Né le 19 novembre 1845 à Foulquemont (Moselle) ; employé aux chemins de fer du Nord ; communard, déporté en Nouvelle-Calédonie.
Joseph Cap était veuf et père d’un enfant lorsque, pour avoir servi la Commune de Paris, il fut condamné, le 3 avril 1872, par le 26e conseil de guerre, à la déportation dans une enceinte fortifiée ; il arriva à Nouméa le 5 novembre 1872. Amnistié, il rentra avec le Navarin.
SOURCES : Arch. Nat., BB 24/830. — Arch. PPo., listes d’amnistiés. — Note de Louis Bretonnière.