ROUGERON Georges

Par Fabien Conord

Né le 6 janvier 1911 à Saint-Germain-des-Fossés (Allier), mort le 10 août 2003 à Commentry (Allier) ; plâtrier peintre, fonctionnaire communal ; socialiste SFIO ; secrétaire fédéral (1944-1955), président du Conseil général de l’Allier (1945-1970 et 1976-1979), maire de Commentry (1947-1989), sénateur de l’Allier (1959-1971).

Né à Saint-Germain-des-Fossés (Allier) le 6 janvier 1911, Georges Rougeron était le fils unique de Louis-Aimé Rougeron et de Françoise Méry, ancienne employée de maison. Son père fut l’un des fondateurs de la Libre Pensée dans l’Allier et de la société de secours mutuels « Les Travailleurs réunis ». Marié en 1904 à Bézenet (Allier), Louis Rougeron, artisan plâtrier-peintre, fut même élu conseiller municipal de Lapalisse (Allier) à l’occasion d’une élection partielle, mais démissionna peu après pour aller s’installer à Saint-Germain-des-Fossés, où naquit Georges Rougeron. Celui-ci, après l’obtention de son certificat d’études en 1924 devint apprenti puis compagnon plâtrier-peintre aux côtés de son père. C’est aux côtés de son père également que Georges Rougeron s’engagea en politique. En effet Louis Rougeron était un militant socialiste de longue date. En 1928, Georges Rougeron participait à la fondation des Jeunesses Socialistes de l’Allier ; et en octobre 1934, Marx Dormoy, député-maire de Montluçon, faisait de lui son secrétaire parlementaire mais aussi le secrétaire administratif de la fédération SFIO et le rédacteur en chef du [Combat social] (hebdomadaire de la fédération). Georges Rougeron devint secrétaire général adjoint de la mairie de Montluçon, à l’instar de René Ribière et de Raymond Tronche, autres éléments de la jeune garde de Dormoy. C’est muni de cette double filiation familiale et politique que Georges Rougeron entra en juin 1938 à la CAF (Commission Administrative Fédérale) comme suppléant, alors que Marx Dormoy et Louis Rougeron y étaient titulaires. Et en mai 1939, Georges Rougeron devint membre titulaire comme son père et Marx Dormoy, au titre de la motion Blum. Il fut également délégué au congrès de Nantes. Dans un courrier datant du 8 mai 1996, Georges Rougeron, qui évoquait rarement son père, reconnaissait avoir « appris auprès de [son] père l’engagement politique ». Georges Rougeron, marié en 1935 à Doyet (Allier) avec une jeune institutrice, Gabrielle Aubailly, était depuis 1936 père d’un garçon, Claude.

La guerre constitua un premier tournant dans la vie de Georges Rougeron : révoqué de la mairie de Montluçon en 1940 (au moment où la municipalité Dormoy fut démise de ses fonctions) il exerça quelques mois sa profession de plâtrier-peintre puis fut employé à l’hôtel de ville de Commentry où il diffusa, dès août-septembre 1941, les journaux clandestins Allen et Espérance. Arrêté le 1er octobre 1942 et interné au camp de Saint-Paul-d’Eyjeaux (Haute-Vienne), il en fut libéré « pour raisons médicales » en novembre 1943 et assigné à résidence. En 1944, Georges Rougeron, responsable du Parti socialiste clandestin dans l’Allier, fit paraître Le Réveil socialiste et devint secrétaire du CDL (Comité Départemental de la Libération) que présidait son camarade socialiste René Ribière, mais dont Georges Rougeron fut l’homme fort. Il tenta d’instaurer une gestion nouvelle de l’industrie montluçonnaise, à l’usine Dunlop notamment, dont le directeur fut démis de ses fonctions pour collaboration. Cette tentative d’une organisation sociale, et socialiste, peu étudiée encore, fut saluée par Benoît Frachon et constitua la période que d’aucuns ont appelé la « République de Montluçon ». La prise de contrôle du journal Le Centre par les socialistes montluçonnais, qui occasionna un long procès, en est un exemple.

