SCHMIEDT Georges, René

Fils de Gustave Schmiedt, employé de commerce, et de Jeanne, Léonie Poret, Georges Schmiedt était professeur délégué de mathématiques au collège de Sarrebourg (Moselle) à la fin des années 1930. Il épousa le 12 août 1939 à Fayence (Var) Georgette, Charlotte, Clémence, Marie Raybaud, sans profession.

Reçu à l’agrégation de mathématiques en 1946, il devint professeur au lycée Carnot de Dijon et enseigna par la suite en classe préparatoire scientifique. Militant du Syndicat national de l’enseignement secondaire, il appela à passer à la CGT-FO en 1948 et figura comme candidat aux élections à la commission administrative nationale sur la liste « C » des partisans de la CGT-FO, « Pour un syndicalisme indépendant et démocratique » en 1949 et 1950. Rallié aux « autonomes », il fut candidat sur la liste « A » des agrégés en 1951 ; il était en effet devenu secrétaire de la section académique (S3) de Dijon et le demeura jusqu’en 1962. Dans sa responsabilité, il montrait « beaucoup de tolérance à l’égard des militants des tendances autres que la sienne » (P. Lévêque). Il habitait 19, rue de la Toison d’or, puis 5, rue Louis Blanc à Dijon.

Retraité, il était responsable académique du GRES (Groupement des retraités de l’enseignement secondaire). Il résidait alors 80, rue de Talant à Dijon.