ROCHETTE Raymond, Claude

Par Pierre Chaumont

Né le 25 mai 1906 et mort le 26 décembre 1993 au Creusot (Saône-et-Loire) ; instituteur et artiste peintre des usines Schneider au Creusot devenues SFAC en 1949 puis Creusot-Loire en 1970 ; adhérent au SNI ; membre du PCF (1937 à 1939).

Examen de la température d’un four (1953)
Examen de la température d’un four (1953)

Né dans la maison familiale de La Marolle, Raymond Rochette passa toute sa vie à deux kilomètres du Creusot (Saône-et-Loire). Il était le deuxième enfant d’une fratrie de trois garçons. Tempérament original, son père, Louis Rochette, orphelin de mère très jeune, connut une enfance modeste. Bon élève, il fut repéré par Henri Schneider qui prit en charge une partie de ses études. Alors que son niveau scolaire lui permettait de devenir employé, il entra comme lamineur aux usines Schneider. Il termina comme responsable des achats et des ventes à la tôlerie. Il partit au front le 6 août 1914 et rentra en février 1915, « mobilisé à l’usine » pour travailler aux fabrications de guerre. Il s’était constitué une importante bibliothèque d’ouvrages encyclopédiques, de livres d’histoire, de sciences et de géographie. Sa mère, Françoise Limousin, était originaire d’une famille du Forez, employée dans les manufactures stéphanoises. Les deux familles, de milieu social comparable, destinaient donc leurs enfants au monde de l’usine. Dans cette famille très unie, Raymond Rochette passa une enfance campagnarde heureuse, proche de la nature morvandelle, mais proche aussi de l’usine creusotine. Depuis son rachat par les frères Schneider en 1836, le site industriel fut totalement marqué par l’empreinte de cette grande dynastie industrielle. Le système Schneider fut aussi un modèle de paternalisme. Travail, instruction, éducation, logement, santé, pratique religieuse, culture, rien n’échappait à l’emprise des industriels.

Raymond Rochette fit ses études primaires à l’école publique de la Marolle, puis à l’école Schneider. En 1919, certificat d’études en poche, il entra, comme la plupart des jeunes creusotins à l’École spéciale, fondée en 1883, qui préparait à un emploi à l’usine Schneider. Cet établissement, extrêmement sélectif formait, suivant le degré de réussite, à la hiérarchie de l’usine : ouvriers qualifiés, employés, techniciens, dessinateurs ou ingénieurs. En 1922, il quitta l’École spéciale, et après un an de cours complémentaire public, fut reçu premier au concours de l’École normale de Mâcon. Certes, devenir instituteur représentait pour la famille une promotion, mais c’est surtout l’attrait de la pédagogie qui motiva cet abandon d’une perspective de carrière à l’usine. À sa sortie de l’École normale, il effectua son service militaire au Maroc, dans les chemins de fer, à Rabat et Kenitra de novembre 1926 à février 1928.

De retour au Creusot, il enseigna un an à Autun (Saône-et-Loire) puis fut, à sa demande, nommé à l’école de la Marolle, la classe même où il avait appris à lire, à écrire et à compter à un kilomètre de la maison natale. Il y fit toute sa carrière, comme instituteur puis directeur, en charge d’une classe unique de garçons à deux niveaux : grande section de maternelle et cours préparatoire. Cette période de la vie de l’enfant le passionnait.

Il avait fait la rencontre de Rémy Boutavant, comme lui ancien élève du cours complémentaire du Creusot et de l’École normale de Mâcon. Adepte des méthodes Freinet, militant actif du syndicat unitaire dès 1930, Rémy Boutavant était entré au Parti communiste en 1934. Il fit adhérer Raymond Rochette en 1937. Deux ans après, les prises de position de Boutavant, refusant de dénoncer le pacte germano-soviétique, entraînèrent son exclusion du SNI. L’itinéraire politique des deux hommes divergea, Raymond Rochette quitta le PCF, Rémy Boutavant appartint à la direction fédérale du PCF de Saône-et-Loire puis devint député. Ils restèrent néanmoins amis.