À travers la mise en place des nouvelles institutions s’opérait une distribution des postes, alors que Marx Dormoy (assassiné en 1941) n’était plus là pour assurer un leadership incontesté. Georges Rougeron, secrétaire fédéral de la SFIO depuis 1944, et ancien secrétaire adjoint de la section de Montluçon avant 1939, fut élu conseiller général du canton de Commentry le 23 septembre 1945, dans le fief des Thivrier, dont Dormoy était le rival avant-guerre ! Simultanément, les anciens camarades de section de Georges Rougeron occupaient tous les mandats montluçonnais. La section de Commentry, orpheline depuis la mort d’Isidore Thivrier dans un camp de concentration et qui venait de subir un échec aux élections municipales du mois de mai face aux communistes, se trouvait en butte à des divisions internes et à une situation fragilisée ; certains militants firent alors appel à Georges Rougeron qui s’imposa très vite comme le leader du socialisme commentry. Son prestige était d’autant plus grand qu’il avait été élu président du conseil général de l’Allier en d’octobre 1945 (proposé comme candidat de la SFIO par Fernand Auberger au sein de la direction fédérale le 23 octobre). Georges Rougeron, qui était toujours rédacteur politique du Centre Républicain (successeur du Centre), devint ainsi le plus jeune président de conseil général de France. Lors du congrès de 1946, il entrait au Comité directeur de la SFIO, où il appartint jusqu’en 1947, date de son retrait, à la minorité de Daniel Mayer et Léon Blum, contre Guy Mollet. En octobre 1947 Georges Rougeron reprenait la mairie de Commentry au parti communiste et devenait, lui le passionné d’Histoire, le maire de ce qui fut en 1882 la première municipalité socialiste du monde.

Le 15 juin 1948, au congrès fédéral de Varennes-sur-Allier, Georges Rougeron, qui a été devancé par André Southon au premier tour, renonçait à solliciter l’investiture de son parti pour les élections au Conseil de la République afin, disait-il alors, de ne pas être en concurrence avec Fernand Auberger. Cette date marque le premier arrêt de son ascension. Toutefois Georges Rougeron qui, en 1948 toujours, avait eu une vive altercation avec le groupe communiste au conseil général à propos de la Révolution de 1848 et de l’héritage du XIXe siècle, demeura secrétaire fédéral jusqu’en 1955, date à laquelle il se retira et céda la place à Gilles Gozard. C’est face à ce dernier que Georges Rougeron a connu un autre échec en 1951, quand il briguait la tête de liste pour les élections législatives, obtenant seulement trente mandats contre cent-vingt à Gozard. Il fut en revanche désigné second de liste par cent-quarante-sept mandats. Or seul le premier de la liste fut élu… Georges Rougeron fut également candidat à la même place en janvier 1956 où il obtint, comme en 1951, le plus grand nombre de signes préférentiels. En revanche il devint, grâce au Conseil général, président de la SEB (Société d’Équipement du Bourbonnais) et de l’Office départemental de tourisme et de thermalisme. De plus, secrétaire général de l’Assemblée des présidents de conseils généraux, il représentait celle-ci à la Conférence européenne des pouvoirs locaux.

