SAULEAU René, Robert, Auguste

Par Jacques Cousin, Jacques Omnès

Né le 30 avril 1908 à Ernée (Mayenne), mort le 9 novembre 1986 à Laval (Mayenne) ; secrétaire de mairie et instituteur mayennais ; secrétaire du Syndicat des membres de l’enseignement laïque de la Mayenne puis de la section mayennaise du SNI ; militant socialiste, adjoint au maire de Laval, conseiller général.

Son père était instituteur en Mayenne. René Sauleau fréquenta l’École normale d’instituteurs de Laval de 1923 à 1926. Il en sortit avec le brevet supérieur et fut d’abord nommé à Saint-Mars-sur-Colmont, puis successivement à Landivy, Brée et enfin Lesbois où il effectua l’essentiel de sa carrière. Il se maria le 2 août 1930 à Mayenne (Mayenne) avec une institutrice.
René Sauleau appartint au Syndicat des membres de l’enseignement laïque de la Mayenne, affilié à la CGTU, dès sa seconde année d’école normale, en 1925. Responsable du groupe de jeunes, il participa au congrès de la XVIIe Union régionale unitaire à Rennes, le 27 janvier 1929. Il partageait alors les positions de la Confédération, très liée au Parti communiste, mais s’éloigna de ce dernier dans les années suivantes. Élu au conseil syndical en 1930, il intervint au nom de la minorité oppositionnelle révolutionnaire à l’assemblée générale départementale du 17 juillet, sans toutefois préciser s’il approuvait ou désapprouvait les méthodes agressives de sa tendance au niveau national. En novembre de l’année suivante, il était administrateur du bulletin L’Emancipation. Son mandat fut renouvelé en 1932. Cette même année, Sauleau attaquait le Syndicat national dans L’Emancipation de mars. Il lui reprochait d’avoir couvert la répression dans les écoles normales et de n’avoir jamais défendu les intérêts des normaliens, ajoutant : « entre notre syndicalisme de lutte et de désintéressement et le syndicalisme de collaboration de classe du SN, les jeunes n’hésiteront pas, ils seront avec nous ». Le 19 octobre 1933, il fut désigné par l’assemblée générale du syndicat de l’enseignement pour reconstituer la commission pédagogique. Il remplaça Paul Gaumer au poste de secrétaire du syndicat des membres de l’enseignement laïque au cours de l’assemblée générale du 22 février 1934. Le même jour, mais dans l’après-midi, l’assemblée générale commune regroupant les adhérents des deux syndicats aboutit à la remise sur pied du Front unique. Cinq représentants de chaque syndicat furent désignés, dont Sauleau pour le compte du Syndicat unitaire. Il lança un appel à tous les syndiqués pour les engager à participer au meeting organisé par le Comité départemental antifasciste au palais de l’Industrie le 6 mai 1934). Commentant dans la revue syndicale le rapport par Laure Voyant du congrès de la Fédération unitaire à Montpellier les 4, 5, et 6 août 1934, il constatait que la résolution sur l’unité, présentée par la majorité fédérale et votée par 390 voix contre 37 à la motion Joseph Rollo (ligue syndicaliste) témoignait d’un complet accord entre la majorité fédérale et le syndicat de l’enseignement laïque de la Mayenne. Pour lui, l’unité était absolument indispensable, réalisable par un congrès de fusion des centrales syndicales autour de quatre bases : indépendance du syndicalisme, démocratie syndicale et reconnaissance des tendances, liberté d’opinion et d’expression, mais il soupçonnait la CGT de vouloir faire l’unité en essayant de désagréger la CGTU – dont il était membre du bureau départemental – par le grignotage de ses positions.

A l’assemblée générale du 11 octobre 1934, il entra à la commission pédagogique du syndicat unitaire. Quelques mois plus tard, au travers du compte-rendu de l’assemblée générale du 20 juin 1935, on apprenait que Sauleau était menacé de sanctions pour avoir adressé au ministre de la Guerre une protestation contre les deux ans du service militaire. Fort heureusement pour lui, la menace ne se concrétisa pas. Les quatre conseillers départementaux, tous du SN, ayant démissionné le 1er février 1935 afin de protester contre les sanctions frappant Gisèle Bernadou, une institutrice de Seine-et-Oise, Sauleau se présenta au scrutin suivant, en compagnie de trois camarades du syndicat unitaire. Ils furent battus par les candidats du SN.