Mobilisé d’août 1939 à juillet 1940, il reprit son poste au Creusot à la rentrée. À la suite du bombardement du Creusot, le 20 juin 1943, l’école de la Marolle fut transférée à quelques kilomètres, dans le village d’Antully (Saône-et-Loire). Le retour au Creusot se fit à la rentrée 1944. Passionné de pédagogie et praticien de la méthode Freinet son enseignement reposait largement sur l’observation de la nature et de la vie agricole environnante. Il fit de son école, qui allait porter son nom à partir du 6 octobre 1993, une sorte de foyer d’animation ouvert sur quartier, y organisant des expositions de peintres locaux jusqu’à sa retraite d’instituteur en 1961. Il se consacra alors entièrement à son œuvre artistique, tout en assurant quelques heures de cours de dessin au lycée Jean-Jaurès du Creusot.

Le 10 décembre 1941, Raymond Rochette avait épousé Andrée Rousseau, leurs maisons natales n’étant distantes que d’un kilomètre. Après avoir fait des études d’infirmière et d’assistante sociale à Suresnes (alors département de la Seine, devenu Hauts-de-Seine) puis à Bordeaux (Gironde), elle exerça son métier au Creusot. De cette union naquirent quatre enfants : Luc en 1943, cardiologue, Florence en 1944, directeur des ressources humaines à Arcelor, Olivier en 1946 et décédé en 1947, et Oliviette en 1948, psychanalyste. Les trois enfants reçurent de leur père une formation artistique et esthétique qui leur permit de développer une œuvre propre et d’exposer parfois avec lui. Sa fille, Florence, s’impliqua beaucoup dans l’inventaire, la conservation et l’étude de l’œuvre de son père.

Dès 1921, Raymond Rochette avait exécuté ses premières peintures à l’huile sur toile. Paysages du Morvan, scènes rurales, travaux à la ferme furent longtemps ses sujets de prédilection. En 1932, il participa à la création de la Société creusotine des Beaux-Arts dont il fut président de 1957 à 1972. Ce fut aussi sa première exposition au salon de l’Essor à Dijon. Il y figura régulièrement jusqu’en 1985. Au Maroc, il découvrit le pittoresque des scènes de la vie locale, et surtout l’omniprésence de la lumière. Cette immersion dans le monde de la couleur lui suggéra ses premières envies de peindre l’usine, « des hommes au travail, suant, rouges avec les énormes machines, la poussière et la vapeur », notait-il dans son journal le 1er décembre 1927. À l’école Schneider, Raymond Rochette avait appris le dessin industriel. Il réalisa de multiples croquis de pièces et de machines qu’il exécutait au fusain et rehaussé de blanc. Cette formation le prédestina à être un peintre d’usine : « Je n’ai pas appris à dessiner d’après les plâtres grecs, mais d’après des pièces de machines. J’aurais pu devenir peintre industriel ». Il suivit quelques cours de dessin, mais fut essentiellement un peintre autodidacte. À l’École normale de Mâcon, il rencontra le peintre régional Honoré Hugrel qui le mit en relation avec le peintre populiste Jules Adler (1865-1952), le « peintre des humbles ». Ce dernier avait séjourné au Creusot lors des grèves de 1899 qui lui inspirèrent le tableau « La grève au Creusot », qui, exposé au Salon de 1900, connut un énorme succès. Adler parraina le jeune artiste dès 1929 et ne cessa de lui prodiguer des conseils à la suite de leur première rencontre en 1935. Raymond Rochette proposa de l’aide à Adler lorsqu’il rentra de déportation, en 1945.