Une autre période cruciale de la vie politique de Georges Rougeron fut le début de la Ve République. Les circonstances du retour au pouvoir de Charles de Gaulle ont provoqué la colère et l’indignation de Georges Rougeron qui s’est révélé avec Fernand Auberger l’un des plus farouches opposants à la mise en place des nouvelles institutions. Ils appelèrent à voter « non » au référendum du mois de septembre, suivis par la majeure partie des conseillers généraux socialistes du département. Le 6 octobre 1958, Gilles Gozard, vieux rival de Rougeron et partisan de la Ve République, accusa Georges Rougeron d’avoir détourné deux voitures du conseil général à son profit : l’accusation, bien accueillie par les milieux proches du nouveau pouvoir, tomba quelques semaines plus tard, sans avoir obtenu l’effet escompté ; les élus socialistes sont restés fidèles à Georges Rougeron, dont l’intégrité était reconnue. Après cet épisode tragi-comique, Georges Rougeron continua à clamer son opposition au régime gaulliste, notamment grâce aux vœux politiques qu’il émettait au conseil général, dans un bras de fer permanent avec les préfets successifs : sous sa présidence, l’Allier fut le seul département à refuser des frais de représentation au corps préfectoral ! Parallèlement il reprit le contrôle de la fédération SFIO de l’Allier, faisant mettre Gilles Gozard en minorité au secrétariat fédéral (attribué à son vieux camarade Raymond Tronche) et devenant candidat de son parti aux élections sénatoriales au congrès organisé par ses soins à Commentry le 2 avril 1959. Mais la non-désignation de Fernand Auberger provoqua la candidature dissidente de celui-ci et c’est en sa compagnie que Georges Rougeron fut élu au Sénat le 26 avril, bénéficiant des suffrages communistes au second tour, et devançant ainsi son colistier officiel, le sénateur sortant André Southon, maire de Montluçon, qui fut battu. Cette consécration parlementaire renforça encore la domination de Georges Rougeron à Commentry où, réélu régulièrement depuis 1947, il a présidé à l’édification du barrage de Bazergues, mais aussi à l’extension des HBM, sans oublier des mesures sociales telle que la gratuité des cantines scolaires pour les enfants des grévistes en 1947-1948, ou encore des mineurs en grève d’octobre 1948 et de ceux des grévistes de Commentry-Oissel en mars 1950. Georges Rougeron dut faire face à la fermeture progressive des mines de charbon ; pour y remédier, il favorisa le développement de l’industrie chimique à Commentry (avec l’AEC, Alimentation Équilibrée Commentryenne, particulièrement). Aux élections municipales, il reprit l’alchimie de Marx Dormoy : affrontant comme lui le seul Parti communiste, il alliait le vieux noyau ouvrier socialiste et de nombreux artisans et commerçants, ce qui lui réussit, puisque sa liste fut constamment réélue au premier tour, ainsi que lui-même lors des élections cantonales. Rougeron avait d’ailleurs constitué une équipe soudée à ses côtés à la mairie, dont peuvent être cités son premier adjoint Louis Chavenon, Marien Neny, Camille Tourret, Fernand Lafanechère. Georges Rougeron a aussi voulu marquer sa fidélité à la « vieille maison » en demeurant à la SFIO en 1958, malgré son opposition au référendum. Ne rejoignant pas le PSA, puis le PSU, il souhaitait incarner la fidélité aux principes au sein du parti. Il s’adapta relativement bien au rapprochement avec le PCF tant qu’il n’eut pas à s’y plier à Commentry, puisque, outre l’entente tacite des sénatoriales de 1959, il décida de faire entrer un élu communiste à la Commission départementale en 1967. Georges Rougeron resta pour le moins sceptique à l’égard de certaines évolutions, et particulièrement au mouvement de mai 1968, qu’il critiqua vertement au Sénat le 19 mai 1971 ; l’autodidacte qu’il était dénonça « une agitation pseudo-gauchiste » dont « le débraillé » et les « injures aux professeurs » avaient affaibli selon lui l’école nationale.

