TÉQUI André, Jean, Bernard

Par Jacques Debesse

Né le 8 septembre 1922 à Gentilly (Seine, Val-de-Marne), mort le 15 février 2005 à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne) ; ajusteur ; jociste à Gentilly (1935), requis à Berlin (1943-1945), responsable JOC du secteur Paris-Sud (1945-1949) ; syndicaliste CFTC à la SNECMA Kellermann (Paris XIIIe arr.), président du syndicat CFTC des ouvriers de la métallurgie de la région parisienne (1953-1958), secrétaire général de l’Union parisienne des syndicats de la métallurgie (UPSM-CFTC) de 1958 à 1963, membre du bureau et conseil de la FGM-CFTC (1952-1965), secrétaire permanent de l’URP-CFTC puis CFDT (1963-1987) ; co-fondateur et vice-président de la Fédération des associations de solidarité avec les travailleurs immigrés (FASTI) en 1967.

Fils de Jean Téqui, représentant de commerce en épicerie, et de Louise Carpentier, épicière à Gentilly, catholiques pratiquants de tradition familiale, André Téqui ne connu pas son frère qui mourut presque aussitôt après sa naissance en 1919. Il fréquenta l’école publique de Gentilly jusqu’au certificat d’études primaires obtenu en 1935. Assidu au patronage de la paroisse Saint-Saturnin de Gentilly, il fut contacté par la JOC après sa communion solennelle, en devint membre, porté par l’atmosphère des luttes de 1936, et surtout par l’apothéose jociste du grand rassemblement de juillet 1937 au Parc des Princes de Paris. En septembre 1937, il entra sur concours à l’usine Alsthom au 364 rue Lecourbe à Paris (XVe arr.) comme apprenti ajusteur, et acquit la qualité d’ouvrier professionnel en 1939. Il avait adhéré à la CFTC en 1938.
La France entrant en guerre, de nombreux responsables JOC furent mobilisés. André Téqui devint responsable de secteur en 1940. Bien que les mouvements de jeunesse aient été interdits par ordonnance du 22 août 1941, la JOC se maintint en zone occupée sous couvert d’action cultuelle de l’Église catholique. C’est dans ce contexte particulier qu’il organisa clandestinement des liaisons – courriers et colis – avec les prisonniers de guerre et leur famille. Il fut réquisitionné sur ordre des autorités allemandes pour aller travailler en Allemagne, avec une trentaine de ses camarades d’Alsthom. Fallait-il quitter la région parisienne clandestinement, ou partir pour continuer sa mission de jociste auprès des jeunes travailleurs en terre allemande ? Cette interrogation qui animait également des débats contradictoires dans toute la JOC, le tenaillait. Il finit par opter pour son départ en Allemagne, et la veille eut lieu une réunion de sa section jociste de Gentilly pour une dernière réflexion, et un soutien ponctué de prières. Jociste, il partait « en résistance », en Allemagne, aux côtés de milliers de jeunes travailleurs, contraints et forcés de travailler pour l’ennemi.