A l’assemblée générale du 20 juin 1935, Sauleau, gravement malade, dut démissionner de son poste de secrétaire du syndicat unitaire au profit de Laure Voyant. Il continua cependant à militer et resta au conseil syndical.

Dans un article de L’Emancipation (novembre 1935), Sauleau exposait longuement ses positions sur l’unité syndicale qui venait de se réaliser. A son avis, la CGTU avait fait toutes les concessions et était venue sur les idées réformistes de la CGT. Mais, ajoutait-il, l’unité n’était viable qu’à plusieurs conditions :

- > Tout syndiqué doit absolument rester libre d’appartenir à un parti politique, à un groupement politique ou religieux quelconque, même si ces groupements s’occupent et discutent de questions syndicales.

- > Tout syndiqué doit avoir le droit absolu d’exprimer son opinion, soit par écrit dans les bulletins syndicaux, soit oralement dans les réunions syndicales.

- > Aucune exclusion pour délit d’opinion ne peut être prononcée. L’assemblée générale seule doit décider des sanctions à prendre et de leur application.

- > Les tendances, ou si l’on préfère, les majorités et minorités syndicales doivent avoir le droit de s’organiser.

- > La représentation proportionnelle dans tous les organismes du syndicat doit être une règle absolue.

- > Les cumuls doivent être interdits et les permanents syndicaux ne pas être rééligibles.

Une commission mixte composée de deux délégations de 10 membres chacune fut réunie le 24 octobre et le 21 novembre 1935 afin de préparer l’assemblée générale de fusion. Sauleau y assistait au titre de la délégation du syndicat unitaire. On y discuta âprement des futurs statuts du syndicat réunifié et notamment de la législation à laquelle on ferait référence : syndicat départemental s’appuyant sur la loi de 1884 ou loi de 1901 sur les associations ?

Le 14 novembre 1935, lors de leur dernière assemblée générale avant la fusion, les militants unitaires désignèrent Sauleau pour siéger en leur nom au futur CS avec six autres militants.

L’assemblée générale de fusion, elle-même, se déroula le 5 décembre 1935. Elle trancha en faveur de la loi de 1884. Sauleau y intervint longuement pour défendre la structure du syndicat départemental en opposition aux sections confédérées. Après l’adoption des statuts et la désignation des délégués au congrès national de fusion, les présents procédèrent à l’élection de la commission administrative comprenant 10 ex-SNI et 6 ex-unitaires. Sauleau et cinq de ses camarades furent effectivement élus au titre des ex-unitaires.

Lorsque, le 6 février 1936, le conseil syndical du SNI réunifié discuta son adhésion au conseil départemental du Front populaire, René Sauleau, alors délégué à la propagande, demanda que l’adhésion se fasse avec réserve : il considérait comme insuffisant le programme du rassemblement populaire, reprochant à ce dernier de n’être pas « un front de classe prolétarien » mais « une alliance du prolétariat avec la petite bourgeoisie ».

Deux ans plus tard, au conseil syndical du 7 janvier 1937, Henri Mitard déclarant ne pas vouloir renouveler son mandat de secrétaire général, Sauleau fut élu à ce poste au second tour par 9 voix contre 3. Il entra presque aussitôt en conflit avec la majorité nationale du SNI à propos de la représentation des minorités au bureau. La section demanda l’inscription à l’ordre du jour du congrès national la question de la représentation proportionnelle à tous les échelons du syndicat. La proposition fut repoussée une première fois. La polémique rebondit au conseil national de Pâques où Sauleau, représentant la Mayenne, s’opposa à André Delmas, secrétaire général du SNI. Celui-ci refusa tout net que cette proposition, anti statutaire, soit discutée. Sur ce point, la CA de la section persista dans son soutien à Sauleau, ajoutant même un ordre du jour de solidarité voté à l’unanimité moins une abstention.

