jaffeux, Gabriel Lacour,, Jean Laroche, Armand Léoty, Jacques Meunier, Jean Perrain, Paul Picard, François Pradier, Pierre Pottier, Paul Sabatier, Roger Sommevialle.

Son gendre Eugène Chavarot arrêté en même temps que François Vaure est mort en déportation le 17 juin 1945 à Terezin (Tchéquie).