À l’âge de sept ans, Raymond Rochette avait visité avec son père l’usine Schneider. Il en garda le souvenir d’une fête : « Il y avait le bruit, le mouvement, le feu… Je prenais les ouvriers pour des danseurs. » Ce spectacle ne cessera le fasciner tout au long de sa vie. En 1936, Eugène Schneider présidant alors aux destinées de l’entreprise, il sollicita de la direction l’autorisation de peindre à l’intérieur de l’usine. Celle-ci lui fut refusée. Le secret industriel auquel s’ajoutait, en cette année 1936, la tension sociale, la perspective des nationalisations, la suspicion envers l’instituteur aux idées sociales justifièrent ce refus. La seule ouverture de l’usine consistait en des visites hebdomadaires, organisées par la direction et solidement encadrées, les visites du jeudi. Il était interdit de prendre des notes, d’esquisser un croquis et de parler aux ouvriers. À la suite de ce refus, il planta alors son chevalet sur la colline de la Marolle et peignit inlassablement l’usine à partir de ce point d’observation exceptionnel. Il enregistra ainsi la trace de l’évolution de la sidérurgie creusotine : la plaine des Riaux, lieu de l’implantation de l’usine à la fin du XVIIIe était en partie une friche industrielle, les derniers puits de mine avaient été abandonnés suite aux bombardements du Creusot. Les hauts-fourneaux retinrent l’attention du peintre mais ils étaient déjà inactifs depuis plusieurs années. Il renouvela cette demande en 1949 et obtint une réponse positive. Informé en premier, Adler en fut enthousiaste. Le premier tableau fut exécuté le 24 septembre. Charles Schneider alors à la tête de l’usine était sans doute plus sensible à la démarche artistique. Il avait épousé la petite-fille de Jules Guesde, comédienne. Surtout, le climat politique économique et social était très différent de celui de 1936. Le Creusot était alors une ville à reconstruire. Le site se transformait au rythme du renouveau industriel, recouvrait la pleine possession de ses moyens de production. Raymond Rochette n’en fut pas le peintre officiel, mais l’entreprise comprit le parti qu’elle pouvait tirer de ces représentations d’usines. Tout en conservant le contrôle, elle trouva en lui un spectateur crédible et doué du fait industriel. À la construction de matériel militaire succédèrent de grands projets d’infrastructure. Les paysages de l’usine se firent plus rares dans la peinture de Raymond Rochette et il se tourna davantage vers les machines et l’outillage industriel. Mais le peintre ne prétendit jamais donner une représentation complète des évolutions techniques de l’usine. Si Le Creusot fut la ville du chemin de fer, des locomotives, la représentation de ces ateliers de matériel de transport fut rare.

L’aciérie toute proche du Breuil (Saône-et-Loire), les laminoirs et la forge offraient un spectacle très lumineux avec une multitude de dégradés de couleurs chaudes et des possibilités diverses de clair-obscur. Les différentes étapes du laminage occupèrent une place importante dans sa production, en raison des souvenirs paternels, de la violence des contrastes colorés, mais aussi de la présence humaine : gestes précis des ouvriers et de leurs pinces au milieu des fils de métal en fusion. En effet, la représentation des ouvriers allait prendre une place plus importante.

L’intérêt de Raymond Rochette ne se limita pas à l’usine du Creusot. En 1962, il se rendit de Dunkerque (Nord) et consacra ses congés d’été à peindre les différentes étapes de la construction du gigantesque complexe sidérurgique, tournant important dans l’évolution de la sidérurgie française qui tentait de se sauver en se rapprochant de la mer et des matières premières. Il descendit aussi plusieurs fois au fond des mines de Blanzy (Saône-et-Loire) et en rapporta des paysages et des portraits de gueules noires » saisissants. Sa démarche s’inscrivit dans la durée. Plus de soixante-dix ans de peinture, dont trente-cinq consacrées à l’usine qu’il peignit régulièrement jusqu’au dépôt de bilan de Creusot-Loire en 1984. Jamais l’ennui ne sembla l’effleurer. C’est que, durant la période, l’entreprise du Creusot connut de profondes transformations dues aux évolutions techniques, et, à partir de 1970 aux commandes dans le domaine nucléaire. Nouvelles machines, nouveaux métiers, nouveaux gestes professionnels. Le regard du peintre se modifia et l’ouvrier y prit une place croissante. Le peintre ressentit le besoin de mieux souligner la maîtrise technique et les savoir-faire accumulés par des générations d’ouvriers. « Au départ, je m’intéressais surtout aux machines, pour les hommes, j’étais discret ». « Métallos », « Forgerons », « Pilonniers », « Constructeurs », « Chauffeurs », « Pelleteurs », « Soudeurs », « Meuleurs », « Fraiseurs », « Tréfileurs », « Puddleurs », « Burineurs » devinrent des titres récurrents de ses tableaux.