En août 1937, Sauleau participa au congrès national du SNI à Paris, intervenant sur la question de la défense laïque et sur la représentation proportionnelle. Son mandat fut renouvelé en janvier 1938, non plus en AG, mais par un vote où chaque canton eut à élire son propre représentant. Le conseil syndical du 13 janvier procéda au renouvellement annuel de son bureau. René Sauleau qui avait obtenu 6 voix au premier tour de l’élection au poste de secrétaire général, demanda que l’on ne vote pas pour lui au second tour. Louis Rouillet fut élu à sa place, Sauleau ne gardant que le secrétariat de la commission éducation sociale.

Toujours très attentif aux problèmes internationaux, Sauleau fit voter, le 10 mars 1938, une motion unanime soutenant la politique d’embargo des armes à destination de l’Allemagne et une autre de protestation contre les procès de Moscou. Élu peu après au conseil départemental de l’enseignement primaire, il en démissionna immédiatement pour protester contre « l’affaire Weiss ». De plus en plus inquiet des progrès communistes au sein de la CGT, Sauleau, dans une tribune libre consacrée au congrès de la Confédération (La Voix syndicale, juin 1938), rappela qu’il était partisan, avec ses amis de l’École émancipée, de « l’indépendance organique du syndicalisme » par rapport aux partis.

Le secrétaire général national Delmas, qui avait été très critiqué par Sauleau, assistait en personne à l’assemblée générale de la section du SNI, le 30 juin 1938, Micard y accusa la majorité départementale, de tendance École émancipée et conduite par Sauleau, de former une tendance organisée, dressée contre le bureau national du SNI. Sauleau et son équipe furent mis en difficulté sur le vote du rapport moral national par 85 voix contre 39. A l’assemblée générale de la section, le 6 octobre suivant, Mitard et trois autres militants démissionnèrent de leurs postes respectifs au bureau, en application de l’article 5 du règlement intérieur qui stipulait que ce dernier devait revenir à la majorité. Sauleau abandonna le secrétariat de la commission éducation sociale et Brunet de celui de la commission pédagogique. Ils rendirent Micard responsable de leur démission, l’accusant de jouer sa carte personnelle.

Quelque temps auparavant, en août 1938, présent au congrès de Nantes de la CGT, Sauleau avait participé au chahut organisé par la minorité à l’arrivée de Léon Jouhaux.

Sauleau et sa femme figuraient parmi les 22 signataires de l’appel à la grève du 30 novembre 1938, lancé en direction de leurs collègues mayennais. Cette grève, décidée le 25 novembre par un comité confédéral de la CGT pour protester contre les décrets lois Reynaud, connut un échec cuisant pour le syndicat. Seuls 45 instituteurs mayennais suivirent le mot d’ordre et furent sanctionnés par une perte de 8 jours de traitement. La section du SNI lança alors une vaste opération de solidarité en leur faveur. Néanmoins, l’échec entraîna des conséquences importantes pour le fonctionnement de la section. A l’assemblée générale du 15 décembre 1938, Sauleau déclara avoir repris la classe l’après-midi, après réception du télégramme envoyé par Rouillet aux syndiqués leur rendant leur liberté d’action. Pour lui, ce télégramme équivalait à un ordre de reprise du travail. Rouillet démissionna de son poste de secrétaire général. Sauleau réclama la démission de Letessier, un autre membre de la CA qui n’avait pas respecté le mot d’ordre après avoir été menacé de sanctions par l’inspection académique. A l’AG, le renouvellement de la commission administrative se fit dans la confusion, les minoritaires ayant quitté la salle. Sauleau de nouveau candidat, fut élu en même temps que cinq autres ex-unitaires, mais n’obtint aucune responsabilité dans le bureau.

Sauleau, qui militait au Parti socialiste SFIO depuis 1930, était secrétaire de la section locale et membre de la commission exécutive départementale. Il assistait au congrès fédéral préparatoire au congrès de la SFIO à Nantes. Ses positions pacifistes l’amenèrent, le 21 mai 1939, à voter pour la motion Paul Faure. La motion Blum, plus ferme à l’égard de l’Allemagne hitlérienne, obtint la majorité avec 53 mandats contre 21.