Le troisième choix politique de Georges Rougeron, après l’engagement dans le socialisme (qu’il qualifiait d’ « acte de foi pour un idéal de justice ») et la fidélité en 1958 le conduisit une nouvelle fois à rester dans la « vieille maison » : en 1969-1970, la politique de rapprochement de la gauche divisa les socialistes de l’Allier et, en mars 1970, deux d’entre eux, Jean Nègre et Pierre Boulois renversèrent la présidence de Georges Rougeron au conseil général en faveur de la droite, au nom de l’anticommunisme qui a caractérisé la SFIO montluçonnaise. Rougeron dénonça cette attitude dans un courrier adressé aux élus locaux du département. Toute sa carrière s’est faite au nom de la SFIO : il a siégé au comité directeur fédéral de 1945 à 1969 et à la CEF du Nouveau Parti socialiste de 1969 à 1971. Il se retira de la direction fédérale au moment du congrès d’Épinay, mais n’en resta pas moins un militant très actif au sein de la section de Commentry. Sa fidélité inébranlable à son parti lui valut de perdre son mandat de sénateur face à Jean Nègre le 26 septembre 1971, défaite qui l’affecta fortement, ainsi qu’en témoigne sa correspondance. Georges Rougeron n’approuvait pourtant guère l’évolution récente : il avait adressé deux lettres à Pierre Mauroy (les 7 mai et 3 septembre 1969) pour exprimer son désaccord à propos de la stratégie du parti, et tint à conduire une liste socialiste homogène en 1971, liste élue dès le premier tour, avec 51 % des suffrages exprimés, face à deux listes (PCF et UDR), résultat qui confirma sa très forte implantation locale.

Georges Rougeron était dès cette époque considéré, eu égard à son ancienneté politique et à ses travaux historiques, comme « une sorte de conscience vivante du premier socialisme français » (Mazataud, 1988) ; mais malgré le quart de siècle passé à la tête du conseil général (1945-1970), sa carrière n’était pas encore terminée : président de la FDESR (Fédération départementale des élus socialistes et républicains) 1972-mai 1977, de la Fédération départementale des élus républicains d’avril 1972 à octobre 1977, président national de la Fédération des élus républicains dans le même intervalle, et encore président départemental des CVR (Combattants Volontaires de la Résistance) de 1974 à 1976, président intérimaire du Comité d’expansion économique de l’Allier de mai à octobre 1977, Georges Rougeron eut surtout la satisfaction de redevenir président du conseil général en mars 1976. Il céda la place au communiste Henri Guichon en 1979 mais demeura trois ans encore rapporteur de la commission de l’Economie publique et des Affaires générales, après avoir été proclamé président honoraire du conseil général en mars 1979. Georges Rougeron, membre du Conseil supérieur des Archives de France, présida le syndicat mixte du musée de Moulins de 1979 à 1982. Son amour de l’Histoire (il a publié depuis 1948 nombre d’articles et d’opuscules, ainsi que quelques ouvrages plus épais) fut récompensé en 1983, quand il fut reçu docteur en histoire dans l’enceinte de la faculté des lettres de Clermont-Ferrand pour son travail sur Le Bourbonnais sous la Troisième République, devant un jury présidé par René Rémond.

Georges Rougeron, qui avait déjà accueilli François Mitterrand en 1972, célébra en novembre 1982 le centenaire de la première municipalité socialiste du monde en présence du Premier ministre Pierre Mauroy. Un article paru dans Le Monde présenta le vieux maire socialiste comme un homme « mince, tranquille, discret », érudit local et héritier de la tradition, « le dernier des Marianneux » (du nom d’une société secrète républicaine du XIXe siècle). Georges Rougeron publia pour l’occasion une plaquette sur l’histoire politique de Commentry et fut décoré de la Légion d’honneur par Pierre Mauroy. Il était déjà titulaire de la médaille de la Résistance, des Palmes académiques et de l’ordre national du Mérite. En 1986, il eut la fierté d’accueillir pour la deuxième fois un Premier ministre en exercice dans sa ville, quand Laurent Fabius vint saluer celui qui restait pour nombre de collègues et de militants le « Petit frère ».

Le dernier mandat de Georges Rougeron fut quelque peu assombri par la maladie et il abandonna ses fonctions de conseiller général (en 1988) puis de maire (en 1989). Il détenait trois records de longévité : président du conseil général de l’Allier pendant vingt-huit ans (1945-1970 et 1976-1979), maire de Commentry (1947-1989, quarante-deux ans) et conseiller général (1945-1988, quarante-trois ans) ! À Commentry, dont il fut fait maire honoraire, le drapeau rouge a flotté durant tous ses mandats au balcon de l’Hôtel de ville le 18 mars et le 1er mai, tradition à laquelle Georges Rougeron fut toujours très attaché. Le 1er mai, il ne manquait d’ailleurs jamais de recevoir à la mairie les délégations syndicales et les représentants du PSOE (Parti Socialiste Ouvrier Espagnol) en exil, jusqu’à la fin du régime franquiste tout au moins.