André Téqui fut requis, affecté le 23 janvier 1943 à l’entreprise AEG à Berlin. Il logea en baraquement dans un « lag » d’une centaine de lits superposés, sans aucune intimité, où ses objets personnels tels que courriers, carnets de notes contenant des adresses, des comptes rendus, des lieux de rendez-vous furent volés à plusieurs reprises. À Berlin, ainsi que dans d’autres provinces allemandes, en Thuringe notamment, la JOC et l’Action catholique regroupant des jocistes, scouts de France, séminaristes et aumôniers clandestins s’étaient progressivement organisées. La division en régions et secteurs de l’agglomération de Berlin, avec des équipes de responsables permettait la liaison avec les prisonniers de guerre. En lien constant avec Maurice Allézy, responsable du secteur est de l’Action catholique berlinoise, André Téqui fut directement impliqué dans des « trafics » de solidarité et l’organisation de réunions clandestines dans les bois environnants, assurant par surcroît une vie spirituelle intense. Il seconda le jésuite Jean de Roton, choisi comme aumônier par les prisonniers du stalag IIID. À l’insu des Allemands, il fabriqua un ostensoir fait de pétales d’aluminium sertis en leur centre d’une bague d’or (cet ostensoir a été légué à l’église de Chantennay en Vendée, paroisse du père René Giraudet, aumônier de l’Action catholique clandestine de Berlin, mort des suites de son internement, au lendemain de son retour en France). Le 3 décembre 1943, le document officiel de la direction de la sûreté du Reich « IV BI – 1255/43 » annonçait la dissolution des groupes de l’association « Jeunesse ouvrière chrétienne » animés de sentiments anti-allemands, et leur interdisait toute activité. L’action de la JOC à Berlin continua, dès lors plus difficile, encore plus clandestine, mais des amitiés s’étaient scellées avec de jeunes ouvriers allemands. Dès que ses amis étaient arrêtés, André Téqui, avec ses camarades d’AEG, confectionnait et arrivait à leur faire parvenir des colis. Il fut mis aux arrêts, conduit à la Gestapo pour interrogation, puis relâché sans qu’il s’expliqua pourquoi, alors que 17 autres responsables étaient arrêtés et soumis à d’incessants interrogatoires, dont ses proches amis Lucien Croci et Fredo dall’Oglio* qui moururent en déportation.

À la suite du siège de Berlin par l’armée soviétique et d’incessants bombardements, le mardi 27 février 1945, l’usine AEG était en feu. Le 3 mai 1945 les Russes se battaient dans la rue face au lag et le 5 mai l’armée soviétique occupait les lieux. André Téqui revint en France le 25 mai 1945 et le 6 juin, à Gentilly, la fête en famille battait son plein.

La reprise de contact avec la JOC fut immédiate. Il fut chargé de la branche aînée à la fédération de Paris sud-est, puis devint responsable fédéral de Paris sud jusqu’à son mariage en 1949. C’est au cours de cette période, par ses contacts directs au siège de la JOC de l’avenue Sœur-Rosalie à Paris (XIIIe arr.), voisin de Gentilly, qu’il fit la connaissance des permanents et dirigeants nationaux tels que Toni Scarsetto, René Delécluse, André Demonchaux, René Salanne, Eugène Descamps, ainsi que Gérard Espéret lors de sessions de formation à l’Université populaire de Marly-le-Roi (Seine-et-Oise, Yvelines). Dans l’intention de rejoindre de jeunes apprentis défavorisés, il s’engagea comme enseignant en mécanique chez les « Orphelins apprentis d’Auteuil », dont il fut rapidement éconduit pour causse d’appartenance syndicale. Après d’autres emplois en plusieurs petites entreprises de banlieue, il fut embauché en 1947 à la Snecma du boulevard Kellermann à Paris (XIIIe arr.).

André Téqui prit une part active au sein du Comité d’entreprise de la Snecma, issu des « Comités mixtes à la production » dans l’aviation, édictés en 1944 par le gouvernement provisoire du général de Gaulle. En 1948, il devint secrétaire de la jeune section syndicale CFTC à laquelle il voulu donner une réelle efficacité grâce à son implication profonde dans le syndicat CFTC des ouvriers de la métallurgie parisienne. Il devint lui-même, en 1951, vice-président de ce syndicat, puis président en 1953. Il fut d’un apport essentiel, au côté de Roger Gillot, secrétaire général de l’Union parisienne des syndicats de la métallurgie (UPSM-CFTC) pour un travail de révision et d’amélioration de la convention collective de la métallurgie en région parisienne du 16 juillet 1954. Au cinquième congrès de l’UPSM des 3 et 5 décembre 1955, André Téqui, alors vice-président de l’UPSM, présenta une note intitulée « le renforcement de l’action dans l’entreprise ». Au sixième congrès de l’UPSM des 7 et 8 décembre 1957, il exposa son rapport « Salaire et pouvoir d’achat, bilan de sept années d’accords et de salaires » et fut élu président de l’Union. En 1958, André Téqui devint secrétaire général de l’UPSM pour succéder à Roger Gillot, remplaçant de Pierre Forray, président démissionnaire de l’Union régionale parisienne (URP-CFTC), et de plus, appelé à former un tandem avec Robert Duvivier venant de l’UD d’Ille-et-Vilaine pour redonner une dynamique d’action syndicale et conforter les « minoritaires » favorables à la déconfessionnalisation de la CFTC, dans la région parisienne.

