FURDELLE ou FEURDEL Pierre.
Par Jean Neuville
Âgé de 26 ans en 1858. Terrassier, impliqué dans une action ouvrière à Jemelle (aujourd’hui commune de Rochefort, pr. Namur, arr. Dinant).
Pierre Furdelle est accusé dans un procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Marche (pr. Luxembourg, arr. Marche) du 5 avril 1858, d’être le coauteur des désordres survenus lors de la paie des ouvriers travaillant à la construction du chemin de fer à Jemelle. Le 1er juillet 1858, il est condamné à six jours de prison (le procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Marche l’orthographie FEURDEL).
Par Jean Neuville
SOURCE : BAYER-LOTHE J., Documents relatifs au mouvement ouvrier dans la province de Namur au XIXe siècle, IIe partie : 1849-1886, Louvain-Paris, 1969, p. 49-50 (Cahiers du Centre interuniversitaire d’histoire contemporaine, 57).