Georges Rougeron, qui se félicitait publiquement en 1960 du succès de la Pétition nationale d’action laïque dans l’Allier, avait adhéré comme son père à la Libre Pensée. Il avait aussi été initié en franc-maçonnerie, à la loge « La Cosmopolite » (Grand Orient de France, Vichy) ; il a retracé dans Études Bourbonnaises l’histoire des loges de l’Allier (ou de la généralité de Moulins pour la période moderne) ; son appartenance y est mentionnée de manière discrète.

Georges Rougeron, dont le fils unique (candidat SFIO dans le canton de Lapalisse en 1964) est mort d’un accident de voiture en 1966, était veuf depuis 1998. Élu conseiller municipal de Bézenet en 1995, il s’était retiré à la maison de retraite de Commentry (où il n’avait jamais habité auparavant !) en 1998. Il est mort le 10 août 2003, toujours membre du Parti socialiste (doyen d’ancienneté de la fédération de l’Allier) et de la Libre Pensée. Le 23 septembre 2015, la municipalité de Commentry et la section locale du PS dédièrent de concert un buste et une allée à Georges Rougeron.

Si l’on devait résumer cette carrière d’autodidacte, ce serait par la fidélité au socialisme, par cet engagement qu’il qualifiait lui-même « d’acte de foi pour un idéal de justice ». Au-delà des contingences personnelles et des querelles politiques, Georges Rougeron a souscrit à l’engagement des militants qu’il a connu dans son enfance : il est resté fidèle et a gardé « la vieille maison ».

Fabien Conord

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article175417, notice ROUGERON Georges par Fabien Conord, version mise en ligne le 10 septembre 2015, dernière modification le 8 juillet 2021.

Par Fabien Conord

ŒUVRE : 70 ouvrages environ, dont : Le mouvement socialiste en Bourbonnais (1875-1944), 1946. — Croire au socialisme, intervention au 54e congrès du Parti socialiste SFIO, 1963. — Le destin du Socialisme, intervention au 55e congrès du Parti socialiste SFIO, 1965. — Quand Vichy était capitale 1940-1944, Roanne, Horvath, 1984. — Les consultations politiques dans le département de l’Allier ; le personnel politique bourbonnais (1789-1963) . — Les administrations départementales de l’Allier : Le Conseil général, Montluçon, Grande Imprimerie Nouvelle (4 tomes, 1945 à 1978). — Histoire de Commentry et des Commentryens, Charroux-d’Allier, Éditions des Cahiers du Bourbonnais, 1987…
Collaboration à : Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français (Jean Maitron) ; Nouvelle histoire du Bourbonnais (André Leguai (dir.), Editions Horvath)…

SOURCES : Arch. Dép. Allier, Fonds Georges Rougeron 26 J. — Arch. Dép. Allier Fonds SFIO 46 J 3-4, 46 J 23-24-25, 46 J 40-41, 46 J 43, 46 J 47-48,… . — L’OURS Cahier et Revue n° 181 et 187 (« Histoire du Parti socialiste SFIO »). — Arch.Mun. Montluçon 3 C 34 et 3 C 40. — Archives communales de Commentry 2 D 6. — Archives personnelles ; Entretiens avec Georges Rougeron. — Alain Rollat, « Le dernier des ‘Marianneux’ », Le Monde, 11 novembre 1982. — Pierre Gauthier, Un cas de longévité politique : Georges Rougeron à Commentry 1947-1989, rapport de stage, IEP de Grenoble, 1997-1998, 18 p. . — Georges Rougeron, Chronique des Rougeron ; notice de la 4e partie du DBMOF.

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