Il fit partie du conseil syndical provisoire mis en place le 5 octobre 1939 et complété au fur et à mesure des mobilisations. Sauleau participa activement à l’accueil des réfugiés espagnols en hébergeant deux familles chez lui à Lesbois.

Mobilisé en avril 1940, Sauleau fut fait prisonnier en juin de la même année. Il s’évada à Vannes en novembre, mais ne reprit sa classe qu’en janvier 1942.

Le 13 décembre 1940, comme tous les autres signataires de l’appel à la grève du 30 novembre 1938, Sauleau et sa femme furent frappés d’un blâme pour activités extra-scolaires illicites, par le préfet. Il fut arrêté par la Gestapo « pour attitude anti-allemande », interné à Laval d’abord, dans la nuit du 2 août 1942, puis au Mans et libéré de prison dix jours plus tard, grâce à l’action conjuguée de Tanton, inspecteur primaire de la circonscription, d’Emile Goupil et de Maurice Michineau, syndicalistes du SNI.

Une petite équipe d’instituteurs, dont Sauleau, relança les activités de la section syndicale du SNI aussitôt après la Libération. Désigné pour faire partie du bureau provisoire lors de sa constitution le 12 octobre 1944, il fut réélu à la commission administrative provisoire lors de l’assemblée générale de la section le 21 décembre 1944.

Sauleau, secrétaire de la commission des prisonniers, présenta les revendications du syndicat en faveur des prisonniers de guerre à l’assemblée générale départementale du 22 mars 1945. Il y réclamait notamment que les années passées en captivité soient comptées double dans leur ancienneté de service, des promotions au choix pour tous, une possibilité d’anticipation pour leur départ à la retraite proportionnelle au nombre d’années de captivité, des facilités de titularisation pour les collègues intérimaires. Elu à la commission administrative lors de l’assemblée générale du 21 décembre 1944, Sauleau fut confirmé dans son mandat le 8 novembre 1945 par 387 voix sur 426 suffrages exprimés. Quelques jours plus tard, le 26 novembre 1945, il obtint un siège au conseil départemental de l’enseignement primaire sur la liste du SNI par 187 voix sur 198 votants. Il se présenta de nouveau aux suffrages des adhérents lors de la consultation du 16 octobre 1947 et fut une nouvelle fois réélu au conseil syndical.

Sauleau assista à la réunion du conseil syndical du 8 janvier 1948 qui faisait suite à la scission au sein de la CGT. Il intervint longuement en faveur de l’autonomie du SNI dans la Fédération de l’Éducation nationale et pour rappeler la situation dramatique dans laquelle se trouvait le mouvement syndical. Il se déclara contre le cumul des fonctions syndicales et politiques et estima que la scission s’était produite parce que certains militants avaient transposé sur le plan syndical les luttes de partis. A son avis, organisés et animés d’une foi ardente, les communistes contrôlaient la plupart des unions et fédérations départementales. Pour lui, la scission se produisait au pire moment où, d’une part, se créait une troisième force et où le RPF pénétrait dans les usines. Il estimait que la scission était une véritable défaite du syndicalisme et de la classe ouvrière. L’autonomie lui apparaissait comme le seul moyen de sauvegarder l’unité du syndicalisme universitaire, à condition cependant de laisser aux syndiqués la possibilité d’adhérer à la tendance de son choix : tendance communiste, tendance ouvrière, tendance Front ouvrier. Il appuyait ainsi la position d’Henri Micard et d’Émile Goupil partisans, eux aussi, de l’autonomie, avec possibilité pour chacun de prendre sa carte confédérale à la centrale syndicale de son choix.