Il peignit aussi ces moments qui constituent le socle de la culture ouvrière : la pause, le casse-croûte, la chaleur du brasero, le piquet de grève. Ainsi s’établirent deux lignes de force dans son œuvre : d’un côté le gigantisme quelque peu idéalisé d’un monde titanesque et flamboyant, de l’autre une approche plus réaliste de la pénibilité de la vie ouvrière quotidienne. Cette représentation de l’ouvrier au travail amena une modification de la pratique du peintre. Alors que les œuvres d’usine sont peintes sur le vif, sans aucune retouche, il lui arriva, à partir des années 1950 de faire poser des ouvriers dans son atelier de la Marolle en bleu de travail ou tenue de protection pour les lamineurs, avec projections de lumières rouges et jaunes et diffusions de bruits de l’usine enregistrés.

La présence du peintre dans les ateliers ne fut jamais contestée, ni par l’encadrement, ni par les ouvriers. Il était l’un des leurs. Fiers de leurs réalisations, ils ne pouvaient que se sentir valorisés par l’intérêt que leur portait l’artiste. Si les paysages morvandiaux, les portraits de paysans et d’artisans se vendirent bien sur la ville, l’ouvrier creusotin restant proche de ses origines rurales, iI n’en fut pas de même des tableaux d’usine. Outre la taille de ces œuvres, le salarié de l’usine ne souhaitait guère retrouver sur les murs de sa maison l’évocation de sa vie de travail. Ces tableaux furent essentiellement achetés par l’État, les collectivités, les musées de villes industrielles et, sur le tard, par des membres de la famille Schneider.

La première grande exposition parisienne de tableaux « de l’intérieur des usines » eut lieu en 1951-1952 à la galerie des Saussaies. Charles Schneider et son épouse s’y rendirent. Ils empruntèrent même un tableau pour leur salon parisien. En 1961 il participa à l’exposition collective d’artistes bourguignons « Cyclopes 61- l’industrie et le travail inspirateurs des artistes » à Dijon (Côte-d’Or). Il obtint le premier prix Populiste en 1975, pour ses tableaux « Framatome-Creusot » et « Centrale thermique de Montceau », devint membre du jury populiste et en 1976 fut l’invité d’honneur du Salon populiste au musée du Luxembourg qui exposa quatorze tableaux d’usine.

Outre les très nombreuses expositions locales et régionales, en particulier lors du centenaire de sa naissance, une rétrospective des tableaux d’usine fut organisée en 1994, au siège d’Usinor, à la Défense puis en 2008 à la Fédération française de l’Acier à Paris. Cette même année se tinrent les expositions « Rochette, Industriemalerei aus Burgund » au musée industriel de Rhénanie à Oberhausen (Allemagne), ainsi que « Artistes et ouvriers » à l’Espace de la Tour à Mably (Loire). En 2009 des tableaux de RR figurèrent à l’exposition « Les ouvriers à l’usine » à Belfort. En 2010 Arcelor Mital organisa l’exposition « Rochette, l’usine » à son siège social à Paris. Des œuvres, « Chantiers et machines au regard des peintres : Maximilien Luce et Fernand Léger », furent présentées à Belfort pour le 130e anniversaire de l’implantation d’Alstom dans la ville et, « Le patron et l’ouvrier », au musée d’Histoire vivante de Montreuil en 2011-2012. En 2012, le Sénat présenta une trentaine de grands formats « Couleurs d’acier » au pavillon Davioud dans le jardin du Luxembourg à Paris. En 2014, se tint au Ministère du Travail et de l’Emploi l’exposition « Forges et forgerons ».