L’UPSM, était née en 1949, sur la nécessité d’une union des syndicats catégoriels (ouvriers, employés, agents de maîtrise, et cadres) pour permettre l’action revendicative unifiée dans la métallurgie. Cinq secteurs industriels étaient en outre définis (l’automobile, la mécanique, la construction électrique, l’aéronautique et la BJO). Les responsables n’en continuaient pas moins leur réflexion vers une organisation d’industrie, au diapason de la fédération de la métallurgie (FGM-CFTC), dont les branches industrielles faisaient l’objet de rapports à ses congrès, à partir de 1954. C’est sous la responsabilité du secrétaire général André Téqui que le huitième congrès de l’Union (25 et 26 novembre 1961) décida le remplacement des syndicats catégoriels par de nouveaux syndicats régionaux, toutes catégories réunies, du manœuvre à l’ingénieur, dont les congrès constitutifs eurent lieu en 1962 et 1963 (le SGTA pour l’automobile, le STMG pour la mécanique générale, le SCEE pour la construction électrique et électronique, le SPIA pour l’aéronautique, la BJO – bijouterie joaillerie – existait déjà). André Téqui fut secrétaire général du SPIA à sa création et son expérience aéronautique acquise à la Snecma le conduisit à organiser la branche aéronautique nationale sous couvert de la FGM et devenir le responsable de l’Union fédérale des industries aéronautiques (UFIA) à sa création en mars 1961. Il avait été élu au bureau de la FGM-CFTC lors du congrès fédéral de Nantes (septembre 1952). Son élection sur mandat du syndicat des ouvriers de la métallurgie parisienne avait été renouvelée successivement à tous les congrès fédéraux, jusqu’à celui de Paris (décembre 1958) où il présenta un rapport sur la branche aéronautique, et où il fut de nouveau élu au bureau fédéral, mais cette fois, mandaté par l’UPSM. Au congrès de Lyon (octobre 1960), il exposa le rapport « programme d’action », préparé par un groupe de travail, au nom du bureau fédéral, et fut désigné, comme à celui de Vincennes-Paris (décembre 1962) par la branche aéronautique pour siéger au Conseil fédéral.

