Par André Balent, Jean-Pierre Besse, Dominique Tantin
Né le 21 octobre 1920 à Laroque-d’Olmes (Ariège), mort en action le 11 août 1944 à Bélesta (Ariège) ; résistant FTPF.
Georges Férié résidait à Lavelanet (Ariège). Résistant, il avait intégré la 3101e compagnie des FTPF de l’Ariège.
Georges Férié trouva la mort peu après Émile Dussart au cours d’un combat contre les Allemands. Il fut tué par l’explosion d’une grenade à proximité du Pont du Prince, lors d’une embuscade tendue par les Allemands à un détachement de la 3101e compagnie des FTPF, à la suite d’une dénonciation par un paysan des environs de Bélesta.
Il fut homologué FFI et obtint la mention "Mort pour la France."
Leurs noms sont inscrits avec celui de Jacques Miquel* tué le 27 juillet 1944 sur une stèle commémorative, au bord de la RD 16, route de la Forêt de Bélesta, un kilomètre après le pont dit de Napoléon.
Son nom est inscrit sur le monument aux morts de Lavelanet.
Par André Balent, Jean-Pierre Besse, Dominique Tantin
SOURCES : .AD Ariège, 64 J 23, fonds Claude Delpla. — Claude Delpla, La Libération de l’Ariège, Toulouse, Le Pas de l’oiseau, 2019, 514 p. [pp. 177-180]. — MémorialGenWeb consulté par Dominique Tantin et André Balent (7 juillet 2109). — Notes de Jean-Pierre Besse.