Après sa mort, l’œuvre considérable de Raymond Rochette, soixante-dix ans de peinture, plus de mille pièces, fut entreposée en plusieurs lieux. Dès 2003, plus de six cents tableaux furent installés dans le donjon du château de Saint-Sernin-du-Bois qu’il avait très souvent peint et qui était devenu musée Raymond Rochette. Dans cette commune joignant la Marolle, « son » village, où il fut enterré, il avait créé en 1975 l’association les Amis de Saint-Sernin qu’il présida jusqu’en 1992. Une centaine d’oeuvres rejoignit l’écomusée du Creusot-Montceau, et au moins autant restèrent dans la maison-atelier. À partir des années 2010, un travail systématique d’inventaire, de photographies et de conservation fut entrepris, mené à la fois par la famille, l’association des Amis de Saint-Sernin-du-Bois et l’académie François Bourdon au Creusot. Au sein de cette dernière, un groupe d’anciens « métallos » creusotins mena un travail technique d’identification des scènes d’usines représentées, un grand nombre de tableaux n’ayant pas de titre.

Raymond Rochette avait reçu les Palmes académiques et la médaille des Arts et Lettres.
« Mon art est un art social, il n’est pas fait pour moi, mais pour les ouvriers ».
« Demain, un jour, ce sera le témoin du travail de l’ouvrier dans la seconde moitié du XXe siècle. »

ICONOGRAPHIE :
Raymond Rochette, dessins, catalogue d’exposition temporaire, sous la direction de Bernard Clément, Écomusée Le Creusot-Montceau. 1997. — Henri Chazelle et Alain Dessertenne, Histoire de Saint-Sernin-du-Bois, illustrations de Raymond Rochette, Dôle, Éditions Henri Chazelle, 1984. — Catalogue raisonné de Raymond Rochette, Université de Bourgogne, IUT du Creusot et Écomusée Le Creusot-Montceau.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article174948, notice ROCHETTE Raymond, Claude par Pierre Chaumont, version mise en ligne le 10 août 2015, dernière modification le 13 août 2015.

Par Pierre Chaumont

Examen de la température d'un four (1953)
Examen de la température d’un four (1953)
Turbines Pelton (1962)
Turbines Pelton (1962)

ICONOGRAPHIE : Raymond Rochette, dessins, catalogue d’exposition temporaire, sous la direction de Bernard Clément, Écomusée Le Creusot-Montceau. 1997. — Henri Chazelle et Alain Dessertenne, Histoire de Saint-Sernin-du-Bois, illustrations de Raymond Rochette, Dôle, Éditions Henri Chazelle, 1984. — Catalogue raisonné de Raymond Rochette, Université de Bourgogne, IUT du Creusot et Écomusée Le Creusot-Montceau.

SOURCES : Françoise Jondot et François Roche Rochette, photographies Gérard Lavoillotte, Éditions LARC, Le Creusot, 1981. — Pierre Léger et Rémi Bretier, « Raymond Rochette. De la terre à l’usine », Vents du Morvan, juin 2005. — « Voir l’usine en peinture », Bourgogne Magazine, juin 2006. — Raymond Rochette Un coin d’atelier, catalogue de l’exposition du musée Rolin d’Autun juin-septembre 2013 établi par Florence Amiel-Rochette, Brigitte Maurice-Chabard, Jean-Philippe Passaqui. Entretien et visite de la maison-atelier de la Marolle avec Florence Rochette Amiel en mars 2015. — www.raymondrochette.fr. — Association bourguignonne des Amis du Maitron.

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