En cette période cruciale pour la CFTC où la déconfessionnalisation était au cœur des débats dans toutes les structures, et notamment dans les régions avec de vifs affrontements entre syndicats, André Téqui, fervent partisan de l’évolution, quitta l’UPSM pour rejoindre le secrétariat de l’Union régionale parisienne (URP-CFTC) en septembre 1963, où il allait retrouver son ami Roger Gillot et des connaissances de la JOC, dont Louis Moulinet et Toni Scarsetto. Il fut chargé du fonctionnement interne de l’Union et représentait l’URP dans des organismes paritaires. Il avait déjà participé à la mise en place de l’Assurance chômage le 31 décembre 1958, et était administrateur au GARP. Pour le congrès de l’URP à Argenteuil en mars 1963, lui avait été confiée la rédaction d’un dossier intitulé « nos responsabilités syndicales », à partir des résultats des élections de la Sécurité sociale. Il présenta le document au congrès, qui recueillit un accord unanime. L’URP avait décidé dès 1964 de siéger au Comité consultatif économique et social (CCES) de la région parisienne afin d’être partie prenante de l’aménagement du territoire qui fit l’objet du schéma directeur en 1965. André Téqui fut désigné pour y porter les exigences de la CFDT régionale, en devint membre (1968-1974) et secrétaire du bureau (juin 1970-avril 1973). Mandaté par la CFDT, il fut sociétaire de la Société coopérative de consommation « Chèque coopératif pour la restauration », dès sa création par Georges Rino le 28 mai 1964, permettant l’émission de « chèques déjeuner » le 16 novembre. Il fut membre du Conseil d’administration de la société de juin 1974 à mai 1995. Sensibilisé par les problèmes du cadre de vie, il fut d’un apport essentiel dans l’organisation des actions syndicales et des contacts avec les pouvoirs publics pour l’obtention de la carte unique de transport payée par l’employeur. 500 000 tracts furent distribués sur la voie publique parisienne pour informer du projet que la CFDT voulait faire aboutir. Le titre de transport unique en région parisienne fut instauré en 1975 et son paiement pour moitié par l’employeur en 1982. Dans un tout autre domaine, il était parti au Zaïre avec Jean Lannes, en novembre et décembre 1965, dans le cadre des activités de l’ISCTI (institut syndical de coopération technique internationale) pour aider l’UTC (Union des travailleurs congolais) à la mise en place de formations syndicales. De retour en France, la famille Téqui accueillit durant un mois S. Kalala, un des leaders de l’UTC. Organisateur hors pair, clairvoyant et avisé, pierre angulaire de l’équipe du secrétariat régional, dont le calme et la disponibilité favorisaient la cohésion, André Téqui quitta ses mandats de secrétaire régional en 1987, en restant conseiller très apprécié.

L’activité syndicale débordante d’André Téqui n’occulta pas sa préoccupation de plus en plus prégnante de l’exploitation de milliers d’immigrés, main-d’œuvre bon marché, déracinée, appelée au développement industriel français durant les « Trente glorieuses », d’autant qu’il était témoin de la misère des immigrés dans les bidonvilles de Champigny-sur-Marne (Seine, Val-de-Marne), voisins de son domicile de Villiers-sur-Marne (en 1964, le « grand village portugais » de Champigny comptait plus de dix mille ressortissants fuyant le sous-développement, la guerre coloniale et la dictature de leur pays). Avec des amis du voisinage, il fonda en octobre 1964 l’Association de solidarité avec les travailleurs étrangers (ASTE), dont il fut président, destinée quasi exclusivement aux habitants des bidonvilles de Champigny, dans le but de les aider, les conseillers, les guider pour faciliter leur accession à des conditions de vie normale, tant du point de vue matériel, que sur le plan psychologique, social et culturel, et contribuer à leur intégration dans la société française. Malgré les interventions multiples auprès d’autorités préfectorales et gouvernementales, le 13 février 1966, l’évacuation brutale et sauvage par la police des baraques du sentier des Pendants provoqua une mobilisation au plan local et national, telle la conférence nationale de la CFDT des 26 et 27 mars 1966, ouverte par Eugène Descamps, à laquelle participèrent Georges Levard, René Salanne et Gérard Espéret. Dès lors, la conviction d’André Téqui était faite, que seul un groupe national de pression pouvait rétablir une démocratie urbaine soucieuse des droits de l’homme. Il s’investit dans un effort de coordination des ASTI (Association de solidarité avec les travailleurs immigrés) dans la banlieue parisienne, et trouva un appui de poids en son ami François Geoffroy*, fondateur de la première ASTI, après l’incendie du bidonville de Chatenay-Malabry (Seine, Hauts-de-Seine) en 1960. Le congrès constitutif de la Fédération des associations de solidarité avec les travailleurs immigrés (FASTI) se déroula à Nanterre (Seine, Hauts-de-Seine) le 25 juin 1966. Au premier conseil de la FASTI, le 22 février 1967, regroupant une soixantaine d’ASTI (dont l’ASTE de Champigny), François Geoffroy fut élu président et André Téqui vice-président avec Geneviève Peron. Après la destruction du bidonville de Champigny en octobre 1967, la dynamique impulsée par André Téqui se prolongea par la création en 1978 de l’association d’amitié franco-portugaise à Villiers-sur Marne, de l’Office municipal des migrants en 1982, qu’il anima avec René Delécluse adjoint au maire de Villiers-sur Marne, de l’Association municipale interculturelle et de solidarité (AMIS) en 1984 (devenue Association multiculturelle d’initiatives et de solidarité en 2002 ), puis à la demande des habitants portugais, le jumelage en mai 1990 entre Villiers-sur-Marne et la ville portugaise de Entroncamento.

