ROBIONS Maurice, Désiré

Fils de Louis Robions, manoeuvre, et de Adrienne Dapoigny, sans profession, Maurice Robions vivait 2 rue d’Orsel à Paris (XVIIIe arr.). Il participa aux combats de la Libération, grièvement blessé à la hauteur du 6 boulevard d’Ornano à Paris (XVIIIe arr.), il mourut de ses blessures, il était âgé de dix-neuf ans. Son décès a été noté au commissariat des Batignolles (XVIIe arr.). Son inhumation se déroula dans le carré militaire, division 12 du cimetière parisien de Pantin (Seine, Seine-Saint-Denis).
Une plaque commémorative honorant sa mémoire a été posée à l’angle de la place Albert-Kahn et du boulevard Ornano (XVIIIe arr.). Le ministère des Anciens combattants lui attribua la mention « Mort pour la France », Maurice Robions fut homologué F.F.I.