Tous les conseillers syndicaux ayant démissionné le 24 juin 1948, la section présenta une seule liste aux élections qui suivirent, le 27 octobre. René Sauleau vit son mandat une nouvelle fois reconduit. Aux élections de novembre 1948, organisées pour le renouvellement de la commission administrative paritaire départementale, la liste du SNI où figurait Sauleau, recueillit tous les sièges. Il en fut de même pour les élections au conseil départemental de l’enseignement primaire en novembre 1951, Sauleau obtenant pour sa part 289 voix sur 294 suffrages exprimés et pour celles à la commission administrative paritaire en avril 1952 (766 voix sur 786 exprimés). Ses fonctions à l’exécutif de la section syndicale furent reconduites le 18 novembre 1952, puis en 1954. Sauleau fut constamment réélu, soit en position de suppléant, soit comme titulaire, de 1956 à mars 1965, date à laquelle il ne demanda pas le renouvellement de son mandat de conseiller syndical.

Lors de l’assemblée générale du 21 juin 1956, Sauleau vota contre le rapport moral national à cause de l’orientation de la tendance majoritaire vis-à-vis de la question algérienne. Il estimait en outre que le SNI était en train de se couper des masses ouvrières en faisant trop de corporatisme et de catégorisation. Le conseil syndical, par 11 voix contre 6, proposa dans le supplément n° 3 de La Voix syndicale de mars-avril 1957, une modification des statuts de la section qui introduisait le recours au vote par correspondance. Ce changement dépossédait en fait les assemblées générales de leur souveraineté pour le vote sur le rapport moral et les motions d’orientation en vue des congrès. Sauleau protesta bruyamment, estimant qu’il s’agissait d’une attaque caractérisée contre le courant de l’École émancipée. Quesne, le secrétaire général de la section, jugea qu’il y avait suspicion à son égard et remit sa démission. Le 6 juin 1957, jour de l’AG, Sauleau revint à la charge, affirmant que le vote par correspondance enlèverait tout intérêt aux assemblées générales qui, à son avis, devaient rester souveraines. Le vote lui donna raison et la section départementale conserva son système de fonctionnement initial.

Sauleau fut réélu à la commission administrative paritaire départementale en 1958 et 1961 sur la liste unitaire présentée par la section mayennaise du SNI ainsi qu’au Conseil départemental de l’enseignement primaire. En 1961, il conserva son mandat de conseiller paritaire, mais ne se représenta pas au CD car il devait prendre sa retraite avant l’expiration de son mandat.

Après la guerre, Sauleau continua à militer activement au Parti socialiste SFIO et fut membre de la commission exécutive fédérale. En novembre 1969, il signa l’appel à participer au congrès de la nouvelle fédération du Parti socialiste et fut désigné comme suppléant de la commission exécutive fédérale. Il se présenta aux élections municipales le 14 mars 1971 sur la liste de gauche conduite par Robert Buron, ancien ministre du général de Gaulle et fondateur du mouvement objectif 72. Après son élection, Sauleau devint premier adjoint. Il effectua un second mandat, toujours comme adjoint, mais d’André Pinson cette fois-ci. Sauleau cumula cette charge, à la même époque, avec celle de conseiller général pour le canton de Laval nord-ouest. Accusé par l’opposition municipale d’avoir favorisé un candidat à un concours d’employé à la ville de Laval, il ne se représenta pas par la suite.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article172596, notice SAULEAU René, Robert, Auguste par Jacques Cousin, Jacques Omnès, version mise en ligne le 27 avril 2015, dernière modification le 26 mars 2021.

Par Jacques Cousin, Jacques Omnès

SOURCES : Arch. Nat., F60, 1554. — Arch. Dép. Mayenne, IW 2892, 221 J, La République ouvrière et paysanne, Le Travailleur unitaire, L’Emancipation de l’instituteur, L’Emancipation, L’Amical, Les Nouvelles mayennaises, La Voix syndicale. — Arch. OURS, fédération SFIO de la Mayenne. — Arch. Fondation Jean Jaurès, 12 EF 53. — DBMOF, 1914-1939, notice de J. Omnès. — Enquête et notes de Jacques Girault.

rebonds ?
Les rebonds proposent trois biographies choisies aléatoirement en fonction de similarités thématiques (dictionnaires), chronologiques (périodes), géographiques (département) et socioprofessionnelles.
Version imprimable