André Téqui s’était marié à Gentilly, civilement le jeudi 16 juin 1949 et religieusement le samedi 18 juin avec Janine Cirard, guide de France, employée à l’administration fiscale. C’est le père Jean Guillem, aumônier de la JOC de Paris sud qui présida l’événement dans une chaude ambiance aux couleurs et chants de la JOC. Après le mariage, le couple dut vivre plusieurs années en divers lieux précaires. Faisant partie de l’Amicale des anciens de l’Action catholiques clandestine à Berlin, et participant à ce titre à un pèlerinage à Rome en 1950, André Téqui y retrouva Maurice Allézy, ancien responsable JOC à Berlin, qui lui proposa d’acheter un terrain en commun avec une autre famille pour y construire un ensemble pavillonnaire à Villiers-sur-Marne. Après de lourds mais joyeux travaux collectifs en castors avec de futurs locataires, le couple Téqui put enfin élire domicile en juin 1953 dans leur propriété « la Roseraie », avant de donner naissance à deux fils, Pierre en mai 1954 et Michel en mai 1957.

Le couple Téqui avait fondé une équipe d’ACO en 1950 avec André Duchemin*, Roger Cartayrade, Maurice Montaclair et son épouse, puis à Villiers-sur-Marne avec André Jondeau. En souvenir de ses années de résistance à Berlin, André Téqui avait participé au pèlerinage des prisonniers et déportés du STO à Lourdes en 1966, et intervint le 4 octobre 1987 à une veillée de prières à l’occasion de la béatification par le Pape Jean-Paul II de Marcel Callo, militant jociste, martyr des nazis. En 2005, avec Maurice Allézy et Jean Millet (frère de Camille Millet jociste, mort en camp de déportation en Allemagne), il rencontra Monseigneur Gilson pour préparer les journées mondiales de la jeunesse (JMJ) à Cologne (Allemagne), afin de faire découvrir aux jeunes du monde entier la vie des 51 martyrs français de l’Action catholique, morts au nom de leur foi en camp de concentration nazi.

André Téqui mourut le mardi 15 février 2005 à Villiers-sur-Marne en son domicile, foudroyé par une rupture d’anévrisme. À ses obsèques le 22 février 2005 à Villiers, lui furent rendus de bouleversants hommages par ses nombreux amis, anciens de la JOC, de la CFDT et portugais.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article179340, notice TÉQUI André, Jean, Bernard par Jacques Debesse, version mise en ligne le 17 mars 2016, dernière modification le 19 décembre 2016.

Par Jacques Debesse

SOURCES : Arch. UPSM-CFDT. — Arch. Interfédérales CFDT. — Solidaires, revue de l’URP-CFDT, 373, novembre 1994. — Jo Bibard, Faire l’histoire ensemble. La CFDT en région Ile-de-France 1887-1990, Beaune, La Toison d’Or, 2007. — Michel Fievet, André Téqui, Un monde solidaire et sans frontières, Beaune, La Toison d’Or, 2005. — Wolfgang Knauft, Face à la Gestapo travailleurs chrétiens et prêtres du STO Berlin 1943-1945, Le Cherche Midi, 2007. — Entretien avec Guy Gouyet le 16 février 2016. — Entretien avec Janine Téqui le 18 février 2016.

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